Derniers Avis : Coupez! - Page 22

Le premier quart d'heure est surprenant, et on peut se poser la question ,c'est quoi ce film? Et hop tout s'éclaire le tour de passe passe fonctionne à merveille et la comédie est lancée . Une bonne comédie où l'on rit des artifices et des aléas du tournage. Contrairement à ce que j'ai lu , les acteurs sont bons ,tous. J'ai beaucoup aimé le film. Les mauvaises critiques doivent provenir des spectateurs qui n'ont vu que le premier quart d'heure, alors SVP ,RESTEZ avant de COUPEZ!!!!!

Excellent film au second degré décapant ! Touchant et hilarant à la fois... Cet hommage aux films de série Z en est aussi un à l'égard du septième art. Mention spéciale à Bérénice Bejo qui a bien raison de parler. Elle est presque plus émouvante que drôle en comédienne qui se perd dans ses rôles et qui franchit les limites, à son plus grand désarroi. Coupez ! montre l'envers du décor avec une ironie aussi tendre que mordante. L'intelligence c'est sûrement ça, avoir l'élégance de faire preuve de dérision en toute circonstance.

Cela aurait pu être bien mais le traitement hyper académique et attendu des 2 dernier tiers m'ont laissé sur ma fin. Certains personnages auraient mérité d'être développé comme la productrice japonaise...bref une grosse déception

comédie dégenté mais jubilatoire, surtout ne pas partir dans la 1ère demi-heure, car le film monte crescendo pour finir en apothéose. à voir absolument.

Faux nanar dans un vrai bon film, les acteurs sont tous très bons (ah, l'expression subtile de Rémi Gadebois face à une bouteille de saké.. ). Une nouvelle réussite de Michel Hazanavicius.

Une surprise rafraîchissante, un film malin qui rend au cinéma un hommage à la fois tendre et plein d'un humour décalé mais jamais vulgaire ni grossier. Derrière le premier degré se cache un second puis un troisième. Le thème des zombies écarte habillement les critiques étroites d'un public qui aurait passé les 20 dernières années sur une île déserte. Le scénario est aussi brillant que les interprétations. J'ai adoré et beaucoup ri.

La constante chez Hazanavicius, à travers tout son cinéma, c'est la mise en abîme permanente de l'illusion cinématographique, comme pour souligner u'npeu plus la justesse de l'écriture. Les comédiens se regarde être comédien tandis que le réalisateur se regarde faire le réalisateur, en se coiffant une casquette différente à chaque film. C'est presque du théâtre filmé car on voit toujours un bout des coulisses et pourtant, l'illusion fonctionne en montrant les ficelles de l'illusion. C'est un magicien qui nous montre les secrets de ses tours et nous, on regarde en se demandant quand même comment il fait. Michel, c'est la classe américaine.

Soyons honnêtes: il faut s'accrocher pour jouir pleinement de ce film drôlissime. Moi aussi j'ai failli sortir devant tant de médiocrité, mais c'est le prix à payer pour rire comme jamais. Le film a le défaut de ses qualités, j'aurais préféré une première partie, minable film de zombie, plus courte, pour que la suite, la comédie hilarante, dure encore et encore. Mention spéciale au casting cinq étoiles.

Un film qui vaut pour la partie tournage vraiment burlesque et franchement drôle, avec des acteurs au top, sinon le reste m'a pas intéressé et encore moins le film de la première partie qui, absorbé en un jet n'a que peu d'intérêt me concernant.
Dommage.

Le debut était assez plat, on voyait juste un film de zombies raté même si c était fait exprès, je trouve que ça en fait trop, mais la fin était beaucoup mieux.

Il faut tenir 35 minutes d'ennui pour enfin comprendre le pourquoi du comment, et alors on rit beaucoup!

Les 30 premières minutes sont un peu étonnantes mais le film vaut le coup. Drôle, original et tranchant...

Un pastiche très drôle à double détente!
Sans trop dévoiler de la suite, ne surtout pas partir au bout d'une demi-heure, même si ce pseudo film d'horreur est effectivement sanguinolent.
La deuxième partie est hilarante avec des acteurs excellents. Une réussite totale !

Coupez !

Les premières minutes de « Coupez ! » sont un délice : la salle de cinéma est perplexe, les ados font la moue et ceux qui pensaient voir un film de zombies se demandent ce qu’ils font là. Mais c’est mal connaître Michel Hazanavicius et les lectures à multiples niveaux de ses œuvres. C’était déjà le cas avec « La Classe Américaine : Le Grand Détournement » et on retrouve cette patte dans ses OSS 117. Certains pourraient rétorquer que c’est presque trop sophistiqué mais en fait non, cela nous fait juste marrer.

Passée cette belle et déjantée introduction, on arrive dans un autre film - ou plutôt dans le film du film. La caméra se pose, le cadre se réinstalle, un autre genre démarre. Et quelle jubilation ! On assiste à la création improbable d’un film improbable. C’est une véritable déclaration d’amour au cinéma, et surtout à tous ses artisans, à ses « Artists », à ces magnifiques passionnés qui ne sont pas toujours dans la lumière et qui s’accrochent parce qu’ils ne pourraient pas vivre d’autre chose ni vivre pour autre chose : « parce que c’est important ! » (et qu’on ne dit pas « c’est qui qui »)

Alors merci Romain pour cet enthousiasme, merci Bérénice pour cette auto-dérision et merci Michel pour cette lueur d’espoir et merci à toute l’équipe pour ce beau plan final.

Excellent ! Drôle, décalé et jubilatoire. Courrez pour voir ce film sans a priori car les 30 premières minutes peuvent déconcerter. La suite est tellement géniale que j'en ris encore plusieurs jours après. Ne cherchez pas à en savoir plus, il faut y aller sans en connaître le synopsis. Très très très drôle!