Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
POUR - C’est par le tracé de cette courbe somptueuse d’un amour croissant, allant du naturalisme au fantasme revisité par l’art, puis cette retombée du rêve se heurtant à la réalité que la cinéaste parachève les intentions d’un film inoubliable, poignant et magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
Ce que nous offre Catherine Breillat avec "L'Été dernier", c'est l'expérience d'un cinéma qui se fait fusionnel. Devant "Brève traversée", on ne pouvait quitter l'écran des yeux, cette fois on n'est plus devant un film : on y entre, comme dans une transe.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
C’est toute la beauté retorse de ce film que de nous faire aimer un personnage que tout désigne comme détestable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Un grand film sur l'impériosité de la chair, d'une intelligence et d'une beauté à couper le souffle.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Romanesque, passionnant. Catherine Breillat filme son héroïne dans la luminosité vive, la clarté tranchante de la photographie de Jeanne Lapoirie. Comme pour nous dire que toute la lumière du monde ne permettra jamais d’élucider l’opacité d’un être.
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
Grand film d'amour, "L'été dernier" est la véritable palme d'or du dernier Festival de Cannes.
Télérama
par Jacques Morice
Aujourd’hui âgée de 75 ans, Catherine Breillat, qui a survécu, rappelons-le, à un AVC la laissant hémiplégique et qui fut sous l’emprise d’un escroc (comme elle l’a raconté dans Abus de faiblesse), nous offre un tel manifeste de vigueur amorale qu’il est difficile de ne pas être admiratif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
« L’Eté dernier » interroge le désir féminin avec pudeur et pertinence.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Avec une force plus vertigineuse encore qu’au temps d’Une vieille maîtresse (2007), Breillat filme [le] rapprochement [entre Anne et Théo], en le délestant de toute lourdeur démonstrative [...].
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
Si L’Été dernier n’a, contrairement aux apparences, rien de franchement sulfureux, c’est dans sa collision avec un cadre bourgeois que l’art de Breillat fait merveille.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Au rendez-vous du retour de la cinéaste Catherine Breillat avec L’Été dernier, histoire intrépide d’une passion inconvenante entre un jeune homme et sa belle-mère, Léa Drucker s’abandonne avec une volupté nouvelle au rôle sublime et dérangeant d’une femme au désir dévorant.
Elle
par Françoise Delbecq
Léa Drucker est prodigieuse en avocate qui s'éprend du fils de son compagnon.
Femme Actuelle
par La Rédaction
La sobriété du jeu de Léa Drucker sert bien ce rôle ambigu (...).
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Catherine Breillat, souvent clivante, fédère par le charme transgressif que diffuse son "Eté dernier".
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Breillat n’est pas là pour plaire. Son truc ? Pousser le spectateur et ses personnages dans leurs retranchements. Interroger nos hypocrisies, la violence du déni et des carcans bourgeois à travers la transgression. Dénicher le beau dans l’impur. Elle le fait ici avec une rigueur d’entomologiste et une empathie éperdue pour ceux qu’elle filme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par David Ezan
D’où la beauté grave d’un projet qu’on dirait moins sulfureux que rigoureux, hanté par une question : montrer, affronter l’irrationnel. Et ce jusqu’à sa forme la plus obscure, la plus intersidérale : c’est l’inoubliable dernier plan du film.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Léa Drucker s’abandonne avec une volupté nouvelle au rôle sublime et dérangeant d’une femme au désir dévorant.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Comme son héroïne, la cinéaste fait preuve d’une remarquable subtilité pout distiller le malaise, sans doute grâce à une mise en scène à la précision quasi chirurgicale (mais sans effets) pour saisir les non-dits.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Ma. Mt
La cinéaste prête autant d’attention à cette passion égarée qu’à l’effarante mécanique qui se met en place dans son sillage : celle du déni collectif et du compromis bourgeois, si puissants qu’ils semblent à même d’absorber toute réalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Dix ans après "Abus de faiblesse", le retour, sec à souhait et idéalement ambigu, de Catherine Breillat.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Le film ne juge pas. Ou bien il juge de tout. Et comme tout change dans la durée du film plusieurs fois, le sens flotte, le message vient tromper l’attente morale, quelle qu’elle soit : il n’y en a pas.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Michel Oriot
Le sujet sulfureux est traité avec subtilité.
Télé 2 semaines
par Sébastien Ors
Catherine Breillat [...] est de retour avec ce film qui oppose la simplicité des pulsions à la monstruosité des sentiments. Un sujet que la sulfureuse cinéaste maîtrise d'autant mieux qu'elle est aidée par un casting parfait, Léa Drucker en tête.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Un portrait complexe de femme fautive, dans lequel il n’est pas question de morale mais de désir, de désordre amoureux et de culpabilité. Rien n’y est convenu, ni la peinture de la bourgeoise, ni cet amour interdit et encore moins le tour qu’il va prendre.
Télé Loisirs
par Sébastien Ors
Catherine Breillat, qui n'avait pas tourné depuis "Abus de faiblesse" il y a dix ans, oppose la simplicité des pulsions à la monstruosité des sentiments.
Voici
par La Rédaction
On ne dira jamais assez à quel point Léa Drucker est une actrice indispensable du cinéma français. La voir dans un rôle aussi complexe justifie de se déplacer en salle.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Catherine Breillat retrouve l’inspiration avec un sujet délicat qu’elle traite avec finesse,dévoilant un sens de la nuance dans la caractérisation des personnages. Encore un grand rôle pour Léa Drucker.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
CONTRE - C’est un grand film de cinéma, et sa mise en scène, notamment du plaisir charnel, est sensuelle et sublime, mais le fait qu'il se concentre sur une prédatrice ne fait qu’ajouter au malaise.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Si Catherine Breillat renonce pour une bonne part aux outrances qui marquèrent ses précédents films, sa dénonciation du moralisme ne convainc pas. En refusant tout jugement moral sur cette relation incestueuse, le film donne le sentiment de manquer d’un quelconque point de vue.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Paris Match
par Fabrice Leclerc
"L'été dernier" est sauvé par des acteurs impeccables, dont Samuel Kircher et Léa Drucker.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
L’Été dernier ne voulait semble-t-il pas affronter l’interdit sulfureux. Dès lors, il nous paraît presque daté, vaguement ennuyeux. Il nous en fallait davantage pour nous renverser.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Les deux heures sont sur l’écran. Il s’y déploie une grande naïveté, des rougeurs qui ne sont plus de saison, une audace démodée. Nous ne sommes plus en 1923 ni même en 1971.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
En dehors de l’interprétation, brillante, de Léa Drucker, tout irrite dans « L’Été dernier ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Eloignée des écrans pendant une décennie, la réalisatrice revient avec un film lesté de rebondissements mal fabriqués.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans « l’Été dernier », Catherine Breillat laboure laborieusement ses territoires de prédilection – le désir féminin sous toutes ses coutures, le conflit entre les fantasmes et l’ordre moral. Hélas, tout sonne faux.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Bande à part
POUR - C’est par le tracé de cette courbe somptueuse d’un amour croissant, allant du naturalisme au fantasme revisité par l’art, puis cette retombée du rêve se heurtant à la réalité que la cinéaste parachève les intentions d’un film inoubliable, poignant et magnifique.
Culturopoing.com
Ce que nous offre Catherine Breillat avec "L'Été dernier", c'est l'expérience d'un cinéma qui se fait fusionnel. Devant "Brève traversée", on ne pouvait quitter l'écran des yeux, cette fois on n'est plus devant un film : on y entre, comme dans une transe.
Les Inrockuptibles
C’est toute la beauté retorse de ce film que de nous faire aimer un personnage que tout désigne comme détestable.
Marie Claire
Un grand film sur l'impériosité de la chair, d'une intelligence et d'une beauté à couper le souffle.
Sud Ouest
Romanesque, passionnant. Catherine Breillat filme son héroïne dans la luminosité vive, la clarté tranchante de la photographie de Jeanne Lapoirie. Comme pour nous dire que toute la lumière du monde ne permettra jamais d’élucider l’opacité d’un être.
Transfuge
Grand film d'amour, "L'été dernier" est la véritable palme d'or du dernier Festival de Cannes.
Télérama
Aujourd’hui âgée de 75 ans, Catherine Breillat, qui a survécu, rappelons-le, à un AVC la laissant hémiplégique et qui fut sous l’emprise d’un escroc (comme elle l’a raconté dans Abus de faiblesse), nous offre un tel manifeste de vigueur amorale qu’il est difficile de ne pas être admiratif.
20 Minutes
« L’Eté dernier » interroge le désir féminin avec pudeur et pertinence.
Cahiers du Cinéma
Avec une force plus vertigineuse encore qu’au temps d’Une vieille maîtresse (2007), Breillat filme [le] rapprochement [entre Anne et Théo], en le délestant de toute lourdeur démonstrative [...].
Critikat.com
Si L’Été dernier n’a, contrairement aux apparences, rien de franchement sulfureux, c’est dans sa collision avec un cadre bourgeois que l’art de Breillat fait merveille.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Au rendez-vous du retour de la cinéaste Catherine Breillat avec L’Été dernier, histoire intrépide d’une passion inconvenante entre un jeune homme et sa belle-mère, Léa Drucker s’abandonne avec une volupté nouvelle au rôle sublime et dérangeant d’une femme au désir dévorant.
Elle
Léa Drucker est prodigieuse en avocate qui s'éprend du fils de son compagnon.
Femme Actuelle
La sobriété du jeu de Léa Drucker sert bien ce rôle ambigu (...).
Franceinfo Culture
Catherine Breillat, souvent clivante, fédère par le charme transgressif que diffuse son "Eté dernier".
L'Obs
Breillat n’est pas là pour plaire. Son truc ? Pousser le spectateur et ses personnages dans leurs retranchements. Interroger nos hypocrisies, la violence du déni et des carcans bourgeois à travers la transgression. Dénicher le beau dans l’impur. Elle le fait ici avec une rigueur d’entomologiste et une empathie éperdue pour ceux qu’elle filme.
La Septième Obsession
D’où la beauté grave d’un projet qu’on dirait moins sulfureux que rigoureux, hanté par une question : montrer, affronter l’irrationnel. Et ce jusqu’à sa forme la plus obscure, la plus intersidérale : c’est l’inoubliable dernier plan du film.
Le Dauphiné Libéré
Léa Drucker s’abandonne avec une volupté nouvelle au rôle sublime et dérangeant d’une femme au désir dévorant.
Le Journal du Dimanche
Comme son héroïne, la cinéaste fait preuve d’une remarquable subtilité pout distiller le malaise, sans doute grâce à une mise en scène à la précision quasi chirurgicale (mais sans effets) pour saisir les non-dits.
Le Monde
La cinéaste prête autant d’attention à cette passion égarée qu’à l’effarante mécanique qui se met en place dans son sillage : celle du déni collectif et du compromis bourgeois, si puissants qu’ils semblent à même d’absorber toute réalité.
Les Fiches du Cinéma
Dix ans après "Abus de faiblesse", le retour, sec à souhait et idéalement ambigu, de Catherine Breillat.
Libération
Le film ne juge pas. Ou bien il juge de tout. Et comme tout change dans la durée du film plusieurs fois, le sens flotte, le message vient tromper l’attente morale, quelle qu’elle soit : il n’y en a pas.
Ouest France
Le sujet sulfureux est traité avec subtilité.
Télé 2 semaines
Catherine Breillat [...] est de retour avec ce film qui oppose la simplicité des pulsions à la monstruosité des sentiments. Un sujet que la sulfureuse cinéaste maîtrise d'autant mieux qu'elle est aidée par un casting parfait, Léa Drucker en tête.
Télé 7 Jours
Un portrait complexe de femme fautive, dans lequel il n’est pas question de morale mais de désir, de désordre amoureux et de culpabilité. Rien n’y est convenu, ni la peinture de la bourgeoise, ni cet amour interdit et encore moins le tour qu’il va prendre.
Télé Loisirs
Catherine Breillat, qui n'avait pas tourné depuis "Abus de faiblesse" il y a dix ans, oppose la simplicité des pulsions à la monstruosité des sentiments.
Voici
On ne dira jamais assez à quel point Léa Drucker est une actrice indispensable du cinéma français. La voir dans un rôle aussi complexe justifie de se déplacer en salle.
aVoir-aLire.com
Catherine Breillat retrouve l’inspiration avec un sujet délicat qu’elle traite avec finesse,dévoilant un sens de la nuance dans la caractérisation des personnages. Encore un grand rôle pour Léa Drucker.
Bande à part
CONTRE - C’est un grand film de cinéma, et sa mise en scène, notamment du plaisir charnel, est sensuelle et sublime, mais le fait qu'il se concentre sur une prédatrice ne fait qu’ajouter au malaise.
La Croix
Si Catherine Breillat renonce pour une bonne part aux outrances qui marquèrent ses précédents films, sa dénonciation du moralisme ne convainc pas. En refusant tout jugement moral sur cette relation incestueuse, le film donne le sentiment de manquer d’un quelconque point de vue.
Paris Match
"L'été dernier" est sauvé par des acteurs impeccables, dont Samuel Kircher et Léa Drucker.
La Voix du Nord
L’Été dernier ne voulait semble-t-il pas affronter l’interdit sulfureux. Dès lors, il nous paraît presque daté, vaguement ennuyeux. Il nous en fallait davantage pour nous renverser.
Le Figaro
Les deux heures sont sur l’écran. Il s’y déploie une grande naïveté, des rougeurs qui ne sont plus de saison, une audace démodée. Nous ne sommes plus en 1923 ni même en 1971.
Le Parisien
En dehors de l’interprétation, brillante, de Léa Drucker, tout irrite dans « L’Été dernier ».
Les Echos
Eloignée des écrans pendant une décennie, la réalisatrice revient avec un film lesté de rebondissements mal fabriqués.
Marianne
Dans « l’Été dernier », Catherine Breillat laboure laborieusement ses territoires de prédilection – le désir féminin sous toutes ses coutures, le conflit entre les fantasmes et l’ordre moral. Hélas, tout sonne faux.