Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Figaroscope
par La rédaction
Tom Hanks joue cinq personnages dont un petit garçon dans ce conte de Noël numérique et féerique signé Robert Zemeckis qui a le sens du merveilleux. Une sorte de bonheur visuel.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Le Figaro Magazine
par Marie-Noëlle Tranchant
C'est comme si on entrait dans un livre d'enfant ancien, au charme désuet, au graphisme rêveur. Impression fantomatique, nullement désagréable, mais il faut y mettre, c'est sûr, un peu de candeur. Cette histoire d'enfant sage n'a plus guère cours. Et si l'on ne confond pas croyance et crédulité, le grelot laissé par le père Noël comme preuve de son existence sonnera bien faux.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Zemeckis invente la symbiose entre humains et toons. Un conte grimaçant et fascinant sur la quête du Père Noël.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Claire Vassé
Si l'on peut avoir quelque réticence à certains aspects du message du film (...), l'invention et la verve emportent l'adhésion.
Score
par La rédaction
Révolutionnaire et étrangement pervers, Zemeckis vient de faire entrerle conte de Noël dans le xxie siècle.
La critique complète est disponible sur le site Score
Zurban
par Véronique Le Bris
Ce voyage a la grâce des aventures impossibles qu'il faut prendre sans malice comme une incitation au rêve.
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Fascinant : à la fois un film publicitaire, exhortation au consumérisme, et à la fois un jeu subtil sur la frontière entre réel et virtuel. Kitsch et étrange.
Le Monde
par Thomas Sotinel
le vertige que provoque le film tient plus à la part de réussite qu'on est forcé de lui concéder qu'à ses limites. Il arrive, au détour d'un plan, que l'on saisisse dans le même champ un enfant et un vieillard qui sont tous deux Tom Hanks sans en avoir le visage. Devant ce déchaînement de possibilités, Robert Zemeckis s'est contenté d'égrener quelques lieux communs de saison, agrémentés d'effets visuels spectaculaires.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Jean-Christophe Derrien
Autant toutes les séquences de pure démonstration technique sont époustouflantes (...), autant les instants comiques souffrent de l'utilisation personnages numériques : les regards sont étranges et les démarches encore rigides. Le comédien en chair et en os a encore de l'avenir. Dénué de cynisme, LE POLE EXPRESS conviendra parfaitement à un très jeune public. Pour les plus grands, le charme peut opérer si on accepte les limitations du médium et le scénario simpliste.
Paris Match
par Alain Spira
Pure merveille graphique, (...) ce film ressemble à une grande attraction de parc à thèmes. (...) Quant au message que délivre cet "express", il est bien dans la mouvance d'une Amérique qui a pris son billet pour le train de la foi.
Première
par Gérard Delorme
Ni l'histoire ni la qualité de l'animation n'émeuvent, surtout si on les compare avec la dernière production Pixar, infiniement supérieure ne serait-ce que dans le domaine du rendu de la peau, des cheveux et des tissus. Avec son esthétique discutable et ses numéros musicaux qui tombent comme des cheveux sur la soupe, le film reste froid et n'est jamais plus que la somme de ses parties, aussi spectaculaires soient-elles.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
cette ode à la foi a des relents de crèche d'exportation, avec l'évangéliste Santa Claus en dealer d'opium du peuple.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Mia Hansen-Love
Un pas de géant a, dit-on, été accompli. (...) Un pas de plus dans un processus qui vise à détacher la question de l'interprétation, considérée comme simple chaîne d'informations, de celle de la présence. Cette séparation a ici pour résultat, non pas davantage de liberté et davantage de précision, mais des personnages approximatifs, éteints, comme sonnés par la somme des corrections.
Chronic'art.com
par Alex Masson
Le Pôle express (...) donne plus l'impression d'être dans un Being Forrest Gump que dans un conte de Noël. Du bouquin, pas trop mal dans son registre, de Chris Van Allsburg, il ne reste que dix minutes d'ouverture et dix de conclusion. (...) Le Pôle express est une imitation de cinéma, confondant divertissement familial et parc d'attractions de studio hollywoodien.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Ecran Fantastique
par Stéphanie Vandevyver
Lisses et sans la moindre once de caractère, [les jeunes héros] nous laissent indifférents à leur sort, tandis que le thème du film, seriné à longueur de bobines, nous et rapidement indigeste. la musique ne sauve pas la mise, utilisée ici comme avertisseur sonore surlignant à l'excès les sentiments qu'elle est sensée défendre.
Libération
par Gilles RENAULT
pendant l'essentiel du trajet, le Pôle Express produit l'exact inverse de l'effet merveilleux escompté. Fût-elle ultrasophistiquée, la méthode accouche de personnages désincarnés aux traits figés, incongrûment sinistres. (...)
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Un conte de Noël à vous dégoûter du 25 décembre: en soi, c'est un exploit.
Le Figaroscope
Tom Hanks joue cinq personnages dont un petit garçon dans ce conte de Noël numérique et féerique signé Robert Zemeckis qui a le sens du merveilleux. Une sorte de bonheur visuel.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Figaro Magazine
C'est comme si on entrait dans un livre d'enfant ancien, au charme désuet, au graphisme rêveur. Impression fantomatique, nullement désagréable, mais il faut y mettre, c'est sûr, un peu de candeur. Cette histoire d'enfant sage n'a plus guère cours. Et si l'on ne confond pas croyance et crédulité, le grelot laissé par le père Noël comme preuve de son existence sonnera bien faux.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Zemeckis invente la symbiose entre humains et toons. Un conte grimaçant et fascinant sur la quête du Père Noël.
Positif
Si l'on peut avoir quelque réticence à certains aspects du message du film (...), l'invention et la verve emportent l'adhésion.
Score
Révolutionnaire et étrangement pervers, Zemeckis vient de faire entrerle conte de Noël dans le xxie siècle.
Zurban
Ce voyage a la grâce des aventures impossibles qu'il faut prendre sans malice comme une incitation au rêve.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Fascinant : à la fois un film publicitaire, exhortation au consumérisme, et à la fois un jeu subtil sur la frontière entre réel et virtuel. Kitsch et étrange.
Le Monde
le vertige que provoque le film tient plus à la part de réussite qu'on est forcé de lui concéder qu'à ses limites. Il arrive, au détour d'un plan, que l'on saisisse dans le même champ un enfant et un vieillard qui sont tous deux Tom Hanks sans en avoir le visage. Devant ce déchaînement de possibilités, Robert Zemeckis s'est contenté d'égrener quelques lieux communs de saison, agrémentés d'effets visuels spectaculaires.
MCinéma.com
Autant toutes les séquences de pure démonstration technique sont époustouflantes (...), autant les instants comiques souffrent de l'utilisation personnages numériques : les regards sont étranges et les démarches encore rigides. Le comédien en chair et en os a encore de l'avenir. Dénué de cynisme, LE POLE EXPRESS conviendra parfaitement à un très jeune public. Pour les plus grands, le charme peut opérer si on accepte les limitations du médium et le scénario simpliste.
Paris Match
Pure merveille graphique, (...) ce film ressemble à une grande attraction de parc à thèmes. (...) Quant au message que délivre cet "express", il est bien dans la mouvance d'une Amérique qui a pris son billet pour le train de la foi.
Première
Ni l'histoire ni la qualité de l'animation n'émeuvent, surtout si on les compare avec la dernière production Pixar, infiniement supérieure ne serait-ce que dans le domaine du rendu de la peau, des cheveux et des tissus. Avec son esthétique discutable et ses numéros musicaux qui tombent comme des cheveux sur la soupe, le film reste froid et n'est jamais plus que la somme de ses parties, aussi spectaculaires soient-elles.
Aden
cette ode à la foi a des relents de crèche d'exportation, avec l'évangéliste Santa Claus en dealer d'opium du peuple.
Cahiers du Cinéma
Un pas de géant a, dit-on, été accompli. (...) Un pas de plus dans un processus qui vise à détacher la question de l'interprétation, considérée comme simple chaîne d'informations, de celle de la présence. Cette séparation a ici pour résultat, non pas davantage de liberté et davantage de précision, mais des personnages approximatifs, éteints, comme sonnés par la somme des corrections.
Chronic'art.com
Le Pôle express (...) donne plus l'impression d'être dans un Being Forrest Gump que dans un conte de Noël. Du bouquin, pas trop mal dans son registre, de Chris Van Allsburg, il ne reste que dix minutes d'ouverture et dix de conclusion. (...) Le Pôle express est une imitation de cinéma, confondant divertissement familial et parc d'attractions de studio hollywoodien.
L'Ecran Fantastique
Lisses et sans la moindre once de caractère, [les jeunes héros] nous laissent indifférents à leur sort, tandis que le thème du film, seriné à longueur de bobines, nous et rapidement indigeste. la musique ne sauve pas la mise, utilisée ici comme avertisseur sonore surlignant à l'excès les sentiments qu'elle est sensée défendre.
Libération
pendant l'essentiel du trajet, le Pôle Express produit l'exact inverse de l'effet merveilleux escompté. Fût-elle ultrasophistiquée, la méthode accouche de personnages désincarnés aux traits figés, incongrûment sinistres. (...)
TéléCinéObs
Un conte de Noël à vous dégoûter du 25 décembre: en soi, c'est un exploit.