On se demande si on se trouve devant un film de cinéma ou un sitcom cagueux. Il ne manque que les rires enregistrés, bien des séries nulles volent plus haut que cette crétinerie qui nous narre les états d'âmes sans intérêt d'une midinette grassouillette de 35 ans. Hugh Grant devait avoir besoin d'oseille pour jouer dans ce nanar, il a habitué le spectateur à beaucoup mieux ( "pour un garçon", "escrocs mais pas trop"...)
Un film surestimé. Alors j'ai lu que ce film avait le mérite de battre en brèche les clichés des comédies romantiques. Cependant, il ne suffit pas de prendre une héroïne de lui donner un peu d'embonpoint et de prendre un prétendant avec des défauts pour que sa soit forcément anticonformiste. Parce que à part ce choix de scénario, le film nous ressert la même chose, la même guimauve. Et pire que ça, elle le fait mais encore pire que la moyenne du genre. En effet le nombre de clichés qui inondes le film font légions. Pour finir certains vont me dire que ce film est drôle et va au delà de ce qu'o,n a pu voir dans d'autres films du genre. Je ne suis pas d'accord avec ça, puisque l'humour est vraiment absent. Alors oui comme je le disais on n'a plus cette héroïne toute pretty, mais avec du poids en trop, mais et alors si c'est pour arriver au même situation, au même niveau de niaiserie sa ne sert à rien. Et justement revenons en à l'humour, à partir de là ils auraient pu jouer avec les codes, pour que ça soi drôle, mais non ils ne font rien avec. Ils croient peut être que c'est de l'humour, mais on en est bien loin. Alors je ne met pas la note minimal (0.5), car j'ai adoré la scène de combat totalement jouissif entre Hugh Grant et Colin Firth qui montre que le film a des couilles. Mais cette scène ne dure que 5 minutes pour une purge de plus de 90 minutes.
Même pas un rire ! Même pas juste un petit sourire ! Mais c'est quoi ce film adulé par bon nombre de personnes ? Je dois être un extra-terrestre car franchement, même un documentaire sur la fabrication des saucisses de Francfort me parraitrait encore plus amusant... C'est bête, débile et minable. Dans la même fosse-sceptique qu'American Pie, Scary Movies et compagnie... hopla !
Pendant une heure on croit qu'on va voir un film original et au final on a un film qui finit dans la pire des guimauves (on la sentait venir mais on se disait, ce n'est pas possible ils ne vont pas oser nous imposer ça, ben si, ils l'ont fait). C'est dommage, il y avait quelques bonnes idées surtout dans la première partie. Renée Zellweger est excellente, Hugh Grant est bien, en revanche Colin Firth est une vraie tête à claques. C'est ni bon ni mauvais, c'est… bof !
A part quelques répliques et scènes vaguement drôles, une comédie romantique loin d'être exceptionnelle. Des personnages et des situations qui versent avec mièvrerie dans le cliché. Même si Renée Zellweger en fait des tonnes, un film qui manque singulièrement de piquant, mou et à la mise en scène pas élaborée du tout. Une bonne grosse déception.
Totalement raté en termes de mise en scène et d'humour, seul le jeu de l'actrice Zellwegger arrive à tirer son épingle du jeu dans ce pathos hollywoodien qui ne vaut guère mieux que " un jour, une histoire " sur M6. Un film qui s'oublie très vite, heureusement pour nous...
Une jeune trentenaire anglaise cherche désespérément le grand amour. Quel talent dans les dialogues, dans les situations. Les anglais sont définitivement plus trashs que nous français. Voir un tel sens de l'auto-érision et du ridicule c'est du grand art. Quand au trio Zeilwegger, Grant et frith il est formidable. C'est un peu dans la lignée de 4 mariages et un enterrement, qui était déjà une référence dans la comédie romantique pas nunuche. Une très belle réussite.
Film lourd avec des gags lourds, des personnages lourds et une Bridgets Jones lourdes (dans les deux sens du terme), le tout formaté pour plaire aux bonnes familles ayant besoin de se rassurer et de se complaire dans la connerie démentielle de ce tas d'abrutis complexés qui n'a même pas le mérite de nous faire esquisser un sourire. En fait, ça ne m'étonne même pas de voir les trois acteurs principaux, tous aussi minables les uns que les autres, réunits dans ce navet de la pire espèce, puisqu'on les hait dans chacun de leurs films respectifs. Hugh Grant pour son faux charisme de beau gosse, irritant au plus haut point, Renée Zellwegger pour sa gueule bouffie, sans cesse esquintée par un sourire niais et mielleux et finalement Colin Firth pour sa mono-expression et son jeu d'acteur à endormir un hyperactif une nuit de plein lune. Si seulement quelqu'un pouvait m'expliquer le succès de cette merde qu'est Le Journal Bridget Jones!
Comédie Britannique qui nous fait suivre les aventures de Bridget Jones, jeune trentenaire célibataire et qui a pour résolution de se trouver un bon mari, d'arrêter de fumer, de boire et de noter ses pensées dans un journal intime, "Le journal de Bridget Jones" s'avère une déception. Partant pourtant bien, avec une bonne première partie qui arrivait bien à éviter tous les clichés du genre, à ne pas être niais ou mièvre et avec des situations et des gags bien trouvés et marrants, la deuxième partie tombe beaucoup plus dans la mièvrerie, avec certaines ficelles un peu trop grosse, le charme se dissipe peu à peu et au final c'est trop inégal. On pourra aussi regretter une mise en scène trop convenu, les interprétations sont correct avec notamment un bon Hugh Grant. Après rien non plus de désagréable, on a vu pire mais on a aussi vu beaucoup mieux.
Sûrement l'une des comédies les plus marquantes des années 2000. Le Journal de Bridget Jones adopte un ton qui lui est propre, qui met en avant l'auto-dérision, tout en conservant une pointe de romantisme et un soupçon d'idéalisme. Ce film aurait pu s'appeler L'Amour et ses imperfections ou bien encore Confidences d'une trentenaire célibataire. Même si l'histoire n'est pas très réaliste, qu'une Renée Zellweger célibataire ça n'existe que rarement, force est de constater que la recette de cette séduisante comédie romantique fonctionne.
Mettre un étoile est très difficile, et comme je ne l'ai pas vu jusqu'à la fin (que j'avais deviné cela dit, donc rien de perdu), il aura zéro ! On suit les tribulations d'un "pauvre" femme dont les principaux problèmes existentiels c'est qu'elle se sent seule même si elle couche avec tout ce qui bouge !! Le jour où on nous fera un vrai film sur une complexée qui est réellement laide, je mettrai peut-être plus. Désolé mais là c'est zéro !
Peut-être un peu moins charmant que dans mon souvenir, « Le Journal de Bridget Jones » garde toutefois un certain capital sympathie quinze ans après. Cela est bien sur dû principalement à son héroïne (excellente Renée Zellweger), joliment à contre-courant des héroïnes habituelles du genre, s'assumant sans y parvenir totalement, et dont les remises en question permanentes, toute comme certaines situations invraisemblables dans lesquelles elle se retrouve empêtrée, offre une vraie dose de bonne humeur et de sourires. Après, ne surtout pas s'attendre à une révolution non plus ! Ses deux prétendants ont beau être des variations des personnages masculins inhérents au genre, ils ne sont en définitive pas si surprenants, ni dans leur représentation, ni dans ce qu'ils sont en réalité, quand bien même sont-ils interprétés par Colin Firth et Hugh Grant : difficile de faire mieux, j'en conviens. Reste qu'à condition de s'attendre à une comédie romantique plutôt classique à bien des aspects, « Le Journal de Bridget Jones », fort d'une écriture bien sentie, de personnages attachants et de comédiens convaincants, sans oublier une bande-originale qui ravira tout amateur de bonne musique, se regarde avec un certain plaisir : c'est bien tout ce qu'on lui demandait.