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Les pérégrinations amoureuses sensibles d’un Italien vivent à Londres, qui interroge subtilement malgré des longueurs, sur les choix de vie et les regrets qui en découleront à jamais. 2,75
Ce film est aussi lourd à digérer qu'un sandwich au béton ! Les flashbacks permanents ont vite fait de nous perdre au milieu de tous ces personnages enfant, ado et adulte..Et cela vient compliquer encore un peu plus le fil d'ariane du film. Seul bon point : les maquilleuses ont fait un travail extraordinaire. Deux) on visionne mieux les quantités de bières que peuvent boire des supporters de football ( le film passe en revue plusieurs mondiaux de foot) Trois ) La troisième fois je regarderais la note moyenne du film,ici 3,5 au lieu des quelques critiques dythyrambiques de quelques ayatollahs. Quatre) film à déconseiller à ceux qui font la crise de la quarantaine, de la cinquantaine ou de la soixantaine...
Yves G.
Alexander (Pierfrancesco Favino) a passé son existence entre l’Italie de son père, trop tôt décédé, où son grand-père (Jean Reno) possède une immense fortune qu’il n’est pas prêt de lui léguer, et l’Angleterre de sa mère, où il a finalement fait sa vie, dans le commerce des livres, auprès de ses amis, Louis et Jack, dont il est inséparable, et où il a fondé un foyer avec sa femme Bianca et sa fille Penelope. La vie lui a fait, à l’aube, des promesses, qu’elle n’aura jamais tenues (Romain Gary, sors de ce corps !)
Alexander a failli connaître le grand amour avec Laura (Kelly Reilly) ; mais les circonstances l’en auront sans cesse empêché.
Amanda Sthers adapte son propre roman, sorti en 2015. Son action se déroulait entre la France et l’Italie. Les hasards de la production – ou les langues maîtrisées par son casting très cosmopolite – l’auront conduite à la transposer en Angleterre. Mais l’essentiel demeure : la vie d’un homme, de son enfance dorée à sa vieillesse solitaire, scandée par les matches de foot regardés avec ses deux poteaux, histoire de donner aux spectateurs des repères chronologiques.
"Les Promesses" rappelle "Le Colibri". Il a le même thème, le même héros, Pierfrancesco Favino, les mêmes décors, la presqu’île de l’Argentario au large de la Toscane. Il a le défaut d’être sorti une semaine après, à une date, le 9 août, qui n’est pas la plus porteuse de l’année. Trois semaines plus tard, il a quasiment disparu des écrans.
J’entends parfaitement les critiques aigres qui l’ont descendu – comme elles avaient exécuté, huit ans plus tôt, le roman d’Amanda Sthers – lui reprochant pêle-mêle, un sujet trop mélo, une construction inutilement alambiquée multipliant flashbacks et flashforwards, des acteurs grossièrement grimés pour rendre crédibles un vieillissement ou un rajeunissement qui ne l’est pas. C’était d’ailleurs quasiment les mêmes que celles qui avaient été adressées au Colibri.
Mais pour les mêmes raisons que j’avais aimé "Le Colibri", j’ai aimé "Les Promesses", malgré ses nombreux défauts. Avec la horde ses admiratrices pâmées, je suis sur le point de m’inscrire au fan club de Piefrancesco Favini qui, non content d’avoir un charme fou, joue décidément impeccablement bien. La structure emberlificotée du récit m’a plu ; elle rompt avec la linéarité ennuyeuse des histoires qui se contentent de suivre la chronologie ; elle sera peut-être démodée dans dix ans mais elle est aujourd’hui furieusement de son temps. Quant au sujet du film, l’histoire d’un homme qui a raté sa vie, elle me touche douloureusement. Ne manque peut-être pour une quatrième étoile que le charme de Bérénice Bejo à côté de laquelle Keilly Reilly, aussi roussoyante soit-elle, ne fait pas la paire.
Alexander a failli connaître le grand amour avec Laura (Kelly Reilly) ; mais les circonstances l’en auront sans cesse empêché.
Amanda Sthers adapte son propre roman, sorti en 2015. Son action se déroulait entre la France et l’Italie. Les hasards de la production – ou les langues maîtrisées par son casting très cosmopolite – l’auront conduite à la transposer en Angleterre. Mais l’essentiel demeure : la vie d’un homme, de son enfance dorée à sa vieillesse solitaire, scandée par les matches de foot regardés avec ses deux poteaux, histoire de donner aux spectateurs des repères chronologiques.
"Les Promesses" rappelle "Le Colibri". Il a le même thème, le même héros, Pierfrancesco Favino, les mêmes décors, la presqu’île de l’Argentario au large de la Toscane. Il a le défaut d’être sorti une semaine après, à une date, le 9 août, qui n’est pas la plus porteuse de l’année. Trois semaines plus tard, il a quasiment disparu des écrans.
J’entends parfaitement les critiques aigres qui l’ont descendu – comme elles avaient exécuté, huit ans plus tôt, le roman d’Amanda Sthers – lui reprochant pêle-mêle, un sujet trop mélo, une construction inutilement alambiquée multipliant flashbacks et flashforwards, des acteurs grossièrement grimés pour rendre crédibles un vieillissement ou un rajeunissement qui ne l’est pas. C’était d’ailleurs quasiment les mêmes que celles qui avaient été adressées au Colibri.
Mais pour les mêmes raisons que j’avais aimé "Le Colibri", j’ai aimé "Les Promesses", malgré ses nombreux défauts. Avec la horde ses admiratrices pâmées, je suis sur le point de m’inscrire au fan club de Piefrancesco Favini qui, non content d’avoir un charme fou, joue décidément impeccablement bien. La structure emberlificotée du récit m’a plu ; elle rompt avec la linéarité ennuyeuse des histoires qui se contentent de suivre la chronologie ; elle sera peut-être démodée dans dix ans mais elle est aujourd’hui furieusement de son temps. Quant au sujet du film, l’histoire d’un homme qui a raté sa vie, elle me touche douloureusement. Ne manque peut-être pour une quatrième étoile que le charme de Bérénice Bejo à côté de laquelle Keilly Reilly, aussi roussoyante soit-elle, ne fait pas la paire.
J’ai vu les Promesses avec une amie et je ne savais pas à quoi m’attendre. J’ai été surprise de découvrir un film de cinéma comme on en voit plus. Ça m’a fait penser aux émotions des vieux films romantiques italiens mais avec une image plus moderne et une esthétique très forte. Bref, j’ai adoré ! Surtout Kelly Reilly que je n’avais pas vue depuis l’auberge espagnole.
La musique est sublime , le casting parfait., du romantisme avec de l'humour, de l'amitié, tout ce que j'aime. Allez y sans hésiter
Je vais lire le roman maintenant
La musique est sublime , le casting parfait., du romantisme avec de l'humour, de l'amitié, tout ce que j'aime. Allez y sans hésiter
Je vais lire le roman maintenant
j'ai beaucoup aimé. Beaucoup d'émotions en voyant ce film. Les acteurs sont excellents et les maquilleurs ont fait un travail incroyable. Le scénario est complexe avec les aller retours temporels mais il est très bien construit. Une histoire d'amour impossible, beaucoup de romantisme cruel et trompeur, et pourtant beaucoup de beautés. Une réflexion sur la vie, sur l'amour, une traversée du temps. Bravo
On passe un doux moment à suivre la vie de cet homme charmant. L’Italie et ses décors le sont tout autant, les acteurs sont bons et justes.
J’ai bien aimé les scènes en lien avec la première rencontre, elles sont belles, expriment bien ce qu’on peut ressentir quand on croise quelqu’un qu’on trouve magnétique.
Il est vrai que les voyages dans le temps auraient pu être un peu mieux menés, mais l’ensemble est réussi.
J’ai bien aimé les scènes en lien avec la première rencontre, elles sont belles, expriment bien ce qu’on peut ressentir quand on croise quelqu’un qu’on trouve magnétique.
Il est vrai que les voyages dans le temps auraient pu être un peu mieux menés, mais l’ensemble est réussi.
J'ai trouvé ce film excellent, j'ai ressenti beaucoup d'émotions. Favino est excellent, et Reilly est très bonne (comme souvent, en fait). À voir absolument
Tout juste incroyable!
Film émouvant sur les étapes de la vie avec des acteurs exceptionnels. Une adaptation tout juste parfaite du livre.
Je conseille vivement!
Film émouvant sur les étapes de la vie avec des acteurs exceptionnels. Une adaptation tout juste parfaite du livre.
Je conseille vivement!
J’ai vu le film en avant première à Uzes et il est encore dans ma tête… un film un peu à l’ancienne comme les Sautett. Je le conseille !
mais dommage le film aurait été meilleur à mon avis en VO mais erreur cinéma.
je ne comprends pas que seules 4 salles diffusent le film à Paris
je ne comprends pas que seules 4 salles diffusent le film à Paris
Une merveille de délicatesse. Je suis sortie bouleversée, touchée au plus profond du cœur et de l’âme. Tous les acteurs sont dans la tonalité juste. Je vais le revoir c’est sûr.
Quel ennui ... Cette histoire n'en finit pas ! Deux plutôt bons acteurs font ce qu'ils peuvent mais ne sauvent pas ce film bien laborieux dépourvu du charme qu'on pouvait attendre ...
Très beau film qui dégage beaucoup d'émotion, riche de tellement d'évènements.
On ne s'y ennuie pas et il ouvre la porte à réflexion.
PF Favino est incroyablement bon.
On ne s'y ennuie pas et il ouvre la porte à réflexion.
PF Favino est incroyablement bon.
Ce film est très intéressant de par sa réalisation qui intègre les flash-backs qui rythment cette histoire d'amour qui naturellement nous amène à réfléchir sur ce qu'est l'amour, ce que l'on doit attendre de la vie. Les images sont très belles. Kelly Reilly est envoûtante.
Un film où chacun se reconnaîtra et qui résonne longtemps en soi. Pourquoi cette vie, souvent une décision ou une autre changera notre chemin de vie. Ce scénario incroyable porté par des acteurs de talent est à voir et à revoir. Un film qui tient ses promesses.
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