Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur et Alain Grasset
Filmé à fleur de peau, avec une caméra fébrile et plus vivante que jamais, formidablement joué par Marilyne Canto dont il est temps de faire une grande actrice, « le Lait... » est le grand coup de coeur de cette semaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Isabelle Fajardo
On n'a jamais filmé l'angoisse d'être mère de manière aussi frontale, aussi organique. Obstinément, Dominique Cabrera s'attache à dire l'essentiel (lait-sang-ciel), à montrer la vie telle qu'elle est, âpre, bouillonnante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Le Lait... est peut-être, (...), entre autoportrait et désir de fiction, un film entre deux eaux. Il déroute, ou s'adresse à vous immédiatement ; (...) c'est un film aussi sensible que dérangeant, aussi paumé qu'il est sûr d'une seule chose : le monde est à portée de main.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Olivier Bonnard
Un émouvant portrait de femme comme seul, sans doute, une femme pouvait en brosser un.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Une femme plonge au plus profond d'elle-même. Eblouissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Sophie Bonnet
Dans ce film sur la vulnérabilité du lien qui nous unit au monde, Cabrera n'est jamais aussi forte que lorsqu'elle délaisse le fil narratif (...) C'est là qu'elle parvient à capter de vrais moments de grâce.
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
(...) un film qui touche droit au cœur, et ça fait du bien.
Cahiers du Cinéma
par Jérôme Larcher
(...) ce lait laisse un arrière-goût dans la bouche, tant il est sucré; la cinéaste se risque rarement à l'âpreté (...) et le vent de folie qui secoue le film se réduit parfois à de la sensiblerie.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Première
par Virginie Apiou
On suit au gré, d'une réalisation inégale, l'existence d'une douzaine de personnages. Et c'est sans surprise que les très solides Olivier Gourmet, Sergi Lopez et Dominique Blanc se montrent impeccables dans des rôles d'"humains-trop-humains". Pour les amateurs donc.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Pierre Guifou
(...) Pantin désincarné, (l'interprétation de Maryline Canto), figée par la tyrannie du scénario et le chichi de la mise en scène, est le reflet tristement parfait d'un film froidement empesé.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Louis Guichard
Une femme prise de phobie face à son nourrisson et à sa charge de mère de famille, c'est un sujet fort. (...) Malheureusement, dans le film de Dominique Cabrera, cette transgression n'est qu'un point de départ. (...) Exit la part aventureuse (et prometteuse) de l'affaire, comme si la cinéaste n'avait pas voulu regarder les abîmes que son scénario ouvrait.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Vincent Malausa
Tout ici s'enclenche dans une mécanique pompeuse, trop large, dévorant rapidement les rares bonnes idées qui se dégagent comme par magie de cet agrégat de bonnes pensées mielleuses.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Le Parisien
Filmé à fleur de peau, avec une caméra fébrile et plus vivante que jamais, formidablement joué par Marilyne Canto dont il est temps de faire une grande actrice, « le Lait... » est le grand coup de coeur de cette semaine.
Télérama
On n'a jamais filmé l'angoisse d'être mère de manière aussi frontale, aussi organique. Obstinément, Dominique Cabrera s'attache à dire l'essentiel (lait-sang-ciel), à montrer la vie telle qu'elle est, âpre, bouillonnante.
Aden
Le Lait... est peut-être, (...), entre autoportrait et désir de fiction, un film entre deux eaux. Il déroute, ou s'adresse à vous immédiatement ; (...) c'est un film aussi sensible que dérangeant, aussi paumé qu'il est sûr d'une seule chose : le monde est à portée de main.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Un émouvant portrait de femme comme seul, sans doute, une femme pouvait en brosser un.
Le Monde
Une femme plonge au plus profond d'elle-même. Eblouissant.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Dans ce film sur la vulnérabilité du lien qui nous unit au monde, Cabrera n'est jamais aussi forte que lorsqu'elle délaisse le fil narratif (...) C'est là qu'elle parvient à capter de vrais moments de grâce.
MCinéma.com
(...) un film qui touche droit au cœur, et ça fait du bien.
Cahiers du Cinéma
(...) ce lait laisse un arrière-goût dans la bouche, tant il est sucré; la cinéaste se risque rarement à l'âpreté (...) et le vent de folie qui secoue le film se réduit parfois à de la sensiblerie.
Première
On suit au gré, d'une réalisation inégale, l'existence d'une douzaine de personnages. Et c'est sans surprise que les très solides Olivier Gourmet, Sergi Lopez et Dominique Blanc se montrent impeccables dans des rôles d'"humains-trop-humains". Pour les amateurs donc.
Chronic'art.com
(...) Pantin désincarné, (l'interprétation de Maryline Canto), figée par la tyrannie du scénario et le chichi de la mise en scène, est le reflet tristement parfait d'un film froidement empesé.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Une femme prise de phobie face à son nourrisson et à sa charge de mère de famille, c'est un sujet fort. (...) Malheureusement, dans le film de Dominique Cabrera, cette transgression n'est qu'un point de départ. (...) Exit la part aventureuse (et prometteuse) de l'affaire, comme si la cinéaste n'avait pas voulu regarder les abîmes que son scénario ouvrait.
Urbuz
Tout ici s'enclenche dans une mécanique pompeuse, trop large, dévorant rapidement les rares bonnes idées qui se dégagent comme par magie de cet agrégat de bonnes pensées mielleuses.