Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
(...) il permet un jeu tout en émotions pour les trois actrices, superbes : Julianne Moore, Meryl Streep, et surtout Nicole Kidman, méconnaissable en intellectuelle névrosée, dévorée par l'incommunicabilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) c'est un festival d'acteurs, un bijou d'interprétation. Il y a là trois comédiennes au sommet de leur art.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Gilles Renault
Quiconque verra The Hours comprendra pourtant que L'Ours d'argent, décerné à Berlin à Julianne Moore, Meryl Streep et Nicole Kidman, représentait la seule façon équitable de s'incliner devant trois actrices en état de grâce dans un éloge de la vie si ardent qu'il pousse jusqu'aux confins de la maladie et de la mort.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Une oeuvre subtile et moins classique qu'il n'y paraît. Malgré un récit extrêmement dense, la mise en scène de Stephen Daldry est parfaitement fluide. La performance des trois comédiennes principales (et celle de Toni Colette) est pour beaucoup dans le plaisir pris avec ce très beau film.
Télérama
par Louis Guichard
Le cinéma, quant à lui, passe ici par les actrices. Julianne Moore (...) exprime une sorte de détermination comateuse absolument captivante. Tout compte fait, Nicole Kidman a bien raison de porter un faux nez pour jouer Virginia Woolf, car elle est ainsi, génialement, cette conscience malheureuse emmurée dans un corps et un visage qui lui sont étrangers. Pour Meryl Streep, sensationnelle, c'est comme si elle reprenait, plus de vingt ans après, son rôle lesbien dans Manhattan (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Le film a trouvé ainsi sa propre architecture, et respecte ce système de couloirs secrets et de portes invisibles qui font que Nicole Kidman, Julianne Moore et Meryl Streep ne sont pas trois femmes différentes qui possèdent des points communs, mais trois incarnations d'un même sentiment de la vie : cet instant où l'on perd pied et où, remis d'aplomb sans savoir comment, on s'émerveille d'un instant banal.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par Agathe Moroval
Nicole Kidman relève le défi et joue avec intensité le personnage de Virginia Woolf, qui, il est vrai, n'avait physiquement rien d'une danseuse de music-hall.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Sophie Grassin
Mais il faut reconnaître à ce mélo métaphysique, qui tente de capturer le caractère impalpable du bonheur, une émotion née du travail de ses trois actrices.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Sans racolage ni effets appuyés, The Hours distille une petite musique qui nous hante longtemps.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cinopsis.com
par Eric Van Cutsem
C'est en effet le montage parallèle des trois histoires qui rehausse le récit d'une profondeur que la simple linéarité n'aurait certainement pas su lui conférer. Bien évidemment toute médaille ayant son revers, ce type de montage rend par moment le film un peu confus et difficile à suivre. Cependant l'approche, qui tente ainsi de suivre la structure du livre, a le mérite d'avoir été essayée...
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
On l'a déjà dit, les actrices (et les acteurs) sont au-dessus de tout soupçon, comme le scénariste (...). Mais ce montage, cette musique omniprésente, qui un temps ont semblé être les instruments de la mise en scène, finissent par apparaître comme les prothèses destinées à masquer son absence. La bande originale de Philip Glass, aussi didactique qu'une voix off, feint l'émotion à merveille tout en la tenant à distance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Isabelle Danel
Les bouquets de fleurs, les sonneries de réveil, ou les baisers sur les lèvres, signes d'une homosexualité (latente ou non), sont de bien trop visibles - et audibles - enchaînements, là où Cunningham leur faisait partager par de délicates analogies la douleur de vivre, le goût des mots et la difficulté d'être femme, amante et mère. Malgré tout, l'émotion rejaillit à certains moments. Et chaque image donne envie de se (re)plonger dans la lecture des pages inspiratrices - ce qui, en soi, est plutôt une très bonne nouvelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Cahiers du Cinéma
par Marie-Anne Guerin
L'argument de The Hours, tiré d'un roman américain de Michael Cunningham, a peut-être séduit les actrices. Mais ni lui ni elles ne sauvent de l'inconsistance et de la prétention le film de Stephen Daldry.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Cette vision assez vulgaire, quasiment hormonale de la féminité (cherchez bien, il y naturellement quelque chose qui ne tourne pas rond chez elles), stoppe net tout élan de compassion que l'on pourrait ressentir vis-à-vis de ce produit incroyablement snob, trop prétentieux pour être honnête.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
C'est bien fait, mais Daldry n'évite pas l'académisme découlant de la reconstitution historique, et offre sur un plateau à ses interprètes, dont Nicole Kidman qui joue Virginia Woolf avec un faux nez, des performances à Oscar. Bref, le tout sent l'effort et la virtuosité ostentatoire, et ça ne vit pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Un monument de fatuité et de vacuité. Seule Julianne Moore sort indemne de ce film obscènement surligné.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Obejctif-Cinema.com
par Romain Le Vern
Hélas, malgré ces quelques qualités qui lui permettent d'être somme toute fréquentable, le film viscéralement mélodramatique use de moyens trop démonstratifs afin de faire ressortir l'émotion.
Zurban
par Véronique Le Bris
Aux antipodes de "Billy Elliot", "The Hours" de Stephen Daldry est un film à l'architecture complexe servi par le jeu de trois actrices de choc.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
(...) il permet un jeu tout en émotions pour les trois actrices, superbes : Julianne Moore, Meryl Streep, et surtout Nicole Kidman, méconnaissable en intellectuelle névrosée, dévorée par l'incommunicabilité.
Le Parisien
(...) c'est un festival d'acteurs, un bijou d'interprétation. Il y a là trois comédiennes au sommet de leur art.
Libération
Quiconque verra The Hours comprendra pourtant que L'Ours d'argent, décerné à Berlin à Julianne Moore, Meryl Streep et Nicole Kidman, représentait la seule façon équitable de s'incliner devant trois actrices en état de grâce dans un éloge de la vie si ardent qu'il pousse jusqu'aux confins de la maladie et de la mort.
MCinéma.com
Une oeuvre subtile et moins classique qu'il n'y paraît. Malgré un récit extrêmement dense, la mise en scène de Stephen Daldry est parfaitement fluide. La performance des trois comédiennes principales (et celle de Toni Colette) est pour beaucoup dans le plaisir pris avec ce très beau film.
Télérama
Le cinéma, quant à lui, passe ici par les actrices. Julianne Moore (...) exprime une sorte de détermination comateuse absolument captivante. Tout compte fait, Nicole Kidman a bien raison de porter un faux nez pour jouer Virginia Woolf, car elle est ainsi, génialement, cette conscience malheureuse emmurée dans un corps et un visage qui lui sont étrangers. Pour Meryl Streep, sensationnelle, c'est comme si elle reprenait, plus de vingt ans après, son rôle lesbien dans Manhattan (...).
Aden
Le film a trouvé ainsi sa propre architecture, et respecte ce système de couloirs secrets et de portes invisibles qui font que Nicole Kidman, Julianne Moore et Meryl Streep ne sont pas trois femmes différentes qui possèdent des points communs, mais trois incarnations d'un même sentiment de la vie : cet instant où l'on perd pied et où, remis d'aplomb sans savoir comment, on s'émerveille d'un instant banal.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Nicole Kidman relève le défi et joue avec intensité le personnage de Virginia Woolf, qui, il est vrai, n'avait physiquement rien d'une danseuse de music-hall.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Première
Mais il faut reconnaître à ce mélo métaphysique, qui tente de capturer le caractère impalpable du bonheur, une émotion née du travail de ses trois actrices.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Sans racolage ni effets appuyés, The Hours distille une petite musique qui nous hante longtemps.
Cinopsis.com
C'est en effet le montage parallèle des trois histoires qui rehausse le récit d'une profondeur que la simple linéarité n'aurait certainement pas su lui conférer. Bien évidemment toute médaille ayant son revers, ce type de montage rend par moment le film un peu confus et difficile à suivre. Cependant l'approche, qui tente ainsi de suivre la structure du livre, a le mérite d'avoir été essayée...
Le Monde
On l'a déjà dit, les actrices (et les acteurs) sont au-dessus de tout soupçon, comme le scénariste (...). Mais ce montage, cette musique omniprésente, qui un temps ont semblé être les instruments de la mise en scène, finissent par apparaître comme les prothèses destinées à masquer son absence. La bande originale de Philip Glass, aussi didactique qu'une voix off, feint l'émotion à merveille tout en la tenant à distance.
Le Point
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Les Echos
Les bouquets de fleurs, les sonneries de réveil, ou les baisers sur les lèvres, signes d'une homosexualité (latente ou non), sont de bien trop visibles - et audibles - enchaînements, là où Cunningham leur faisait partager par de délicates analogies la douleur de vivre, le goût des mots et la difficulté d'être femme, amante et mère. Malgré tout, l'émotion rejaillit à certains moments. Et chaque image donne envie de se (re)plonger dans la lecture des pages inspiratrices - ce qui, en soi, est plutôt une très bonne nouvelle.
Cahiers du Cinéma
L'argument de The Hours, tiré d'un roman américain de Michael Cunningham, a peut-être séduit les actrices. Mais ni lui ni elles ne sauvent de l'inconsistance et de la prétention le film de Stephen Daldry.
Chronic'art.com
Cette vision assez vulgaire, quasiment hormonale de la féminité (cherchez bien, il y naturellement quelque chose qui ne tourne pas rond chez elles), stoppe net tout élan de compassion que l'on pourrait ressentir vis-à-vis de ce produit incroyablement snob, trop prétentieux pour être honnête.
L'Humanité
C'est bien fait, mais Daldry n'évite pas l'académisme découlant de la reconstitution historique, et offre sur un plateau à ses interprètes, dont Nicole Kidman qui joue Virginia Woolf avec un faux nez, des performances à Oscar. Bref, le tout sent l'effort et la virtuosité ostentatoire, et ça ne vit pas.
Les Inrockuptibles
Un monument de fatuité et de vacuité. Seule Julianne Moore sort indemne de ce film obscènement surligné.
Obejctif-Cinema.com
Hélas, malgré ces quelques qualités qui lui permettent d'être somme toute fréquentable, le film viscéralement mélodramatique use de moyens trop démonstratifs afin de faire ressortir l'émotion.
Zurban
Aux antipodes de "Billy Elliot", "The Hours" de Stephen Daldry est un film à l'architecture complexe servi par le jeu de trois actrices de choc.