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    Vortex
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    NardoBordo
    NardoBordo

    10 abonnés 108 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 mai 2022
    Définition : Tourbillon creux qui prend naissance, sous certaines conditions, dans un fluide en écoulement. Le "Fluide" devinez, début seul-fin seul. Des plans séquences jamais vu (Chiant au début, Gaspard te conduis, cokin), et le pire sous 2 angles différents de vue qui divise l'écran en 2, normal ! (Grand écran obligatoire). Des Acteurs au "Top" de leur Art.
    OSC4R _
    OSC4R _

    69 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 février 2023
    Comment c’est nul à chier.

    Gaspar Noé masque son incapacité à réaliser un film sur deux personnages en utilisant le split screen de la façon la plus abjecte, désagréable et inutile qui soit.

    Et puis c’est chiant.

    J’ai attendu qu’ils crèvent avec impatience.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 863 abonnés 3 960 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2022
    Vortex est, encore une fois, un film terrible réalisé par Gaspar Noé, mais là il fait un peu son Amour. On est loin de la violence physique, de la débauche de sexe qu'il peut y avoir dans d'autres de ses films, on est vraiment sur de la violence beaucoup plus insidieuse puisque le film parle de la fin de la vie, de la fin de notre vie ou de celle de nos proches. Forcément le film va aborder un thème qui nous touche ou nous touchera tous.

    Je dois dire qu'il le fait bien. Je venais de voir le dernier Ozon, sur un sujet similaire et là chez Noé, aussi étrange que ça puisse paraître c'est un poil plus subtil, un poil moins téléphoné et surtout beaucoup plus juste. On se prend vraiment toute l'atrocité de la fin de vie en pleine poire et le film n'est tendre avec personne. L'égoïsme et la peur du mari qui veut absolument finir son livre et qui finalement ne fait pas grand chose pour sa femme... le fils totalement impuissant qui a ses propres problèmes à régler... et le détail qui tue le gamin qui fait du bruit en jouant alors que la situation est grave, rendant toute la séquence atrocement réaliste et éreintante.

    Le choix de tourner quasiment tout le film en écran partagé, sauf une scène au début (si je ne m'abuse) est une idée brillante. La maladie qui sépare physiquement dans le cadre ce couple quoi qu'il arrive. Ils ne seront plus jamais unis par la mise en scène. Et puis ça permet une approche mine de rien assez ancrée dans le réel. Pendant qu'on regarde une conversation on voir la malade faire des trucs vides de sens parce qu'elle n'a plus toute sa tête et il faut tout le temps la surveiller pour savoir ce qu'elle fait même si notre attention devrait être dirigée ailleurs. Disons que c'est bien trouvé.

    Surtout que l'issue est connue... à la fin de la vie les gens meurent... mais la question c'est comment... combien de temps ça prend d'agoniser, à ne plus avoir toute sa tête... à se sentir être un fardeau pour les autres lors de nos rares moments de lucidité.
    Le film arrive à aborder tout ça, sans que ça fasse trop didactique.

    Même si on va se mentir, Noé est pas un mec hyper subtil, il met souvent les pieds dans le plat. Mais les personnages sont touchants, crédibles, fonctionnent (j'ai reconnu Philippe Rouyer juste à sa voix avant de le voir) ce qui rend plus acceptable les moments où Noé chausse ses gros sabots.

    En tous cas, encore un film où le temps détruit tout.
    ffred
    ffred

    1 541 abonnés 3 981 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 décembre 2022
    A part le décevant Love, j’ai toujours bien aimé les films de Gaspard Noé. Le casting de celui-ci était intriguant. Mais la durée un peu effrayante : 2h20 sur un vieux couple en fin de vie, ça pouvait rebuter. Et effectivement l’ensemble est un peu long, trente à quarante-cinq minutes de moins auraient été bienvenues. Une fois fait au rythme très lent (jamais vu si lent chez Noé), et à cet écran coupé en deux où l’on voit les deux personnages évoluer chacun de l’autre côté dans leur appartement, le tout devient progressivement assez fascinant. On pense beaucoup au Amour de Haneke, mais j’ai une nette préférence pour celui-ci. On a l’impression d’être devant un documentaire ou d’être des voyeurs introduits secrètement dans ce foyer. Les trois acteurs sont vraiment très convaincants, Françoise Lebrun en tête. Elle est formidable en vieille dame qui perd la tête. Dario Argento (le maitre italien) est bien aussi. Le fils est interprété par un Alex Lutz bine inspiré également. L’ensemble est très dépouillée, sec, voir aride, avec très peu de dialogues (apparement souvent improvisés). Mais un film troublant, dur et touchant sur la fin de parcours, sur un couple toujours ensemble malgré les aléas de la vie et la maladie. Gaspard Noé est décidément vraiment à part dans un cinéma français de plus en plus formaté. Une oeuvre puissante à laquelle je ne m’attendais pas.
    Benito G
    Benito G

    606 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 septembre 2022
    Gaspard Noé + Dario Argento : difficile de faire plus excitant, intrigant et... intègre. Le film est envahi d'affiches de cinéma comme autant d'hommage, d'affiches comme autant de clins d'œil à une existence humaine dans son entièreté, sa complexité ; et par là même on se retrouve à mi-chemin entre le cinéma expérimental (cette série de plans séquences, caméra à l'épaule etc...) et le docu-fiction. On pénètre littéralement la vie de ce couple. Les personnes / personnages se dévoilent petit à petit, se dévoilent à nous autres spectateurs. Dans leur entièreté, dans leur complexité et avec justesse. Difficile de mieux décrire le "drame" de la vieillesse, de l'horrible dépendance de nos personnes âgées, de décrire plus crûment la maladie d'Alzheimer dans son triste quotidien. Épuré, le film trouve le bon ton et, surtout, le juste point de vue.
    Gaspard Noé tire le meilleur de son trio d'acteurs qui effectue des numéros de longue haleine, absolument extraordinaires, afin de dépeindre des êtres humains, avec chacun leurs failles. Au fur et à mesure que le drame se joue, il retrouve la fameuse colorimétrie de son oeuvre. Une production touchante et que l'on peut mettre à part dans la filmo de Noé si on pousse la réflexion. Grâce à cet alliage des genres des deux reals talentueux. l assemblage est plutôt bon mais tout le monde ne peut pas apprécié cet oeuvre au premier regard. Bonne surprise une fois de plus de Gaspard N.
    Hotinhere
    Hotinhere

    447 abonnés 4 791 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 mars 2023
    Le long et douloureux chemin de croix vers la perte d’autonomie d’un couple âgé et malade. Et un long et indécent chemin de croix pour le spectateur également.
    Ricco92
    Ricco92

    186 abonnés 2 097 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 avril 2022
    Le cinéma de Gaspar Noé est clairement une vision pessimiste de la vie. S’il est plus classique d’un point de vue formel (seul le découpage de l’image en split-screen qui intervient au bout de quelques plans et qui durera jusqu’à la fin du film l’éloigne d’un certain classicisme du cinéma d’auteur français), Vortex reste toujours dans cette optique très sombre de l’existence en prenant ce qui est peut-être sa partie la plus dure à vivre à savoir la vieillesse et la dégénérescence du corps et de l’esprit. On peut ainsi penser à Amour de Michael Haneke par son sujet mais également par l’aspect extrêmement lent de l’ensemble. Il faut accepter avant de rentrer dans la salle qu’on sera confronté au quotidien de deux personnes en fin de vie et à leur rythme d’existence qui n’exclut pas l’ennui et la lassitude. Noé réussit à retranscrire cela de façon brillante car il arrive malgré tout à conserver l’intérêt de son spectateur alors qu’il fait durer très longtemps des plans dont les dialogues semblent laisser part à une grande improvisation. Cela amène une impression de réalisme où les acteurs (Dario Argento, Françoise Lebrun et Alex Lutz) semblent chercher leurs mots comme dans la vie. Tout cela rend Vortex intéressant à voir sur un écran de cinéma car on a la possibilité de se concentrer entièrement sur ce que l’on regarde mais risque de rendre sa vision plus difficile chez soi sur une télévision où on peut être plus facilement distrait et où les moyens de rompre un début d’ennui sont plus nombreux. Une fois de plus et malgré un aspect formel plus classique, Gaspar Noé offre une expérience de cinéma qui peut autant passionner que dérouter voire rebuter et c’est pour cela qu’on l’aime.
    Artriste
    Artriste

    88 abonnés 1 850 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 mars 2023
    Écrit et réalisé par Gaspar Noé, Vortex est un magnifique film sur la vieillesse. L'histoire nous fait suivre un couple de personnes âgées vivant dans un appartement parisien plein de souvenirs. Lui écrit un livre, elle est psychiatre à la retraite et atteinte de la maladie d'Alzheimer. Peu à peu, ils vont sombrer dans la sénilité et vivre leurs derniers jours, accompagnés par leur fils devant faire face à ses propres démons. Ce scénario nous offre pendant deux heures et vingt minutes, un long-métrage bouleversant sur la fin de vie. Si cette durée comporte des longueurs dans sa première demi-heure, celles-ci sont nécessaires à la narration afin de nous faire ressentir leur quotidien. À travers celui-ci, ce récit réaliste proche du documentaire nous fait rentrer dans l'intimité du couple en traitant de thématiques dramatiques comme la fin de vie, le deuil, la maladie, mais également l'amour, avec une intelligence et une justesse rare. Le ton est anxiogène et l'atmosphère pesante, mais il se dégage de la beauté grâce aux personnages attachants, interprétés par un trio extrêmement touchant composé de Dario Argento, Françoise Lebrun et Alex Lutz, sans oublier la présence de la petite frimousse de Kylian Dheret méritant également d'être cité. L'alchimie qui se dégage des trois rôles principaux est d'une très grande authenticité. Leurs échanges procurent des émotions poignantes. Des relations laissant place à des silences qui en disent aussi long que les jolis mots qu'ils se livrent à cœur ouvert, teintés de vérités dur à entendre et à accepter. De plus, le propos est en total adéquation avec la réalisation de Gaspar Noé qui fait une superbe utilisation de l'écran scindé en deux afin de coller parfaitement avec ce qu'il exprime dans le fond. Ce format permet de donner tout son sens aux sujets abordés, en plus d'offrir une ambiance visuelle singulière et un rendu esthétique de qualité avec ses jeux de lumières et les parallèles qu'il met en scène. Surtout qu'en plus cette caméra évolue dans un appartement aux multiples souvenirs, fruit d'une longue existence, fourmillant de détails et se dévoilant sous tous ses angles. Ce visuel est accompagné par une b.o. très discrète, hormis la magnifique chanson d'introduction dont les paroles raisonnent à merveille avec le propos. Ce déchirant récit s'achève sur une fin redoutée d'une grande beauté, venant mettre un terme à Vortex, qui s'avère être une œuvre marquante dont il est difficile de sortir indemne tant ce miroir projette le reflet de ce qui nous attend certainement.
    VOSTTL
    VOSTTL

    72 abonnés 1 816 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mars 2023
    Comme je l’avais écrit à propos de « Climax », Gaspard Noé aime à insister, il n’est ni dans la nuance ni dans la retenue ni dans le raisonnable.
    Pourtant, raisonnable, il l’est avec ce « Vortex » accessible pour tout public, ce qui est surprenant.
    Toutefois, il faut s’accrocher pour ne pas décrocher.
    Ne connaissant pas du tout le sujet, j’ai commencé à comprendre où il voulait en venir avec la mère déambulant les allées d’une boutique, l’air un peu perdue.
    Allées comparables à un labyrinthe dans lequel la mère semble enfermée ; perdue parce que le cerveau de la mère semble aussi encombré que ces allées étroites et sombres dans lesquelles elle erre !

    Après la chanson de Françoise Hardy « Mon amie la rose » chanson qui introduit pourtant le thème du récit, un couple très âgé se met au lit ; le réalisateur me surprend en divisant le couple en deux. Il utilise le split-screen comme technique, une audace qui tiendra la distance puisque ce procédé s’éternisera jusqu’à la fin du récit.

    Et c’est là une très bonne idée de Gaspard Noé. Au-delà du fait qu’il voulait saisir en même temps l’activité de ses deux personnages, le split-screen traduit petit à petit un couple séparé qui ne partage plus rien en commun sinon leur décrépitude.
    Ce split-screen signifie aussi que la fin est à tout moment proche et qu’elle s’apprête à séparer définitivement ce couple.
    L’autre bonne idée c’est de conserver le split-screen quand l’un des personnages du couple décède.
    Gaspard Noé se garde bien de rétablir l’écran dans sa totalité. On peut dire que l’image est borgne, plutôt orpheline de sa moitié. Car il s’agit bien de cela, un couple a perdu sa moitié, l’autre écran noir, signifie le vide, l’absence définitive.

    Il faut s’accrocher durant 2h20 mais à mon grand étonnement, je reste scotché. Je comprends que cela peut décourager d’observer ce vieux couple qui vaque sans grand intérêt à ses occupations. Une banale tranche de vie que nous offre le réalisateur.

    Mention spéciale à Françoise Lebrun en mère dérangée, à Alex Lutz, le fils. Il y a des conversations entre le fils et son père qui sont d’un naturel déconcertant et criant de vérité.
    Gaspard Noé contre toute attente pond un récit d’actualité, un récit qui parle à un grand nombre de personnes concernées ou bientôt concernées.
    Oui, un jour ou l’autre, si ce n’est déjà fait ou en train de se vivre, nous pouvons être confrontés à cette situation, même si ce n’est pas nécessairement le même mal. Confrontés à placer nos parents dans un EPHAD ou trouver une aide à domicile pour sécuriser leur confort.
    Ce pourquoi milite le fils inquiet.

    Même si Gaspard Noé est accessible avec ce « Vortex », il conserve toujours une audace empreinte de radicalité.
    C’est rassurant.
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    67 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 mai 2023
    Gaspar Noé est tombé bien bas avec cet opus qui frise l'encephalogramme plat. Le split screen est une vulgaire poudre aux yeux servant à masquer une histoire sans inspiration, faisant office de somnifère.
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    27 abonnés 1 082 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2023
    Dans un format original, Gaspar Noé nous rappelle la dure réalité de la fin de vie. La solitude et les problèmes physiques et mentaux auxquels nous devons tous faire face.
    Roub E.
    Roub E.

    778 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mars 2023
    Après Love, nouvelle déception pour moi de la part de Gaspard Noé. Non que sa mise en scène et sa direction d’acteur ne soient pas inspirées ici (bien au contraire même), mais cela tient tout simplement à son sujet. En effet dans Vortex il montre de manière très naturaliste un couple en fin de vie, elle victime de la maladie d’Alzheimer lui qui a un cœur fragile. Et personnellement même si le sujet de la fin de vie m’intéresse je n’ai pas envie de voir un film de quasiment deux heures trente sur deux vieux qui se meurent dans un appartement. Alors oui Noé montre très bien la solitude de ces deux personnes qui se meurent dans les mêmes pièces mais chacun de leur côté, oui la scène de la discussion des parents avec le fils pour un éventuel départ vers un appartement médicalisée est d’une violence psychologique très crue. Mais comme le Amour de Haneke avec un sujet similaire cela ne m’a pas intéressé.
    Shawn777
    Shawn777

    486 abonnés 3 358 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 avril 2023
    Si Gaspar Noé nous embarque en 2022 dans un nouveau délire artistique à l'aura expérimentale, c'est en revanche le plus soft de sa filmographie, ce qui m'a beaucoup surpris ! En effet, afin de garder un total effet de surprise, je n'avais vu aucun teaser, bande-annonce ni lu aucun synopsis. J'ai donc été assez étonné que le réalisateur nous dressait "simplement" le portrait de deux personnes âgées qui tombent en même temps dans la déchéance. Alors même si c'est le plus soft de tous les films du réalisateur, ce n'est pas pour autant que ce dernier aborde un sujet facile, bien au contraire ! Nous sommes ici plongés dans le quotidien de ce couple à l'unique enfant (qui, au passage, se drogue, sinon, c'est pas drôle) dont la femme, psychiatre à la retraite, est atteinte d'Alzheimer devenant de plus en plus sévère et dont le mari tente de garder une activité professionnelle malgré les soucis que lui cause son épouse et malgré ses problèmes de santé. Le tout est de plus filmé en lumière naturelle avec un étalonnage très neutre, ce qui confère au film ce caractère documentaire, rappelant d'ailleurs un peu Strip-Tease. Surtout qu'à l'instar de l'émission belge, les dialogues s'éternisent (dans le bon sens du terme) et sont surtout très naturels. Il y a en effet dans le jeu des acteurs quelque-chose de profondément touchant car ils ne sont jamais dans le surjeu, ils sont très convaincants car ils sont tout simplement très naturels dans leurs personnages, si difficiles soient-ils à interpréter. Et puis, bien entendu, le film se démarque de par sa mise-en-scène, ou plutôt son montage, qui utilise en permanence le split screen, chaque côté de l'écran étant réservé à un personnage. Bien-sûr, c'est une manière assez maladroite et balourde de faire comprendre que les deux personnages évoluent de manière complètement différente, chacun enfermé dans ses névroses et sa solitude, mais d'un autre côté, cela permet également d'appréhender l'histoire différemment. En effet, lorsqu'un personnage fait quelque-chose, on peut suivre l'action de l'autre dans le même temps, ce qui est très intéressant pour la scène d'introduction par exemple, lorsque le mari cherche son épouse. D'un autre côté, force est d'admettre qu'au bout d'un moment, je me suis un peu détaché de cette histoire qui devient de plus en plus longue. "Vortex" n'est donc pas le meilleur film du réalisateur mais fait en tout cas partie des plus touchants !
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    69 abonnés 1 676 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 février 2023
    Beaucoup de longueurs mais histoire poignante de ce couple en fin de vie. Extrêmement bien joué, pétit effet stylistique de Noë qui au final ne sert pas à grand chose mais bon. Il y a de belles scènes de cinéma dans ce film étonnement dur mais tout public pour un cinéaste d'habitude si underground.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    78 abonnés 1 750 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juillet 2022
    Porté par l’improbable mais extraordinaire trio Dario Argento / Françoise Lebrun / Alex Lutz, Vortex nous offre une vertigineuse plongée dans l’appartement d’un couple d’intellectuels à la retraite dont la femme est atteinte de la maladie d’Alzheimer. Superbement filmé en split-screen, ce film moins provoc que la moyenne des œuvres de Gaspar Noé n’en est pas moins éprouvant, tant il expose frontalement le quotidien de cette famille inexorablement rattrapée par les signes du temps qui file. Oui, la vie n’est qu’un bref passage sur terre. Des personnages particulièrement bien écrits.
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