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Un H en phase avec son époque (débuts de la TV réalité) en 2002. Ce film est bien fait et à une suite logique avec le précédent H20 ! J'aime bien ce film car il a su au bon moment utiliser le filon TV réalité ! On passe un bon moment ! Le but d'un film d'horreur est de faire peur et là c'est le cas ! Vivement le prochain H !!!!!
Film qui s'impose malheureusement comme étant l'un des pires de la saga Halloween, ce huitième opus possède une histoire qui frôle le ridicule, un casting qui fait une performance assez désastreuse et une photographie qui est digne des mauvais téléfilms des années 80. Quant à la mise en scène de Rick Rosenthal (qui était d'ailleurs le réalisateur du second opus) elle possède bien peu de suspense et de tension, comme en témoigne les séquences de meurtres qui s'avèrent bien mal filmées.
Même si ce film a été fait pour surfer sur le succès de la télé-réalité, il reste excellent. C'est un retour au source, dans la maison de Michael Myers, avec de nouveaux personnages très sympathique et un Michael Myers ayant reprit du poil de la bête.
On fait beaucoup mieux dans le 21eme siecle ... A voir si on aime les sagas :)
🎬 RENGER 📼
Quel gâchis, voilà les premiers mots qui nous viennent à l’esprit lors que l’on découvre Halloween : Résurrection (2002).
Alors que nous avions enfin réussit à nous réconcilier avec la franchise grâce au grand retour de Laurie Strode dans Halloween : 20 ans après, il revient (1998), parce qu’il faut bien l’admettre, les suivants étaient tous très décevants, pour ne pas dire inutiles. Et alors que le film permettait enfin, de clôturer la saga comme il se devait. Nous revoilà toujours et encore en présence de Michael Myers, frais comme un gardon et prêt à trucider qui conque se trouve sur son chemin.
Visiblement, l’appel de l’argent était bien trop fort pour les producteurs, pour se refuser de donner une énième suite (alors que le précédent nous offrait justement une fin claire, nette et précise). A tel point que l’on regrette amèrement d’y voir Jamie Lee Curtis (contrainte d’y participer afin de répondre à ses obligations contractuelles). Sa participation au film ne dépasse pas les 15 minutes montre en main ! Le temps pour elle de faire une courte apparition dans le prologue, avant que le film ne baigne définitivement dans le pathétique.
Remettons-nous dans le contexte, début des années 2000, Big Brother (l’émission de téléréalité) voit le jour et c’est de cela que ce sont inspirés les scénaristes (imaginer une bande de jeunes cloîtrés dans l’ancienne maison de Michael Myers, sous l’œil des caméras et ce, devant des milliers d’internautes). Un postulat de départ complètement con et navrant auquel ne participe pas Jamie Lee Curtis (estimons-nous heureux). Ajouter à cela, la mode du "found footage" après le succès rencontré par Le Projet Blair Witch (1999), raison pour laquelle tous les acteurs sont affublés de caméras portatives, rendant la moindre image particulièrement dégueulasse.
Histoire d’enfoncer le clou encore plus loin, le film se paie le luxe d’avoir un casting tellement hétéroclite qu’il en devient navrant, avec dans les rôles principaux Busta Rhymes (rappeur) qui pratique du karatéka à ses heures perdues, Tyra Banks (présentatrice télé) ou encore Thomas Ian Nicholas (saga American Pie).
Il est loin le temps où Rick Rosenthal avait su offrir à la franchise une suite digne de ce nom avec Halloween II (1981). Un désastre du début à la fin, qui nous permet d’affirmer que nous avons là le pire opus de la franchise.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
Alors que nous avions enfin réussit à nous réconcilier avec la franchise grâce au grand retour de Laurie Strode dans Halloween : 20 ans après, il revient (1998), parce qu’il faut bien l’admettre, les suivants étaient tous très décevants, pour ne pas dire inutiles. Et alors que le film permettait enfin, de clôturer la saga comme il se devait. Nous revoilà toujours et encore en présence de Michael Myers, frais comme un gardon et prêt à trucider qui conque se trouve sur son chemin.
Visiblement, l’appel de l’argent était bien trop fort pour les producteurs, pour se refuser de donner une énième suite (alors que le précédent nous offrait justement une fin claire, nette et précise). A tel point que l’on regrette amèrement d’y voir Jamie Lee Curtis (contrainte d’y participer afin de répondre à ses obligations contractuelles). Sa participation au film ne dépasse pas les 15 minutes montre en main ! Le temps pour elle de faire une courte apparition dans le prologue, avant que le film ne baigne définitivement dans le pathétique.
Remettons-nous dans le contexte, début des années 2000, Big Brother (l’émission de téléréalité) voit le jour et c’est de cela que ce sont inspirés les scénaristes (imaginer une bande de jeunes cloîtrés dans l’ancienne maison de Michael Myers, sous l’œil des caméras et ce, devant des milliers d’internautes). Un postulat de départ complètement con et navrant auquel ne participe pas Jamie Lee Curtis (estimons-nous heureux). Ajouter à cela, la mode du "found footage" après le succès rencontré par Le Projet Blair Witch (1999), raison pour laquelle tous les acteurs sont affublés de caméras portatives, rendant la moindre image particulièrement dégueulasse.
Histoire d’enfoncer le clou encore plus loin, le film se paie le luxe d’avoir un casting tellement hétéroclite qu’il en devient navrant, avec dans les rôles principaux Busta Rhymes (rappeur) qui pratique du karatéka à ses heures perdues, Tyra Banks (présentatrice télé) ou encore Thomas Ian Nicholas (saga American Pie).
Il est loin le temps où Rick Rosenthal avait su offrir à la franchise une suite digne de ce nom avec Halloween II (1981). Un désastre du début à la fin, qui nous permet d’affirmer que nous avons là le pire opus de la franchise.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
Dans cet ultime film de cette première saga, pour innover une ultime fois,le scénariste s'inspire des émissions de télé-réalité du moment pour mettre en avant un groupe de jeunes adultes filmé dans la maison de Mickael Myers.
Mis à part cela,le film reste un classique et la fin ne pressage en tour cas aucun retour de Mickael.
Mis à part cela,le film reste un classique et la fin ne pressage en tour cas aucun retour de Mickael.
Rick Rosenthal, déjà réalisateur du deuxième et meilleur film de la saga revient pour ce « Halloween Resurrection ». Contrairement à ce que le titre pourrait laisser présumer, Rosenthal choisit de donner une dimension « réaliste » au film. Il y a donc bien eu décapitation lors du précédent opus mais Laurie a fait une erreur, ce n'était pas Myers sous le masque, il n'y a donc pas « résurrection » et toute dimension fantastique est mise de côté contrairement à ce que la saga « vendredi 13 » choisit avec « Jason le mort-vivant ». Bien sûr, réaliste est un bien grand mot quand on pense à tout ce que Myers « subit » dans les précédents films. Ce 8ème film commence par une introduction énergique qui met en scène la « mort » de notre héroïne Laurie. Oui Myers « tue » sa soeur ! J'utilise des guillemets car on sait qu'on peut se permettre beaucoup de choses dans ce genre de saga et nous savons également qu'un « 40 ans plus tard » sera bientôt visible sur nos écrans avec ... Jamie Lee Curtis ! Mais bref, ce métrage commence par une ultime « lutte » entre Myers et sa soeur et cette dernière est tuée ! Après, Myers tend son couteau à un fou de l'hôpital qui sera par la suite (on le suppose) soupçonné d'avoir tué Laurie ou, pire, d'être Michael Myers.
Myers rentre alors paisiblement chez lui, son devoir accompli et souhaitant peut-être un peu de paix vu qu'aucun but ne semble plus l'animer à présent. C'est alors qu'une émission de télé-réalité prend pour décors sa maison inhabitée depuis fort longtemps... Le jeu des caméras fixes dans les pièces ainsi que celles en permanence sur les comédiens aurait vraiment pu fonctionner, malheureusement tout est mal exploité. Le résultat est très décevant... L'histoire s'essouffle vite, les acteurs sont peu convaincants et même les meurtres souffrent d'une banalité consternante. Avons-nous fait le tour de tout ce qui pouvait fonctionner en cette saga ? Nous aurons bientôt la réponse à cette question !
Myers rentre alors paisiblement chez lui, son devoir accompli et souhaitant peut-être un peu de paix vu qu'aucun but ne semble plus l'animer à présent. C'est alors qu'une émission de télé-réalité prend pour décors sa maison inhabitée depuis fort longtemps... Le jeu des caméras fixes dans les pièces ainsi que celles en permanence sur les comédiens aurait vraiment pu fonctionner, malheureusement tout est mal exploité. Le résultat est très décevant... L'histoire s'essouffle vite, les acteurs sont peu convaincants et même les meurtres souffrent d'une banalité consternante. Avons-nous fait le tour de tout ce qui pouvait fonctionner en cette saga ? Nous aurons bientôt la réponse à cette question !
FaRem
La fin de Halloween H20 était bonne puis c'était une fin qui clôturée plutôt bien la saga mais l'appel du fric est toujours plus fort on croit retrouver un énième affrontement entre Laurie et Michael et pourtant non le tout est vite expédié comme pour terminer la boucle est passer à autre et pour au passage profiter du nom de Jamie Lee Curtis pour attirer du monde alors qu'elle est là même pas 10 minutes.
Ce 8e Halloween est pas le plus mauvais mais c'est vraiment un slasher ce qu'il y a de plus classique sous fond de teen movie, l'ambiance qui a fait le succès des précédents n'est plus présente et on assiste à des meurtres sans grand intérêt avec des personnages complètement débiles.
Ce 8e Halloween est pas le plus mauvais mais c'est vraiment un slasher ce qu'il y a de plus classique sous fond de teen movie, l'ambiance qui a fait le succès des précédents n'est plus présente et on assiste à des meurtres sans grand intérêt avec des personnages complètement débiles.
Visite de la maison du tueur "Mike Myers". Les visiteurs filment en direct, une mini caméra collée à l'oreille de chaque individu. Seulement, le montage vidéo est tantôt chez les jeunes, tantôt du point de vue du réalisateur qui nous gâche les meilleures prises. Encore une déception. Quelques acteurs connus aujourd'hui sont présents. Mais ce n'est pas à leur avantage.
Audrey L
"Mais taisez-vous !!!"... On ne sait pas bien qui a eu l'idée de mêler télé-réalité et Halloween, mais il mérite de participer à l'émission, attaché au milieu de la maison de Michael avec un gyrophare sur la tête. On subit de A à Z ce navet accompli qui talonne de près, en terme de catastrophe affligeante, le sixième opus hautement corrosif pour les yeux et le cerveau, devenant donc le deuxième plus mauvais de la saga. Resurrection commence très mal, en choisissant un twist grossier pour justifier le (énième) retour de Michael, crachant au passage sur la fin du (assez sympa) septième opus, et en décidant très tôt de
spoiler:
faire mourir
Laurie Strode de façon placide (tomber d'un toit... Non mais franchement, elle mérite mille fois mieux ! La fan de Curtis a mal). S'ensuit ce scénario bête à pleurer de télé-réalité avec des ados qui vont explorer la maison de Michael, et se font, logiquement, dégommer un par un...tandis qu'un groupe d'amis commentent en direct chaque mort de façon puérile (en pensant qu'il s'agit d'un canular). D'abord, les va-et-viens entre les morts (dans la maison) et les spectateurs (dans une autre maison) nous offrent un montage douteux, qui entrecoupent sans arrêt les scènes intéressantes (ou vous les montrent au travers d'une télé qui grésille... on ne voit rien, un régal), ensuite, les vannes nullissimes que font les amis cassent complètement les effets de peur des scènes de tuerie. Imaginez un de vos amis hilare devant votre film d'horreur préféré, qui se moque ouvertement (et très bêtement) de chaque ressort horrifique, parlant par-dessus et monopolisant même votre regard... Ca vous agace, n'est-ce pas ? Halloween 8 fait de même, sur 1h30, et c'est infernal. On n'a qu'une seule envie : que Michael claque la porte de sa maison pour débarquer chez les amis et les zigouiller, juste pour pouvoir continuer le film tranquille. Aussi, vous finirez certainement cet opus sur les rotules, épuisé d'avoir tenté ce Loft Story Halloween puéril et qui renie la fin du film-anniversaire pas mauvais... La Voix dit qu'on a voté pour le candidat qui quittera l'émission : Halloween 8, tu sors.
Laurie Strode de façon placide (tomber d'un toit... Non mais franchement, elle mérite mille fois mieux ! La fan de Curtis a mal). S'ensuit ce scénario bête à pleurer de télé-réalité avec des ados qui vont explorer la maison de Michael, et se font, logiquement, dégommer un par un...tandis qu'un groupe d'amis commentent en direct chaque mort de façon puérile (en pensant qu'il s'agit d'un canular). D'abord, les va-et-viens entre les morts (dans la maison) et les spectateurs (dans une autre maison) nous offrent un montage douteux, qui entrecoupent sans arrêt les scènes intéressantes (ou vous les montrent au travers d'une télé qui grésille... on ne voit rien, un régal), ensuite, les vannes nullissimes que font les amis cassent complètement les effets de peur des scènes de tuerie. Imaginez un de vos amis hilare devant votre film d'horreur préféré, qui se moque ouvertement (et très bêtement) de chaque ressort horrifique, parlant par-dessus et monopolisant même votre regard... Ca vous agace, n'est-ce pas ? Halloween 8 fait de même, sur 1h30, et c'est infernal. On n'a qu'une seule envie : que Michael claque la porte de sa maison pour débarquer chez les amis et les zigouiller, juste pour pouvoir continuer le film tranquille. Aussi, vous finirez certainement cet opus sur les rotules, épuisé d'avoir tenté ce Loft Story Halloween puéril et qui renie la fin du film-anniversaire pas mauvais... La Voix dit qu'on a voté pour le candidat qui quittera l'émission : Halloween 8, tu sors.
A vouloir (volontairement ou non) jouer avec les codes du genre, le film en devient affreusement caricatural. La scène d'ouverture était pourtant prometteuse et l'idée plutôt originale. Mais les personnages sont ridicules et les interprètes affreusement mauvais ! On peut toutefois retenir que le film parvient à faire rire, grâce notamment à Busta Rhymes, même si ce n'était pas forcément ce qu'on attendait...
Visuellement c'est réussi mais c'est tout ! Rick Rosenthal (réalisateur du deuxième opus en 1981) joue la carte du second degré et cherche à tout prix à trouver l'effet qui fait mouche, et de ce côté là il faut bien avouer qu'il est plutôt doué, malheureusement on est à mille lieues (et je suis gentil) de l'ambiance horrifique instaurée par John Carpenter ! Michael Myers méritait mieux...
L'un des meilleurs film de la saga avec un Michael Myers plutot " pas mal " dans son rôle . De bons effets spéciaux de maquillages vraiment extra et plutot réaliste .
Une réalisation plutot pas mal du tout . Cet opus relève le niveau des précédents films.
A voir.
Une réalisation plutot pas mal du tout . Cet opus relève le niveau des précédents films.
A voir.
Xavi_de_Paris
24 ans après le premier "Halloween", et sept épisodes plus tard, l'héritage de Carpenter paraît définitivement dilapidé. Ce huitième opus (huit ??) monte crescendo dans le ridicule, qu'il s'agisse des scènes de meurtre ou de l'interprétation de ses jeunes acteurs au rabais. La tension est factice, et le huis clos dans la maison tout sauf angoissant, la faute à une réalisation lacunaire en terme d'intensité et de suspense. Chaque scène semble mise bout à bout sans recherche de cohérence. On ne s'étonnera donc pas d'un final ridicule au plus haut point. Heureusement que Rob Zombie reprenait en main la série cinq ans plus tard avec un excellent remake.
LE halloween en trop. Pourquoi avoir fait une suite à l'excellent "H20" ? Il présentait un final si génial ! Il a encore fallut que les scénaristes nous pondent un truc complètement tiré par les cheveux, dans le but de nous faire un Nième film commercial. C'est navrant. Mis à part ça, Halloween Resurrection se laisse regarder très facilement, mais je n'arrive pas à accrocher. Les acteurs sont vraiment mauvais, et le film est bourré de personnages caricaturés et de clichés. Mais à part ça, la mise en scène, la musique et le rythme sont bons. Personnellement, je n'accroche pas trop à ce volet, que je trouve assez médiocre. Je préfère nier son existence.
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