Derniers Avis : Halloween resurrection - Page 3

Ce film est complètement NUL Je vous déconseille de le voir si vous aimez la saga Halloween car ce film détruit entièrement la crédibilité de Michael Myers. Les acteurs sont pitoyables et franchement le script ne vaut pas un clou. La mort de Jamie Lee Curtis (alias Laurie Strode) est vraiment stupide et nul.

Bien sans plus bon le masque de Michael Myers est bien réussi dans l'ensemble le début du film excellent mais après avoir fait une télé réalité dans la maison de Michaël Myers je trouver sa un peu pourri

Il est franchement un peu tard pour s’intituler Résurrection ! D’une part parce que cette renaissance s’était déjà effectuée avec l’opus précédent (Halloween, 20 ans après) au point de faire oublier les dernières catastrophes de la franchise (le 5 et le 6). Et de l’autre parce que, tout fier d’aborder un tel statut, ce nouvel Halloween n’a rien d’une quelconque résurrection. Plutôt l’inverse, étant donné qu’il s’agit-là de l’opus le plus détesté de la saga toute entière, et ce à juste titre ! Car dans leur course au succès et aux pépètes tout en voulant surfer sur le renouveau du slasher movie, les producteurs ont pondu une véritable abomination du cinéma. Et pas que dans le domaine horrifique !

Pourtant, le projet avait quelques atouts en poches, comme le retour de Jamie Lee Curtis au casting, un aspect moins ringard (grâce à l’avancée des effets spéciaux, les meurtres devraient être plus violents et crédibles), la réalisation à nouveau entre les mains de Rick Rosenthal (qui s’était occupé d’Halloween 2, l’un des épisodes les moins calamiteux de la saga), une thématique d’époque au centre de l’intrigue qui n’attend qu’à être critiquée (la télé-réalité)… Mais malheureusement, vous ne retiendrez que deux choses de cet Halloween : Résurrection. La première étant l’aspect du psychopathe Michael Myers, bien plus charismatique que dans le film précédent. La seconde, qui n’est pas une bonne chose pour le long-métrage, est le fait que l’on pleure de rire devant tant d’aberrations, à condition d’être avec des amis lors d’une soirée bien arrosée ! Car il n’y a franchement rien à sauver de ce désastre…

Il suffit de voir l’ouverture du film pour s’en rendre compte : une excuse plus que foireuse pour expliquer le retour de Myers et de caser Jamie Lee Curtis quelque part dans le projet, le tout avec des figurants jouant comme leurs pieds, une mise en scène tournant au ridicule et des répliques d’une incommensurable bêtise. Et encore, il s’agit-là des « meilleurs minutes » du long-métrage, car la suite des événements enfonce le projet encore plus loin dans la connerie. Que ce soit une intrigue fumeuse au possible n’ayant aucun lien avec l’introduction, des personnages aussi débiles que dans un Scary Movie (et avec souvent le même humour douteux, c’est pour dire !), des interprètes à la ramasse, des effets spéciaux pas toujours au top, des meurtres sans aucune saveur (on peut dire ça quand on parle d’un film d’horreur)… tout fait pitié dans cet Halloween ! Et encore, je n’ai pas parlé de certains passages scénaristiques vomitifs tels que spoiler: l’héroïne criant si fort qu’elle est capable de casser un verre rien qu’avec sa voix. Ou encore ce producteur de télé sauvant cette dernière avec quelques coups de kung-fu parce qu’il est fan de… films de kung-fu.
Sans oublier des choix de castings discutables comme celui du mannequin Tyra Banks, présente pour montrer son postérieur ( spoiler: un plan s’attarde vraiment sur cet atout
) et du rappeur Busta Rhymes. Tout est si pitoyable que l’on en oublie la piètre qualité des opus 5 et 6 au point de s’ennuyer encore plus qu’avec ces derniers…

Mais la torture ne s’arrête pas là. En effet, Halloween : Résurrection, en plus de surfer sur la renaissance du slasher movie, se permet de profiter de l’aura du Projet Blair Witch pour proposer des passages en found footage. La thématique de l’ensemble flirtant avec le monde télévisuel, ce choix de mise en scène se montrait idéal pour apporter un peu de fraîcheur à la franchise. Encore fallait-il que le tout soit réalisé avec brio, ce qui n’est pas le cas ! Déjà qu’en temps normal, le film souffre d’une photographie indigeste et d’une mise en scène des plus inexistantes, le found footage ne trouve ici aucun intérêt si ce n’est complètement perdre de vue le spectateur. La faute principalement à des séquences filmées sans aucun génie (on ne voit rien du tout avec une caméra bougeant dans tous les sens, la faible luminosité et les interférences visibles à l’image) qui ne donnent jamais le grand frisson recherché dans ce genre de divertissement. C’est plutôt le désintéressement qui prend ici place, Halloween : Résurrection ne faisant jamais preuve d’efficacité ni de savoir-faire (à aucun moment vous ne sursauterez ou bien serez angoissés par ce qui se passe à l’écran).

Si vous pensiez que la saga Halloween avait touché le fond avec le cinquième et/ou le sixième film, il aura fallu attendre ce huitième opus pour que l’inoubliable long-métrage de John Carpenter soit entaché à jamais. Véritable honte pour ce dernier mais également pour le cinéma en général, Halloween : Résurrection signait en 2002 la mort inéluctable d’une franchise en sérieuse perte de vitesse et qui ne demandait qu’à s’arrêter depuis belle lurette. Il aura néanmoins fallu un chanteur de métal (Rob Zombie) et quelques années supplémentaires pour que la saga connaisse enfin cette renaissance tant espérée !

Je m’attendais à bien mieux avec ce film car le concept est super original et innovant, mais malheureusement, le scénario n’est pas là ! Michaël Myers tue seulement les jeunes les un après les autres… Ce qui quand même bien, c’est qu’il y a des clins d’œil aux autres films. Bon, commençons par les points positifs. La scène d’introduction est plutôt bien, bien qu’il n’ait pas beaucoup de lien avec le reste. La musique est très bien, et revient bien aux sources de la série et pour finir, il est angoissant et les meurtres sont sanglant comme on les aime ! Certaines scènes sont vraiment très réussite ! Ensuite le reste est assez médiocre. La mise en scène n’est vraiment pas top, ce qui m’étonne car Rick Rosenthal avait fait un bien meilleur travaille dans halloween 2. Le scénario n’est pas assez original et l’histoire trop clichée Ensuite, les scènes en « found footage » sont de trop mauvaises qualités pour ma par Les acteurs ne sont pas terrible ! Et la fin, mon dieu la fin, il est nul et cliché !
En résumé :
Note : 6/10
Age : 13 / 14 ans
Un film assez bien et assez effrayant, avec de bon moments de flippe, mais trop clichée et pas assez original, malgré une idée innovatrice. Mais il vaut quand même le coup d’œil !

Visite de la maison du tueur "Mike Myers". Les visiteurs filment en direct, une mini caméra collée à l'oreille de chaque individu. Seulement, le montage vidéo est tantôt chez les jeunes, tantôt du point de vue du réalisateur qui nous gâche les meilleures prises. Encore une déception. Quelques acteurs connus aujourd'hui sont présents. Mais ce n'est pas à leur avantage.

Visuellement c'est réussi mais c'est tout ! Rick Rosenthal (réalisateur du deuxième opus en 1981) joue la carte du second degré et cherche à tout prix à trouver l'effet qui fait mouche, et de ce côté là il faut bien avouer qu'il est plutôt doué, malheureusement on est à mille lieues (et je suis gentil) de l'ambiance horrifique instaurée par John Carpenter ! Michael Myers méritait mieux...

" Halloween resurrection " est en quelques sortes un film plus original et plus divertissant que ses prédécesseur ! Franchement, le fait d'avoir pris une trame scénaristique plus " cool " et plus détendue nous rafraîchie bien, le monde de la télé-réalité était un très bon choix. Je n'ai vraiment eu aucun moment de coup de moue... Bon, c'est vrai que le jeu d'acteur est horrible, et que les personnages sont dans du cliché mais ça reste appréciable. L'ambiance de ce volet est plutôt réussite, pour la première fois depuis le début de la saga, je commence à ressentir de la tension pour certaines scènes. La bande-originale stressante et la mise en scène nous procure des frissons à volonté ! Bref, la resurrection du monstre est d'autant plus réussite qu'originale.

Après "Halloween II", Rick Rosenthal revient aux commandes de la saga avec un huitième film, sorti en 2002, qui est beaucoup moins réussi ! En effet, nous retrouvons ici Michael Myers qui se met à tuer des adolescents venus faire une émission de télé-réalité dans l'ancienne maison des Myers. Pourtant, la fin de "Halloween H20" était sans équivoque : Laurie tranche la tête de Michael en mettant donc un point final à la franchise. Mais c'était sans compter sur une petite pirouette scénaristique qui revient sur la fin du premier afin de justifier le retour de Michael. Effectivement, on apprend alors que Michael avait finalement étrangler un garde, lui a mis son masque afin de le faire passer pour lui dans la civière et lui a bien-sûr broyé les cordes vocales afin qu'il ne puisse pas crier ou prévenir Laurie de ne pas lui trancher la tête ! Alors tout ça, c'est bien jolie mais lorsque l'on revoit la fin de "H20", ça ne colle tout simplement pas, le garde aurait pu faire de nombreux gestes ou s'enfuir une fois traversé le pare-brise par exemple. Non, tout cela a bien-sûr été pensé à la va-vite histoire de capitaliser sur le succès (inattendu ?) de "H20". Mais alors, quitte à pondre un truc gros comme une maison absolument pas crédible, pourquoi ne pas avoir été dans un registre fantastique assumé, comme dans le cycle Jamie Lloyd ? Ça aurait certes peut-être fait tache mais en tout cas, bien moins qu'avec ce retournement de situation bidon ! Bref, une fois passer ces explications risibles, spoiler: on se débarrasse vite fait de Laurie
et on explore le nouveau filon juteux de la télévision : la télé-réalité. À l'image de "My Little Eye" par exemple, sorti la même année d'ailleurs, le film met en scène une sorte de télé-réalité dans laquelle les participants sont en danger de mort. Évidemment, ici, la présence de Michael n'était pas prévue, elle créer alors un vent de panique parmi les personnages. Bon, outre la relative bonne idée d'exploiter la télé-réalité (quoique ça n'a pas vraiment sa place dans une franchise comme celle-ci), on retombe assez vite dans le déjà-vu et dans les clichés grotesques du slasher, enfin plutôt du néo-slasher à l'époque où sort le film. Les personnages sont de plus très creux, aucun ne sort vraiment du lot, même la final girl qui n'a aucune personnalité ni once d'originalité. On s'ennuie donc assez rapidement devant ce spectacle qui peine à offrir quel-chose de captivant et on peut en plus ajouter à cela une mise en scène qui alterne entre found footage dégueulasse et plans "normaux" très peu inspirés. "Halloween : Resurrection" n'est donc pas le pire de la saga (n'oublions pas les cinquième et sixième épisodes) mais fait en tout cas partie des moins inspirés !

24 ans après le premier "Halloween", et sept épisodes plus tard, l'héritage de Carpenter paraît définitivement dilapidé. Ce huitième opus (huit ??) monte crescendo dans le ridicule, qu'il s'agisse des scènes de meurtre ou de l'interprétation de ses jeunes acteurs au rabais. La tension est factice, et le huis clos dans la maison tout sauf angoissant, la faute à une réalisation lacunaire en terme d'intensité et de suspense. Chaque scène semble mise bout à bout sans recherche de cohérence. On ne s'étonnera donc pas d'un final ridicule au plus haut point. Heureusement que Rob Zombie reprenait en main la série cinq ans plus tard avec un excellent remake.

Classique dans le genre
Pas de peur spéciale, une télé réalité du 21ème siècle

Un H en phase avec son époque (débuts de la TV réalité) en 2002. Ce film est bien fait et à une suite logique avec le précédent H20 ! J'aime bien ce film car il a su au bon moment utiliser le filon TV réalité ! On passe un bon moment ! Le but d'un film d'horreur est de faire peur et là c'est le cas ! Vivement le prochain H !!!!!

Quelle tristesse de voir cette saga "se terminer" de cette manière.
Les autres opus n'ont pas toujours été très bons (à part évidemment le cultissime premier), mais celui tient la palme de la nullité.

spoiler: Jamie Lee Curtis prend la bonne décision en apparaissant dans ce film afin de mettre un terme à son personnage. Oh... quoique... ils trouveraient bien un moyen de la ressusciter s'il le fallait... Au moins elle se préservait d'une éventuelle suite. Du moins pour elle.


Mais de suite, il n'y aura pas. Vive les remakes (ratés)! Et peut-être bientôt un reboot.

Bon, et le film en lui-même?
Que dire sinon qu'il est mauvais, prévisible et sans intérêt.

Le pire Halloween de la saga et sans aucun doute le plus ridicule de tous, franchement qu'est ce que l'on ne ferait pas pour trouver un moyen de faire revenir Michael Myers au cinéma .
Le scénario bidon et les situations invraisemblables se succèdent à tour de rôle .
Pour ce qui rêver de voir un jour le rappeur Busta Rhymes faire du kung fu avec Michael Myers ne seront pas déçu .
J'ai halluciner quand j'ai vu cette scène incroyable, je n'en croyais pas mes yeux et pourtant ce n'est qu'un simple détail de la débilité de ce film .
Voila que désormais, l'un des plus célèbres tueurs en série du cinéma se prête au jeu de la télé réalité, imaginez un peu Freddy Krueger ou bien encore Jason Voohrees dans l'unes de ces grotesques émissions que l'on voit tout au long de l'année depuis un bon moment déjà .
Le seul plaisir que l'on aurait serait de voir tout ces idiots se faire remettre à leur place uns par uns .
Pour ceux qui aurait déjà vu l'opus précèdent celui la, on aurait pût croire que la comédie avait assez durer, mais voila qu'un script venu d'ailleurs fit son apparition .
Il auront tout inventer pour nous en remettre encore une couche, et c'est bien loin d'être fini j'en est bien peur .

De bonnes scènes d'angoisses et de gore mais les acteurs sont très moyens. La scène de début ne sert strictement à rien. Conslusion : un bon film, sans plus.

Un film faible que ce Halloween 8, où Myers ne joue plus qu’un petit rôle au profit d’un groupe de jeunes.Niveau acteur le film propose en effet un groupe de jeunes adultes dans lequel se sont glissés quelques petites personnalités à l’époque peu connues, comme Tyra Banks ou Katee Sackhoff. Globalement il n’y a rien que de très attendu, avec des rôles mal dégrossis, et qui, même s’il colle bien sûr à l’idée de cette télé-réalité que nous montre le métrage, sont malheureusement des plus basiques et ne suscitent guère d’intérêt. La différence d’ailleurs entre le début avec Curtis en rôle principal et la suite avec les autres acteurs est réellement très marquée. Le scénario prend le chemin de la télé-réalité, avec des idées qui n’ont rien de mauvaises en fait. Après tout, pourquoi pas, le résultat pouvait être prometteur. Le souci c’est qu’après une introduction qui a de l’allure, le spectateur doit patienter grosso-modo jusqu’à la soixantième minute pour voir débarquer Myers, et voir de l’action. Du coup il faut reconnaitre que la très longue présentation des personnages, les très longues déambulations de ces derniers dans la maison de Myers, à se montrer leurs seins et à se faire peur avec des squelettes en plastique composent une partie centrale assez pesante. Finalement on perd ici ce qui faisait globalement la force de la saga, à savoir un rythme percutant. Néanmoins les dernières trente minutes réservent encore quelques petites choses pas mauvaises.Visuellement c’est Rick Rosenthal qui s’y colle, lui qui avait déjà réalisé Halloween 2, film assez moyen dans la saga. Globalement on retrouve une certaine efficacité dans les meurtres, qui sont tout à fait dans le style d’Halloween, c’est-à-dire simple, sans fioriture, même si ici Myers aura tendance à jouer un peu plus avec ces victimes, ce qui néanmoins n’est pas dérangeant. De même Halloween 8 tend à proposer une ambiance photographique et des décors proche des précédents épisodes, mais avec une réussite moindre. Le film parait financièrement assez mal doté, avec des décors peu percutants (c’est tout de même la maison de Myers, on pouvait attendre davantage). Les effets horrifiques restent très corrects, et efficaces mais peu sanglants, il faut le dire. J’ai quelques regrets par rapport à une bande son peu prégnante.Finalement cet Halloween 8 est un film faible, il faut le dire. Myers joue un rôle très secondaire tout de même, surement à cause de la présence pléthorique de personnages que l’histoire cherche à nous présenter par trop, et l’ensemble souffre du coup du rythme surement le plus faible de la saga. Par ailleurs au niveau des rôles, et même d’un point de vue visuel on descend en gamme ici. Je donne 2, mais c’est presque gentil.