Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Culturopoing.com
par Hugo Jordan
Un long-métrage stupéfiant qui explore toute la richesse de son art pour mieux révéler sa capacité à réinvestir l’Histoire et à en proposer un autre devenir.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un appel à défendre la culture drôlissime et virtuose. Un pur régal.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Shahram Mokri réécrit le récit de son pays dans un imaginaire plein de vie, de personnages haut en couleur, avec en fond d’écran la sensation d’une mélancolie qui perdure depuis des décennies en Iran.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par B. P.
Ellipses et hors-champ se multiplient jusqu'à la bizarrerie. On en perd notre Iranien. Heureusement, le cinéaste s'appuie sur d'excellents acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Ce puzzle narratif peut parfois décourager mais subjugue par ses allégories.
Positif
par William Le Personnic
Careless Crime est délibérément labyrinthique, ce qui peut sembler parfois épuisant, mais dans la répétition des scènes sous des variations et des angles discordants, règnent néanmoins de petits vertiges enivrants.
Première
par Thomas Baurez
Si le cinéma est bien le territoire des ombres et du mensonge, le dévoilement d’une vérité ne peut être un but en soi. Un parfait envoûtement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Plutôt que mettre en exergue un contenu politique, la mise en scène l’absorbe ou l’étouffe. Rien moins que poétiques, ces plans servent surtout une stratégie de suggestion dans laquelle le sens est tellement remis à plus tard qu’il ne viendra pas.
Télérama
par Jacques Morice
De cette mise en abyme, toute la dimension politique et judiciaire est évacuée au profit d’un thriller conceptuel teinté d’ironie, qui se voudrait une apologie du cinéma et de sa force d’attraction. Assez vain et fâcheux : c’est faire peu de cas des quatre cent soixante-dix-huit victimes du Rex…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
Un long-métrage stupéfiant qui explore toute la richesse de son art pour mieux révéler sa capacité à réinvestir l’Histoire et à en proposer un autre devenir.
Les Fiches du Cinéma
Un appel à défendre la culture drôlissime et virtuose. Un pur régal.
aVoir-aLire.com
Shahram Mokri réécrit le récit de son pays dans un imaginaire plein de vie, de personnages haut en couleur, avec en fond d’écran la sensation d’une mélancolie qui perdure depuis des décennies en Iran.
Le Figaro
Ellipses et hors-champ se multiplient jusqu'à la bizarrerie. On en perd notre Iranien. Heureusement, le cinéaste s'appuie sur d'excellents acteurs.
Le Monde
Ce puzzle narratif peut parfois décourager mais subjugue par ses allégories.
Positif
Careless Crime est délibérément labyrinthique, ce qui peut sembler parfois épuisant, mais dans la répétition des scènes sous des variations et des angles discordants, règnent néanmoins de petits vertiges enivrants.
Première
Si le cinéma est bien le territoire des ombres et du mensonge, le dévoilement d’une vérité ne peut être un but en soi. Un parfait envoûtement.
Cahiers du Cinéma
Plutôt que mettre en exergue un contenu politique, la mise en scène l’absorbe ou l’étouffe. Rien moins que poétiques, ces plans servent surtout une stratégie de suggestion dans laquelle le sens est tellement remis à plus tard qu’il ne viendra pas.
Télérama
De cette mise en abyme, toute la dimension politique et judiciaire est évacuée au profit d’un thriller conceptuel teinté d’ironie, qui se voudrait une apologie du cinéma et de sa force d’attraction. Assez vain et fâcheux : c’est faire peu de cas des quatre cent soixante-dix-huit victimes du Rex…