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    Vortex
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    3,6
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    89 critiques spectateurs

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    lancelolo49
    lancelolo49

    4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 septembre 2022
    Non mais c'est quoi ce film !!!!!! Soporifique, lent, sans intérêt. Il faut avoir du temps à perdre et rien a voir d'autre. Je le déconseille
    Eric Moreau
    Eric Moreau

    2 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 septembre 2022
    j'adore l'univers de Gaspard Noé, je prends tout, sans exception.. mais là, le pétard mouillé. Mais quel ennui. Quel ennui.
    les acteurs impeccables, le split screen, excellente idée pour la lecture du film, le fond est intéressant, mais la forme.. aïe. si vous souffrez d'insomnie, je vous le conseille.
    Spider cineman
    Spider cineman

    152 abonnés 2 029 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 septembre 2022
    Gaspard Noé c est toujours assez radical ou un angle risqué d approche ... évidemment ça peut donner des résultats très contrastés. Cette approche un peu comme un reportage de ce couple en fin de parcours est intéressante, mais surtout touchante. C est un peu longuet quand même ...
    Ko_chang
    Ko_chang

    6 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 septembre 2022
    Vrai synopsis :
    Les derniers jours d'un couple de personnes âgées atteint de démence.

    Film très lent pour ceux qui aime les "drame"
    Ce film est dédié à ceux dont le cerveau se décompose avant le cœur (faut aimer)
    Déconseillé à ceux qui n'ont pas le moral, et je sais que par les temps qui courent, il y en a pas mal !
    romain p.
    romain p.

    7 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 août 2022
    Gaspar Noé apporte quelque chose au cinéma, c'est peu de le dire. Et Vortex, de même que l'ont été Irréversible ou Climax, fait partie de ces films qu'on n'oublie pas et qui fascinent absolument le temps de leur visionnage, et au-delà. Comment mieux représenter, et parler de, la vieillesse et Alzheimer. Certains le trouveront démonstratif, mais un autre point de vue est de se laisser entraîner sans résistance, en se laissant happer par ces images qui pourraient relever du documentaire et qui pourtant le surpassent par la justesse de la mise en scène et le travail impeccable (et glaçant) des acteurs. Où on retrouve cet acteur fabuleux qu'est Alex Lutz, dont un film précédent est d'ailleurs un chef d'oeuvre bien méconnu ("Guy").
    Sebastien Guyard
    Sebastien Guyard

    48 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 août 2022
    J'ai adoré "Vortex".
    Quel film puissant, intéressant et original cinématographiquement parlant comme en terme de scénario.
    Et quelle interprétation magistrale du trio d'acteur.trice.s !
    Le meilleur film de Gaspard Noé et sacrée prise de risque à tous les niveaux.
    Dommage que ce film magnifique ne fasse en fin de carrière que 34 000 entrées, mais il a eu peu d'écran et le sujet est difficile pour celles et ceux qui ont peur de la mort et de la vieillesse...
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    103 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juillet 2022
    Porté par l’improbable mais extraordinaire trio Dario Argento / Françoise Lebrun / Alex Lutz, Vortex nous offre une vertigineuse plongée dans l’appartement d’un couple d’intellectuels à la retraite dont la femme est atteinte de la maladie d’Alzheimer. Superbement filmé en split-screen, ce film moins provoc que la moyenne des œuvres de Gaspar Noé n’en est pas moins éprouvant, tant il expose frontalement le quotidien de cette famille inexorablement rattrapée par les signes du temps qui file. Oui, la vie n’est qu’un bref passage sur terre. Des personnages particulièrement bien écrits.
    Paulin S.
    Paulin S.

    5 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 octobre 2024
    Coup de massue.
    C'est effectivement complètement assommé que l'on ressort de la salle après avoir visionné Vortex. Ayant toujours été assez peu réceptif au cinéma de Noé, c'est peut-être Vortex qui me réconciliera avec l'artiste.
    Cette proposition forte nous plonge dans le quotidien d'un couple qui dépérit, d'une maladie omniprésente, de la souffrance d'un aidant au parcours bien noir.
    Mais la force de ce film se trouve dans sa capacité à dépeindre une réalité, une réalité telle que la violence de celle-ci vous asphixye jusqu'aux dernières secondes.
    On ne peut que féliciter Noé pour ses talents de metteurs en scène et de directeur technique, car sacré défi de réaliser un écran scindé dans un espace aussi réduit. Cette prouesse est au service du propos car on peut y voir ici 2 psychologies, 2 âmes errantes dans un même lieu sans vraiment interagir, sans être ancrés dans la même temporalité.
    Qu'elle proposition puissante, mais éprouvante. J'ai rarement vu une salle aussi silencieuse en sortie de séance, ce film vous coupe littéralement le souffle par sa violence, la violence d'une fin de vie.
    konika0
    konika0

    27 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2022
    Long et pénible

    Il y avait bien longtemps que je n’avais vu un film de Noé. Le dernier devait être Enter The Void et il n’avait pas grand-chose à voir avec le film qui nous intéresse aujourd’hui. Une chose est sûre, c’est qu’avec Noé, on est sûr de rien.

    Vortex nous propose de suivre le quotidien d’un couple de petits vieux. Lui est un réalisateur toujours à fond dans sa recherche, comme accroché à une bouée de sauvetage. Elle était psychiatre mais aujourd’hui, elle est surtout atteinte d’Alzheimer. Leur quotidien est fait de routines et d’angoisse. Et leur fils est bien seul quand il faut gérer les problèmes de ses parents en plus des siens.

    Rien, vraiment rien ne nous sera épargné dans ce long tunnel claustro de 2h15. On ne quittera que peu l’appart exigu et surchargé du couple. L’action sera constamment filmée selon deux points de vue c’est à dire que concrètement, l’écran est séparé en deux carrés et les deux images sont simultanées. Généralement, il y a un personnage par carré. Chacun est enfermé dans sa petite boite. Ou, symboliquement par l’encadrement d’une porte ou d’une fenêtre voire, comme suggéré au début du film, l’encadrement d’un cercueil. Ces cadres dans des cadres sont autant d’illustrations du mantra du film : la vie n’est pas un rêve, elle est un rêve dans un rêve. C’est à dire qu’elle n’a pas de réalité tangible et qu’il n’en restera rien de toute façon. On le voit bien, la forme prime. Et sur ce point, on sait Noé intransigeant. Ainsi, si ça doit être âpre, ça l’est. Le bruit numérique est omniprésent et il illustre à la fois l’obscurité dans laquelle naviguent les personnages mais aussi l’urgence de ces vies, comme filmées à la va vite et pour la dernière fois avant qu’il n’y ait plus rien à voir. Sur le rythme aussi, on bouleverse le spectateur. C’est lent. Il y a toujours quelque chose à regarder dans un des cadres mais ça semble ne rien raconter. Peu de coupes. Et à la manière d’Irréversible, on fera subir au spectateur l’intégralité du drame qui se joue. A vrai dire, c’est physiquement éprouvant quand on assiste en temps réel à l’agonie d’un personnage. La tentation de fuir en quittant la salle est grande, avouons-le. Pour autant, tout ce qui est raconté là donne à voir la réalité des angoisses qui nous attendent. Celles de ne plus servir à rien, de la dépendance, de l’héritage en trompe l’œil, de l’inversion des rôles générationnels. Chacun y trouvera forcément une résonance avec ses propres questionnements, pour lui-même ou pour ses proches. A l’interprétation, c’est parfait de bout en bout, renforçant le sentiment de ciné-vérité.

    Au final, un film fort et brillant donc. Et est-ce qu’on le conseillera ? Pas aux âmes sensibles en tout cas. Ni aux jeunes, peut-être trop éloignés du sujet. Ni aux enfants ça va de soi. Ni à ceux qui sont trop habitués à un cinéma consensuel ou formaté. Peut-être pas non plus à ceux qui vivent une expérience proche de celle du film. A qui alors ? Au spectateur curieux qui aime être secoué et qui n’a pas peur qu’on l’attrape par le col et qu’on lui colle deux ou trois gifles. Bref, spectateur masochiste, ce film est pour toi.
    Brol le chat
    Brol le chat

    9 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mai 2022
    Un couple vieillissant (Françoise Lebrun et Dario Argento), dont l'état de santé rend le maintien à domicile de plus en plus aléatoire et difficile, d'autant plus que la femme est atteinte d'Alzheimer. Afin de montrer l'attachement entre les époux, Gaspar Noé choisit d'installer durant la quasi totalité du film un splitscreen en deux parties dans un format scope. Cela lui permet non seulement de les suivre en parallèle, ou de proposer deux angles de prise de vues, ce qui renforce la puissance de certaines scènes. En effet, ce récit du vieillissement fatal, à la fois violent et empathique, est d'une justesse toute documentaire, porté par un trio d'acteurs éblouissant. Car Alex Lutz, impeccable dans un rôle dramatique, campe de manière exacte leur fils, qui, empêtré dans ses propres démons, n'arrive pas à les soutenir aussi bien qu'il le souhaiterait. Ainsi Noé signe un grand film humaniste, aux antipodes des films qui l'ont fait connaître.
    Ceiner M
    Ceiner M

    33 abonnés 204 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mai 2022
    « A tous ceux dont le cerveau se décomposera avant le cœur ». voici le préambule du film. Le ton est donné. C'est trop long mais c'est brut comme un documentaire ...c'est triste, ces personnes semblent pathétiques et n'ont pas grand chose d'attachant. Malgré tout, cette déambulation sans fin dans ce petit mais charmant et surchargé appartement parisien (est-ce un parallèle aux méandres du cerveau) a quelque chose d'hypnotique. Au niveau de la narration et des dialogues, il y a peu de gras mais il faut tenir la distance dans ce labyrinthe sans issue oppressant. Pas gai. Je n'ai pas vu Amour de Haneke mais j'avais beaucoup aimé The Father qui avait le mérite de nous placer dans la perte de mémoire elle-même et ainsi nous toucher beaucoup plus. Ici on est un peu terrifié mais pas ému. Mais c'est peut-être plus réaliste aussi car les personnes agées n'ont pas toujours des personnes aptes ou ayant les moyens à mettre en place le soutien nécessaire.
    Jorik V
    Jorik V

    1 269 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mai 2022
    Fascinant mais interminable. Passionnant mais malaisant. Radical mais beau. « Vortex » c’est une œuvre des contraires, des oppositions de superlatifs. C’est du pur cinéma de Gaspard Noé. Tout craché. Et même si le sujet, le traitement et l’atmosphère en font son film peut-être le plus doux et abordable, cela reste vraiment du cinéma particulier, qui fait fi de toutes les modes et propose une expérience immersive et jamais vue. Rien qu’à ce niveau, c’est très fort, salutaire et nécessaire dans un paysage cinématographique mondial généralement formaté, conditionnant le spectateur, et où le mercantile prime malheureusement sur l’Art. Et malgré son apparente sagesse (en tout cas thématique et formelle), c’est un film qui divisera et alimentera les débats. Il ne donne pas mal au crâne par son aspect visuel extrême, il ne choque pas par des séquences répugnantes ou prêtant à l’écœurement (coucou « Irréversible », que l’on peut encenser mais que l’auteur de ses lignes a proprement détesté) et il ne surfe pas sur une vague arty parfois discutable.



    Ce n’est certes pas la claque non plus que son avant-dernier opus nous avait prodigué, « Climaxx » certainement son meilleur film, entre chorégraphie endiablées, plans-séquence incroyables et plongée en enfer parfaitement maîtrisée. On retrouve néanmoins la plupart des obsessions du cinéaste : de la drogue, à la mort en passant par la notion de temps (mais rien à voir avec la vision de Christopher Nolan sur ce point). D’ailleurs, il commence son film par une citation qui fait tellement de sens : « A tous ceux dont le cerveau se décomposera avant le cœur ». Le temps et la mort dans une danse macabre qui peut rejoindre celle qui sous-titrait « Irréversible » et qui était encore plus équivoque : « Le temps détruit tout ». On voit donc, durant deux heures et trente interminables minutes, la lente agonie d’un couple d’octogénaires. Lui, touché par des problèmes cardiaques, elle, par un Alzheimer galopant. Si vous avez trouvé la Palme d’or « Amour » de Mickael Aneke, au sujet parallèle voire jumeau, très glauque ou versant dans le dolorisme, et bien évitez « Vortex »! C’est dix fois plus intense et extrême.



    On comprend que l’auteur ait voulu faire durer son film pour faire ressentir au spectateur la lente déliquescence des souvenirs, de la mobilité et de la mémoire causée par la maladie et les conséquences horribles que cela peut avoir sur la vie d’un couple plutôt isolé (il ne leur reste que leur fils et leur petit-fils). Mais à trop étirer le procédé, cela finit par lasser. Les longues errances de la mère dans ce minuscule mais labyrinthique appartement semblent être la métaphore de son cerveau malade. Bien vu. Tout comme l’utilisation du split-screen tout le film. Même quand ils sont ensemble, l’écran est divisé en deux pour figurer leur éloignement progressif et leur isolement respectif. Le procédé n’a jamais été aussi bien utilisé qu’ici, hormis peut-être dans « Snake Eyes ». Le film phare de ce procédé restant le « Timecode » de Mike Figis sorti il y a vingt ans avec l’écran divisé en quatre mais pour un pur exercice de style. Mais quand même, une heure de film en moins n’aurait rien enlevé à la force du propos transformant le supplice et l’ennui du spectateur en adhésion certainement plus affirmée. Si Françoise Lebrun impressionne dans un rôle quasi muet où elle doit jouer uniquement avec le regard et les gestes, Dario Argento est un choix plus risqué et peu malin car son accent italien empêche de comprendre certains dialogues. Quant à Alex Lutz il se positionne vraiment comme un comédien tout-terrain. « Vortex » c’est une sacrée expérience de cinéma, plus âpre qu’un film d’horreur, mais l’horreur plus viscérale et insidieuse de la fin de vie. Mais entre une grosse invraisemblance (la mère laissée seule à son appartement à un moment crucial) et des scènes et un film bien trop étirés on peut vouloir passer son chemin ou sortir de la salle et cela se comprendra. A vous de voir!



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    Pa Tou
    Pa Tou

    14 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2022
    Le film le plus violent de Noé. Il détruit de l'intérieur depuis le debut jusqu'à la fin c'est une véritable descente aux enfers. On est triste de voir que personne ne lutte que les personnes se laissent s'écraser lentement sur ce rocher destructeur des liens qui les ont Unis, fait s'aimer et vivre ensemble. Terrible de voir comment l'abandon prend sa forme finale, terrible de voir comment certains tentent d'en rechapper et à quel prix. J'ai eu du mal avec l'interprétation des acteurs mais ça n'enlève rien au sujet. La manière de filmer est très intéressante et rajoute une couche à un climat déjà très anxiogène de cet appartement bordélique ou tout se confond
    Sylvyye
    Sylvyye

    2 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2022
    Un film vraiment hors normes et ce dès le générique de début ! Long lent mais une telle réalité, une telle justesse qu’on ne peut rester indifférent à ce film qui n’a rien de traditionnel. Tellement bien interprété que j’ai retrouvé toutes les situations vécues avec mes parents comme si j’y étais ! Un film sur la fin de vie qui fait peur !!!
    NardoBordo
    NardoBordo

    12 abonnés 124 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 mai 2022
    Définition : Tourbillon creux qui prend naissance, sous certaines conditions, dans un fluide en écoulement. Le "Fluide" devinez, début seul-fin seul. Des plans séquences jamais vu (Chiant au début, Gaspard te conduis, cokin), et le pire sous 2 angles différents de vue qui divise l'écran en 2, normal ! (Grand écran obligatoire). Des Acteurs au "Top" de leur Art.
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