AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,6
5806 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Coupez! ?
5
101 critiques
4
250 critiques
3
119 critiques
2
48 critiques
1
35 critiques
0
53 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
On se pose la question au début sur l intérêt du film mais la suite est juste magique. Très très drôle, les acteurs sont géniaux. Romain Duris en tête.
Merci Monsieur hazanavicius pour ce magnifique moment de cinéma.
Merci Monsieur hazanavicius pour ce magnifique moment de cinéma.
Laborieux et ennuyeux reportage sur le tournage sanglant d'un film raté sur des zombies. N'est pas Tarantino qui veut...
Michel Hazanavicius partage de nombreux points communs avec Quentin Tarantino (cité à plusieurs reprises dans son film) au-delà des récompenses remportées dans le monde entier par leurs longs métrages (un petit avantage pour Quentin tout de même).
Tous deux nourrissent une passion indéfectible pour tous les cinémas, doublée d’une solide cinéphilie et couronnées par un goût pour les figures de style et les performances « pop ».
Avec « Coupez ! » – qui devait initialement s’appeler Z mais dont le titre sert finalement mieux son propos – l’enfant terrible du jeune cinéma français et celui qui lui a redonné de la classe américaine avec « The Artist » décide de prendre au mot Jean Cocteau et son célèbre « l’Art est un mensonge qui dit la vérité ».
Car « Coupez » - en plus d'être un remake d'un film de fin d'étude nippon - fait cinéma une vaste mystification qui démarre avec des bandes annonces peu engageantes sur l’air « on se demande ce que Romain Duris et Bérénice Bejo sont allés faire dans cette galère » et se poursuit dans la salle puisque le film débute par…un film de Zombie tourné en roue libre et dont l’objectif est de vous donner envie de quitter la salle.
Si vous êtes restés au-delà du premier tiers du film, un premier cadeau s’offre à vous. Un hommage à la « Nuit Américaine » de François Truffaut dans sa version film à petit budget.
Mais dans son dernier tiers que le film devient totalement jubilatoire et vous arrachera de francs fou rire.
Il ne serait ni élégant, ni sympathique de vous dévoiler les artifices de l’affaire mais allez-y même si les histoires de Zombies vous indifférent.
Ce n’est finalement pas le cœur du propos
Tous deux nourrissent une passion indéfectible pour tous les cinémas, doublée d’une solide cinéphilie et couronnées par un goût pour les figures de style et les performances « pop ».
Avec « Coupez ! » – qui devait initialement s’appeler Z mais dont le titre sert finalement mieux son propos – l’enfant terrible du jeune cinéma français et celui qui lui a redonné de la classe américaine avec « The Artist » décide de prendre au mot Jean Cocteau et son célèbre « l’Art est un mensonge qui dit la vérité ».
Car « Coupez » - en plus d'être un remake d'un film de fin d'étude nippon - fait cinéma une vaste mystification qui démarre avec des bandes annonces peu engageantes sur l’air « on se demande ce que Romain Duris et Bérénice Bejo sont allés faire dans cette galère » et se poursuit dans la salle puisque le film débute par…un film de Zombie tourné en roue libre et dont l’objectif est de vous donner envie de quitter la salle.
Si vous êtes restés au-delà du premier tiers du film, un premier cadeau s’offre à vous. Un hommage à la « Nuit Américaine » de François Truffaut dans sa version film à petit budget.
Mais dans son dernier tiers que le film devient totalement jubilatoire et vous arrachera de francs fou rire.
Il ne serait ni élégant, ni sympathique de vous dévoiler les artifices de l’affaire mais allez-y même si les histoires de Zombies vous indifférent.
Ce n’est finalement pas le cœur du propos
Un film drôlissime, décalé, déjanté, totalement dingue. La construction en trois partie est très astucieuse. Un film qui commence comme un nanar de série z mais qui se termine comme un hommage au cinéma. Une petite pépite.
0,5 pour gagner en lisibilité, mais aussi par soupçon d’objectivité…
Après l’excellentissime comédie horrifique japonaise "Kamera o tomeru na!", voici qu’un réalisateur français se lance dans un film de genre ‘inspiré’ (pour réutiliser les termes employés) du produit original, le thème de l’horreur se faisant rare dans le cinéma français malgré qu’on le maitrise si bien.
A l’instar du film original "Ne coupez pas!", le film démarre sur le film dans le film, avec un plan séquence d’une demi-heure, film dans le film identique à la réplique près! (bon, ce n’est ‘que’ la première demi-heure, on se dit ‘ils sont taquin’ ça fait rire, et ça s’arrête là).
Une fois de retour dans le monde ‘réel’ X temps plus tôt, on apprend que la chef de projet n’est autre que madame Matsuda, ce même personnage, interprété par la même actrice (Yoshiko Takehara), que dans le film japonais de 2017, expliquant ‘au réalisateur’ français son projet de faire un court métrage zombie en plan-séquence live pour […], que ça avait déjà été fait au Japon quelques années plus tôt, que ça avait très bien fonctionné, etc… conduisant le spectateur à comprendre qu’il ne s’agit donc non pas d’un remake mais d’une suite dans un univers où le premier cours métrage japonais a été tourné; Donc à partir de là, le film identique, avec des prénom japonais, on se dit ‘bon ok, ils ont fait une version occidental du truc’ (et effectivement on peut apercevoir à un moment dans le film le réalisateur français regarder des séquences du plan séquence du film original) et là ça fonctionne, l’idée est intelligente.
Mais là démarre LE problème. Tous les personnages de "Coupez!", ont, ‘à l’extérieur des caméras’, le même background que leurs homologues du film original "Ne coupez pas!", famille identique, personnalité, santé, emploi du temps, etc….
Et on se retrouve donc, en plus du copié/collé ‘face-caméras’, AVEC un copié/collé illogique et éhonté de l’ensemble des péripéties ‘hors-caméra’.
Si à ce stade mes explications sont difficiles à suivre, pour résumer simplement: c’est le même film de A à Z, en moins bien.
Les imprévus, le jour du tournage, les problèmes humains, techniques, improvisations, etc… sont parfaitement identiques, au titre japonais, avec à côté une madame Matsuda qui se plaint que le film s’éloigne du script tandis que justement non: ces imprévus identiques à ce qui s’est produit au Japon X années plus tôt: produisent exactement au même résultat!
Donc: en partant de ce postulat, pour qui ne connait pas le matériel de base: note subjective: le 3 du "Pas mal" sur ses réserves;
Pour ceux ayant vu "One Cut of the Dead", aucune valeur supplémentaire, à moins de posséder un abonnement et d’être bien averti, pour une petite séance de « non mais vous êtes sérieux là ? » de 1h50, les 14 minutes supplémentaires étant probablement massivement dans le générique fin….
Pourquoi 0,5? Parce que à ce stade-là de culot c’est uriner sur le spectateur aillant vu le premier sans même essayer de lui faire croire qu’il pleut…
Après l’excellentissime comédie horrifique japonaise "Kamera o tomeru na!", voici qu’un réalisateur français se lance dans un film de genre ‘inspiré’ (pour réutiliser les termes employés) du produit original, le thème de l’horreur se faisant rare dans le cinéma français malgré qu’on le maitrise si bien.
A l’instar du film original "Ne coupez pas!", le film démarre sur le film dans le film, avec un plan séquence d’une demi-heure, film dans le film identique à la réplique près! (bon, ce n’est ‘que’ la première demi-heure, on se dit ‘ils sont taquin’ ça fait rire, et ça s’arrête là).
Une fois de retour dans le monde ‘réel’ X temps plus tôt, on apprend que la chef de projet n’est autre que madame Matsuda, ce même personnage, interprété par la même actrice (Yoshiko Takehara), que dans le film japonais de 2017, expliquant ‘au réalisateur’ français son projet de faire un court métrage zombie en plan-séquence live pour […], que ça avait déjà été fait au Japon quelques années plus tôt, que ça avait très bien fonctionné, etc… conduisant le spectateur à comprendre qu’il ne s’agit donc non pas d’un remake mais d’une suite dans un univers où le premier cours métrage japonais a été tourné; Donc à partir de là, le film identique, avec des prénom japonais, on se dit ‘bon ok, ils ont fait une version occidental du truc’ (et effectivement on peut apercevoir à un moment dans le film le réalisateur français regarder des séquences du plan séquence du film original) et là ça fonctionne, l’idée est intelligente.
Mais là démarre LE problème. Tous les personnages de "Coupez!", ont, ‘à l’extérieur des caméras’, le même background que leurs homologues du film original "Ne coupez pas!", famille identique, personnalité, santé, emploi du temps, etc….
Et on se retrouve donc, en plus du copié/collé ‘face-caméras’, AVEC un copié/collé illogique et éhonté de l’ensemble des péripéties ‘hors-caméra’.
Si à ce stade mes explications sont difficiles à suivre, pour résumer simplement: c’est le même film de A à Z, en moins bien.
Les imprévus, le jour du tournage, les problèmes humains, techniques, improvisations, etc… sont parfaitement identiques, au titre japonais, avec à côté une madame Matsuda qui se plaint que le film s’éloigne du script tandis que justement non: ces imprévus identiques à ce qui s’est produit au Japon X années plus tôt: produisent exactement au même résultat!
Donc: en partant de ce postulat, pour qui ne connait pas le matériel de base: note subjective: le 3 du "Pas mal" sur ses réserves;
Pour ceux ayant vu "One Cut of the Dead", aucune valeur supplémentaire, à moins de posséder un abonnement et d’être bien averti, pour une petite séance de « non mais vous êtes sérieux là ? » de 1h50, les 14 minutes supplémentaires étant probablement massivement dans le générique fin….
Pourquoi 0,5? Parce que à ce stade-là de culot c’est uriner sur le spectateur aillant vu le premier sans même essayer de lui faire croire qu’il pleut…
On a forcément la curiosité d'aller voir le dernier Hazavanicius quand on aime The Artist (2011) et le cinéma. Mais on en sort plutôt mi-figue mi-raisin. Est-ce original ? Non (le film est un fidèle remake). Est-ce comique ? Non (évidemment, c'est personnel). Est-ce un film d'horreur ? Non (puisque c'est un film sur un film). Y a-t-il un message philosophique ? Du suspense ? De l'émotion ? Non, non et non. A priori... Il y a donc des gens qui sortent de ce film hébétés, surpris, déçus, n'y trouvant rien de rien. Et pourtant il y a deux ou trois choses intéressantes et remarquables. D'abord, c'est une réalisation de main de maître, à n'en pas douter, une froideur technicienne mais remarquable (à commencer par le plan-séquence). Ensuite et surtout, on y filme l'inanité de tout, partout, à tout moment. La médiocrité du monde ーle monde d'aujourd'hui. Cette inanité est palpable, du début à la fin, dans les mots, dans le phrasé, dans la musique, dans les idées, dans les logiques, dans les sentiments, dans les ambitions, et même dans les petits problèmes de tout un chacun ーla faute à tout et rien, aux réseaux sociaux, aux influenceurs, au nombre de vues sur internet, aux infos en continu, au suivisme, au confort ? Quand un personnage du film dit que ce sera "le pire navet du monde", pense-t-il aux zombies ? Pense-t-il aux personnages joués ? Pense-t-il aux acteurs qui jouent ? Comme le scénario du film médiocre inclut sa propre fabrication, et qu'elle est elle-même pareillement médiocre, on a donc un film sur le film du film. Une double mise en abyme... Pour finir, une dernière chose : il y a un Romain Duris intéressant, si attendrissant avec sa fille, qui s'exprime si bien quand il se tait. C'est comme un cheveu sur la soupe, c'est hors-sujet, c'est beau, c'est tout lui. A.G.
Aucun intérêt, du début à la fin, les acteurs secondaires sont mauvais , une bonne partie des principaux aussi... Beaucoup de longueurs
Les choses positives ne font pas le poids face au négatif
Les choses positives ne font pas le poids face au négatif
Un incroyable nanar !
Pour moi ce film est un immense foutage de gueule..!
Une comédie hyper-gore ou l’on ne rit jamais.
Quelques personnages sont intéressants mais le réalisateur n’en fait rien.
Ils se sont peut-être amusé à faire cette daube mais tout seuls…
Pour moi ce film est un immense foutage de gueule..!
Une comédie hyper-gore ou l’on ne rit jamais.
Quelques personnages sont intéressants mais le réalisateur n’en fait rien.
Ils se sont peut-être amusé à faire cette daube mais tout seuls…
C'est tout simplement jubilatoire, la première demi-heure est un peu lente mais après tout se déroule et c'est énorme, des répliques cultes, du comique de situation, des pets, du vomis ,des rots, de sang, la salle rigolait à pleins poumons, un régal ( gna gna gna c'est un remake et personne le dit...si! c'est dit précisément à chaque promo)
Très surpris par l'avis des critiques qui encensent ce film. C'est pratiquement un supplice d'attendre que les scènes sanglantes qui se succèdent sans aucune raison apparente, se terminent. Beaucoup de spectateurs sortent au bout d'une demi-heure tant ce film est sans intérêt. Quelle énergie gaspillée par des acteurs dont on se demande ce qu'ils ont voulu prouver en acceptant de jouer dans un tel scénario.Comment comprendre qu'un film aussi nul ait pu être projeté lors de l'ouverture du festival de cannes. A éviter;
j'en ai vue des remakes flinguée, mais la c'est incroyable. déjà les acteurs connu ruinent totalement le film vu que le charme de l'original c'est qu'on connaissait personne. zadi s'amuse à fond dans les 2 minute de film qu'il a et duris essaie d'y croire. la relation mere-pere avec duris marche pas meme si il faur avouer que sa marche tres bien avec sa fille .Le film se positionne comme un remake français sauf qu3 on est dans un onde où le film existe déjà donc plus rien n'a de sense. les blagues sont constamment ajoutée et le scénario est d'un ennuie mortel quand on voit l'original. on reproduit tout sans le comprendre (type les zombie bleu qui ont un sens au Japon mais aucun en france). ah mais c'est vraix ,c'est les producteurs qui pour une raison obscure veulent tout garder de l'original. Le film reproduit aussi des dialogues mot pour mot et des plan identique à l'original mais bon vu ou on en est... sa donne envie de fuire le festival de Cannes, bref ya beaucoup mieux à voir au ciné, regarder quelque chose de mieux ...
C'est génial ! Passez les 30 premières minutes rock'n roll et ensuite c'est jouissif ! Très drôle ! J'adore ! Merci
elriad
Malgré une distribution impressionnante, malgré toute l'énergie des comédiens et la volonté assumée de livrer un pastiche de film de zombies, que c'est long. Que c'est potache.
Alors oui le réalisateur écume tout ce qui est possible de gore, de mauvais goût, du vomis à la diarrhée, des jets de sang aux têtes décapitées, avec le souci de démonter toute la mécanique des films et innombrables séries qui font de ce genre une foule d'adeptes, mais le film se révèle fatigant, interminable.
La déferlante de louange presse/public reste pour moi un mystère, sa projection en ouverture de festival cannois l'est encore plus.
Alors oui le réalisateur écume tout ce qui est possible de gore, de mauvais goût, du vomis à la diarrhée, des jets de sang aux têtes décapitées, avec le souci de démonter toute la mécanique des films et innombrables séries qui font de ce genre une foule d'adeptes, mais le film se révèle fatigant, interminable.
La déferlante de louange presse/public reste pour moi un mystère, sa projection en ouverture de festival cannois l'est encore plus.
Bien que le second degré soit facilement perceptible le film est vraiment naze. Impossible d’expliquer pourquoi mais c’est totalement en décalage avec ce qu’est un film en général. Le côté amateur est tellement grand que sa place au festival de cannes peut être remise en question. WTF
Après un moment de surprise face aux zombies, j'ai vu dans ce film un hommage au cinéma. Comment faire face aux énormes difficultés rencontrées par un réalisateur et l'ensemble de son équipe.
SUPER
SUPER
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse