Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Michel Hazanavicius, qui manie avec habileté les comiques de situation et rend aussi un bel hommage aux artisans du 7e art, signe un film à la fois malin et original, qui fait partie de ces œuvres que l’on a envie de revoir avec grand plaisir.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Coupez ! ravive la fougue comique de Michel Hazanavicius, qui réussit l’exploit de s’emparer du film original sans jamais en dénaturer ou assagir l’esprit rebelle, mais en l’accordant à des codes plus français et une forme d’actualité culturelle.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Avec une structure narrative complexe qui réserve son lot de rebondissements, l’ovni brille par son écriture aux petits oignons, qui manie un humour absurde savoureux dans les dialogues et les situations en décalage complet, et par sa mise en scène inventive, précise et rythmée.
Aussi étonnant qu'hilarant, Coupez ! est surtout une expérience presque unique. Celles et ceux qui auront vu l'original trouveront dans cette redite française une version plus maîtrisée et plus drôle de l'oeuvre. Les autres auront la chance de découvrir un film surprenant qui sait provoquer des éclats de rire là où on s'y attend le moins.
Une incroyable déclaration d’amour au cinéma, mais aussi une franche tranche de rigolade et un film « sang pour sang » drôle, dans lequel brillent des acteurs aussi inattendus là qu’investis, comme Bérénice Bejo, Romain Duris, Finnegan Oldfield ou Grégory Gadebois.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
On pourrait avoir l’impression que tout ça, au départ, sent un peu trop le canular chic. Mais si on se laisse porter par les personnages et leurs trajectoires, si on accepte à rebours de déconstruire le dispositif pour en percevoir la sincérité, alors Coupez ! révèle tout son charme, sa tendresse et son humour.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Coupez ! est un film majeur sur un film mineur fait avec trois fois rien, avec des bouts de ficelle, du système D, des trucages bidouillés, mais du cœur à l’ouvrage.
Coupez ! aurait pu être opportuniste et mécanique, il s'avère généreux et atypique. Quand un remake piège son spectateur pour mieux lui rappeler combien le cinéma est un art de la catastrophe, un éclat de rire irrépressible.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Sous les têtes coupées et les râles des zombies se cache la tendresse d'Hazanavicius pour le 7ème art. Son film fou, décalé, irrésistiblement rigolo ouvre la 75ème édition du Festival de Cannes.
Mais bien qu’on eut préféré que Michel Hazanavicius fasse de ce remake quelque-chose de plus personnel, reconnaissons qu’on ne boude pas notre plaisir à la vision de Coupez ! et qu’on recommande à toutes celles et ceux qui n’ont pas vu Ne Coupez Pas ! de se jeter dans le cinéma le plus proche pour découvrir un vrai-faux film de zombies mis en boîte par le toujours excellent réalisateur de The Artist.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Mieux caractérisé et mis en scène que son modèle, avec quelques ajouts (le musicien, joué par Jean-Pascal Zadi) et ajustements bienvenus (les personnages féminins plus affirmés, un petit côté méta), ce faux making of catastrophe célèbre la joie collective de faire du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Remake d’un film d’étudiant japonais, ce film à tiroirs, en trois parties dont deux plans-séquences d’une demi-heure, est un magnifique hommage à l’artisanat du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Coupez ! rassemble le meilleur du cinéaste, son élégance, sa folie douce, son aisance à manier plusieurs niveaux de comédie, et enfin et surtout, une de ses plus belles qualités, et pas des moindres, sa discrétion.
Au fil de l’histoire, on découvrira un nanar virtuose, un film de zombies qu’on admire comme des morts-vivants aux zygomatiques souples, qui n’ont pas peur de rire. Pour la première fois, des zombies nous rendent heureux, et ce n’est pas tous les jours.
Hazanavicius signe une Nuit américaine revue par Mel Brooks et George A. Romero. À côté, Tarantino ressemble presque à Rohmer. Jusqu’au bout, la surprise a été au rendez-vous.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Projetée en ouverture du festival, la nouvelle comédie du réalisateur des « OSS 117 » est une réussite mordante et touchante sur les coulisses d’un nanar sanglant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Après « The Artist » et « Le Redoutable » Michel Hazanavicius ne se lasse pas d'évoquer l'univers du cinéma et s'amuse à dépeindre le tournage improbable d'un film de zombies dans « Coupez ». Grâce à son scénario habile et à ses dialogues percutants, il entraîne le spectateur ravi dans une mise en abyme absurde et cocasse. Une comédie infiniment personnelle qui rend hommage aux artisans du métier.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ce remake du délirant (et très méta) Ne coupez pas ! voit Hazanavicius retrouver de l’allant tout en ajoutant une corde à son arc de pasticheur en série.
Si l'on aurait tendance à voter pour le joyau de Ueda, ne serait-ce que pour rendre hommage à son audace et sa spontanéité, il n'est de fait pas illégitime pour un spectateur français de se pencher d'abord sur la version d'Hazanavicius, ce dernier ayant réussi à adapter subtilement les thématiques du script au contexte d'une création horrifique francophone.
Il y a quelque chose de bouleversant à voir ces gens, qui s’aiment de temps en temps, se détestent parfois et se méprisent souvent, unir leurs forces dans la seule foi de faire tenir droit un plan de cinéma. Image d’un art collectif où même le plus grand des créateurs ne fabrique rien sans le savoir-faire de son voisin.
Dans cette ode jubilatoire au 7eart, dont l’une des belles qualités est de ne jamais se prendre au sérieux, le cinéaste met en lumière, avec un malin plaisir, le collectif et la passion (sans zapper le choc des ego parfois) à l’œuvre derrière chaque film pour que la magie opère à l’écran.
Ode aux artisans d’un cinéma fauché qui vivent leur travail comme une mission sans se soucier de fabriquer un chef-d’œuvre ou un navet, Coupez ! est une Nuit américaine zombie. Il s’en dégage la même joie collective, le même élan jusqu’au-boutiste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La première partie de Coupez ! joue à fond des codes de la série Z (peinture rouge au litre, cadre approximatif, acteurs à la ramasse) tout en donnant une pénible sensation de surplomb. La seconde l’emporte en débordant le pastiche initial et en lui offrant son contre-champ (...).
Le cinéaste libère son côté sale gosse mais ne perd jamais la maîtrise, en s’appuyant sur la force de sa direction d’acteurs et son envie de susciter de l’émotion par-delà le rire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Coupez ! documente indirectement l’état dans lequel se trouve son auteur : sous ses dehors de pochade faisant l’éloge de la « magie » du cinéma, le film brosse en creux le portrait d’un illusionniste émoussé qui tente, modestement et tant bien que mal, d’accomplir son numéro.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Coupez ! surjoue bien trop le délire régressif pour ne pas sembler poseur à force de mimer le cheap. Si bien que sa modestie de façade, barbouillée d’autodérision, se contredit constamment.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CNews
Michel Hazanavicius, qui manie avec habileté les comiques de situation et rend aussi un bel hommage aux artisans du 7e art, signe un film à la fois malin et original, qui fait partie de ces œuvres que l’on a envie de revoir avec grand plaisir.
GQ
Coupez ! ravive la fougue comique de Michel Hazanavicius, qui réussit l’exploit de s’emparer du film original sans jamais en dénaturer ou assagir l’esprit rebelle, mais en l’accordant à des codes plus français et une forme d’actualité culturelle.
Le Journal du Dimanche
Avec une structure narrative complexe qui réserve son lot de rebondissements, l’ovni brille par son écriture aux petits oignons, qui manie un humour absurde savoureux dans les dialogues et les situations en décalage complet, et par sa mise en scène inventive, précise et rythmée.
Le Journal du Geek
Aussi étonnant qu'hilarant, Coupez ! est surtout une expérience presque unique. Celles et ceux qui auront vu l'original trouveront dans cette redite française une version plus maîtrisée et plus drôle de l'oeuvre. Les autres auront la chance de découvrir un film surprenant qui sait provoquer des éclats de rire là où on s'y attend le moins.
Le Parisien
Une incroyable déclaration d’amour au cinéma, mais aussi une franche tranche de rigolade et un film « sang pour sang » drôle, dans lequel brillent des acteurs aussi inattendus là qu’investis, comme Bérénice Bejo, Romain Duris, Finnegan Oldfield ou Grégory Gadebois.
Ouest France
Michel Hazanavicius retrouve son art de la comédie si bien développé dans ses deux OSS 117.
Voici
Michel Hazanavicius signe une comédie en forme de déclaration d'amour au cinéma. Irrésistible.
CinemaTeaser
On pourrait avoir l’impression que tout ça, au départ, sent un peu trop le canular chic. Mais si on se laisse porter par les personnages et leurs trajectoires, si on accepte à rebours de déconstruire le dispositif pour en percevoir la sincérité, alors Coupez ! révèle tout son charme, sa tendresse et son humour.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Coupez ! est un film majeur sur un film mineur fait avec trois fois rien, avec des bouts de ficelle, du système D, des trucages bidouillés, mais du cœur à l’ouvrage.
Ecran Large
Coupez ! aurait pu être opportuniste et mécanique, il s'avère généreux et atypique. Quand un remake piège son spectateur pour mieux lui rappeler combien le cinéma est un art de la catastrophe, un éclat de rire irrépressible.
Elle
Sous les têtes coupées et les râles des zombies se cache la tendresse d'Hazanavicius pour le 7ème art. Son film fou, décalé, irrésistiblement rigolo ouvre la 75ème édition du Festival de Cannes.
Filmsactu
Mais bien qu’on eut préféré que Michel Hazanavicius fasse de ce remake quelque-chose de plus personnel, reconnaissons qu’on ne boude pas notre plaisir à la vision de Coupez ! et qu’on recommande à toutes celles et ceux qui n’ont pas vu Ne Coupez Pas ! de se jeter dans le cinéma le plus proche pour découvrir un vrai-faux film de zombies mis en boîte par le toujours excellent réalisateur de The Artist.
Franceinfo Culture
Coupez ! est un modèle d'orfévrerie et aussi un hommage à tous les artisans du cinéma.
L'Ecran Fantastique
Habile, même si quelques blagues faciles ternissent ce tableau très haut en couleur.
L'Humanité
Une comédie qui, derrière ses allures potaches, réserve de vraies surprises de cinéma, une vraie complexité dans sa structure.
L'Obs
Mieux caractérisé et mis en scène que son modèle, avec quelques ajouts (le musicien, joué par Jean-Pascal Zadi) et ajustements bienvenus (les personnages féminins plus affirmés, un petit côté méta), ce faux making of catastrophe célèbre la joie collective de faire du cinéma.
La Croix
Remake d’un film d’étudiant japonais, ce film à tiroirs, en trois parties dont deux plans-séquences d’une demi-heure, est un magnifique hommage à l’artisanat du cinéma.
La Septième Obsession
Coupez ! rassemble le meilleur du cinéaste, son élégance, sa folie douce, son aisance à manier plusieurs niveaux de comédie, et enfin et surtout, une de ses plus belles qualités, et pas des moindres, sa discrétion.
La Voix du Nord
Un pastiche rigolo, et surtout un formidable geste qui respire l’amour du septième art, fût-il artisanal.
Le Dauphiné Libéré
Au fil de l’histoire, on découvrira un nanar virtuose, un film de zombies qu’on admire comme des morts-vivants aux zygomatiques souples, qui n’ont pas peur de rire. Pour la première fois, des zombies nous rendent heureux, et ce n’est pas tous les jours.
Le Figaro
Hazanavicius signe une Nuit américaine revue par Mel Brooks et George A. Romero. À côté, Tarantino ressemble presque à Rohmer. Jusqu’au bout, la surprise a été au rendez-vous.
Le Point
Projetée en ouverture du festival, la nouvelle comédie du réalisateur des « OSS 117 » est une réussite mordante et touchante sur les coulisses d’un nanar sanglant.
Les Echos
Après « The Artist » et « Le Redoutable » Michel Hazanavicius ne se lasse pas d'évoquer l'univers du cinéma et s'amuse à dépeindre le tournage improbable d'un film de zombies dans « Coupez ». Grâce à son scénario habile et à ses dialogues percutants, il entraîne le spectateur ravi dans une mise en abyme absurde et cocasse. Une comédie infiniment personnelle qui rend hommage aux artisans du métier.
Les Fiches du Cinéma
Ce remake du délirant (et très méta) Ne coupez pas ! voit Hazanavicius retrouver de l’allant tout en ajoutant une corde à son arc de pasticheur en série.
Mad Movies
Si l'on aurait tendance à voter pour le joyau de Ueda, ne serait-ce que pour rendre hommage à son audace et sa spontanéité, il n'est de fait pas illégitime pour un spectateur français de se pencher d'abord sur la version d'Hazanavicius, ce dernier ayant réussi à adapter subtilement les thématiques du script au contexte d'une création horrifique francophone.
Paris Match
Un film hors cadre à ne pas mettre devant tous les yeux, mais à déguster comme le plaisir cinéphile d’un brillant affreux jojo de cinéaste.
Positif
Il y a quelque chose de bouleversant à voir ces gens, qui s’aiment de temps en temps, se détestent parfois et se méprisent souvent, unir leurs forces dans la seule foi de faire tenir droit un plan de cinéma. Image d’un art collectif où même le plus grand des créateurs ne fabrique rien sans le savoir-faire de son voisin.
Télé 7 Jours
Dans cette ode jubilatoire au 7eart, dont l’une des belles qualités est de ne jamais se prendre au sérieux, le cinéaste met en lumière, avec un malin plaisir, le collectif et la passion (sans zapper le choc des ego parfois) à l’œuvre derrière chaque film pour que la magie opère à l’écran.
Télérama
Ode aux artisans d’un cinéma fauché qui vivent leur travail comme une mission sans se soucier de fabriquer un chef-d’œuvre ou un navet, Coupez ! est une Nuit américaine zombie. Il s’en dégage la même joie collective, le même élan jusqu’au-boutiste.
Bande à part
Michel Hazanavicius s’en donne ici à cœur joie avec une mise en abyme, voire plusieurs, et un hommage à la série Z fauchée.
Cahiers du Cinéma
La première partie de Coupez ! joue à fond des codes de la série Z (peinture rouge au litre, cadre approximatif, acteurs à la ramasse) tout en donnant une pénible sensation de surplomb. La seconde l’emporte en débordant le pastiche initial et en lui offrant son contre-champ (...).
Première
Le cinéaste libère son côté sale gosse mais ne perd jamais la maîtrise, en s’appuyant sur la force de sa direction d’acteurs et son envie de susciter de l’émotion par-delà le rire.
Télé Loisirs
Amusant bien qu'inégal.
aVoir-aLire.com
Un divertissement plutôt enlevé qui séduit par sa proposition de scénario revisité, son montage judicieux et sa lecture à plusieurs niveaux.
Critikat.com
Coupez ! documente indirectement l’état dans lequel se trouve son auteur : sous ses dehors de pochade faisant l’éloge de la « magie » du cinéma, le film brosse en creux le portrait d’un illusionniste émoussé qui tente, modestement et tant bien que mal, d’accomplir son numéro.
Le Monde
Ode plaisante à la médiocrité, le film désamorce le surmoi pesant du cinéma pour vanter le chantier collectif qui en découle.
Libération
Coupez ! surjoue bien trop le délire régressif pour ne pas sembler poseur à force de mimer le cheap. Si bien que sa modestie de façade, barbouillée d’autodérision, se contredit constamment.
Les Inrockuptibles
Il manque une âme à cette comédie, et à nouveau l’impression demeure que Michel Hazanavicius n’aime pas très joliment ce qu’il prétend célébrer.