Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Gaspar Noé a mûri, plus qu'il s'est assagi ; son cinéma a grandi et s'est épaissi, jusqu'à devenir soudainement immense, comme le prouve son nouveau film, "Vortex", chef-d’œuvre magistral et assurément ce qui est arrivé de mieux au cinéma français depuis "Mektoub My Love : Canto Uno" d'Abdellatif Kechiche.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Gaspar Noé signe, avec Vortex, son film le plus dépouillé, le plus pur, le plus émouvant. Un drame dur et doux sur l’amour et sur la vie qui finit.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le Vortex du titre fait référence à ce tourbillon à huis clos vécu par ces personnages confinés avec leur colère. Gaspar Noé le capte à merveille, relançant constamment son récit pétri de dignité, jusqu’à un geste ultime, nihiliste, mais pas désespéré.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Ce parti pris peut désarçonner de prime abord, surtout quand on aime le réalisateur pour son côté sale gosse, explosif et parfois éprouvant (Climax), mais le film finit, comme le Vortex du titre le suggère, par aspirer le regard.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La beauté triste de Vortex est amplifiée par un remarquable usage du split-screen. Noé, formidable styliste, n’oublie pas que le cinéma est un art de la forme visuelle. Elle sert ici un déchirant récit.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Jusqu’au bout, l’inventivité de l’image met en scène la mort prochaine. Vortex transforme l’absence en tableaux contemporains. Une expérience sensorielle, totale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Du plus trivial naît une forme de grandiose, dans une mise en scène épurée et brillantissime, qui partage souvent l’écran en deux, elle, d’un côté, lui, de l’autre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Cédric Page
Une expérience de cinéma jusqu'au-boutiste et déchirante.
20 Minutes
par Caroline Vié
Gaspar Noé signe avec « Vortex » un film poignant très éloigné de son ton provocateur habituel.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Gaspar Noé a-t-il jamais filmé autre chose que la mort au travail ou, du moins, la mise en spectacle de la menace perpétuelle qu’elle fait planer sur tout ? La lourdeur du programme se raffine ici par la mise en scène enfin incarnée de cette précision : la mort à l’ouvrage n’a d’autre nom que la vie.
CinemaTeaser
par Camille Brun
Un film terrassant sur la vieillesse et la fin de vie.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Avec un dispositif minimaliste inhabituel et une lenteur troublante, Gaspar Noé filme la tragédie de la vieillesse avec une sobriété bouleversante dans Vortex, captant la dégénérescence d'un couple entre solitude, crainte, mesquinerie, désolation de vivre et attente désespérée de la mort. Déprimant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
Une oeuvre touchante, forte et juste.
La Septième Obsession
par David Ezan
Sans renoncer à son esthétique, le cinéaste se renouvelle avec brio : entièrement improvisé, le résultat bouleverse en ce qu’il réaffirme la puissance de la durée au cinéma et signe le requiem d’une génération de maîtres, figurée par les premiers rôles confiés aux sidérants Dario Argento et Françoise Lebrun.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpeche
D’une puissance visuelle, narrative et émotionnelle sidérante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Sortant de son univers habituel mais restant fidèle à son style, Gaspar Noé enregistre ce processus en en faisant une expérience tour à tour éprouvante ou émouvante, anecdotique ou fascinante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le réalisateur d’Irréversible signe un huis clos bergmanien à l’élégance inespérée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Pudique, bordélique, agaçant, fascinant, Vortex se range dans cette catégorie fantôme des films qu’on n’aime jamais complètement mais à qui l’on sacrifie volontiers un coin de neurones. Qu’on ne reverra peut-être pas, qu’on ne rangera sur aucune étagère, avec lesquels on se bat constamment, mais qui sera toujours présent, morcelé, désordonné, à portée de mémoire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par William Le Personnic
Malgré sa longueur excessive, cette tragédie ordinaire se dévoile peu à peu d’une bouleversante amertume, entre autres grâce à ses comédiens (Dario Argento, Françoise Lebrun et Alex Lutz) remarquables d’authenticité.
Première
par Frédéric Foubert
Noé filme ces différentes évaporations, en conférant une puissance émotionnelle exceptionnelle à ses expérimentations sur le split-screen, envisageant la vie de couple comme la coexistence de deux solitudes, parfois complices, mais évoluant surtout en parallèle, chacune de son côté de l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Sans balader sa caméra dans tous les sens, sans scènes de violence insoutenables, Noé a rarement autant touché et autant remué. Du grand cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Guillemette Odicino
POUR : Vortex, sorte de testament avant l’heure, raconte, dans un vérisme cruel, à quel point le temps reste la drogue la plus toxique. Et son effet, irréversible.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Corentin Lê
Si Noé nous a habitués à un cinéma graphique et spectaculaire, Vortex en est la parfaite inversion, montrant une suite d'actions quotidiennes et la manière dont le danger s'insinue dans un cadre ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Gaspard Noé filme l’horreur d’une dégénérescence dans « Vortex ». Une démarche qui rejoint surtout une obsession du réalisateur qui, de « Irréversible » à « Enter the Void », ne cesse de filmer le cheminement vers la mort. Récit d'une agonie, bourré d'idées de cinéma, le film met trop longtemps à démarrer pour emballer vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Sud Ouest
par Sophie Avon
Gaspar Noé a eu la bonne idée d’un split-screan (écran divisé) permanent dont il joue avec un instinct sûr. Car si le principe permet de montrer en parallèle deux personnages qui ne sont pas dans un même lieu, il autorise aussi des rencontres qui, s’agissant de personnes âgées avançant à petits pas dans leur appartement, rappelle à quel point la solitude est intime.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Vortex est le récit brut et sans concession de la dégénérescence du cerveau liée au vieillissement. Un exercice de style courageux, mais définitivement trop macabre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Il ne manque pas d’idées fortes de mise en scène (le diaporama final est dévastateur), mais pourquoi étirer sur deux heures vingt une expérience de court-métrage plombée par des considérations d’étudiant ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Le sulfureux Gaspar Noé se penche sur les derniers jours d’un couple âgé et, malgré un dispositif virtuose sur le plan cinématographique, n’évite pas le piège d’une certaine complaisance morbide.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Télérama
par Louis Guichard
CONTRE : Le principal geste artistique, dans Vortex, consiste donc à diviser sans cesse l’écran en deux : voilà bien la façon la plus démonstrative de signifier que la vieille dame et son mari sont coupés l’un de l’autre, bien que partageant jusqu’au bout leur déchéance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
Gaspar Noé a mûri, plus qu'il s'est assagi ; son cinéma a grandi et s'est épaissi, jusqu'à devenir soudainement immense, comme le prouve son nouveau film, "Vortex", chef-d’œuvre magistral et assurément ce qui est arrivé de mieux au cinéma français depuis "Mektoub My Love : Canto Uno" d'Abdellatif Kechiche.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Gaspar Noé signe, avec Vortex, son film le plus dépouillé, le plus pur, le plus émouvant. Un drame dur et doux sur l’amour et sur la vie qui finit.
Franceinfo Culture
Le Vortex du titre fait référence à ce tourbillon à huis clos vécu par ces personnages confinés avec leur colère. Gaspar Noé le capte à merveille, relançant constamment son récit pétri de dignité, jusqu’à un geste ultime, nihiliste, mais pas désespéré.
L'Humanité
Ce parti pris peut désarçonner de prime abord, surtout quand on aime le réalisateur pour son côté sale gosse, explosif et parfois éprouvant (Climax), mais le film finit, comme le Vortex du titre le suggère, par aspirer le regard.
Le Dauphiné Libéré
La beauté triste de Vortex est amplifiée par un remarquable usage du split-screen. Noé, formidable styliste, n’oublie pas que le cinéma est un art de la forme visuelle. Elle sert ici un déchirant récit.
Le Monde
Jusqu’au bout, l’inventivité de l’image met en scène la mort prochaine. Vortex transforme l’absence en tableaux contemporains. Une expérience sensorielle, totale.
Le Parisien
Du plus trivial naît une forme de grandiose, dans une mise en scène épurée et brillantissime, qui partage souvent l’écran en deux, elle, d’un côté, lui, de l’autre.
Ouest France
Une expérience de cinéma jusqu'au-boutiste et déchirante.
20 Minutes
Gaspar Noé signe avec « Vortex » un film poignant très éloigné de son ton provocateur habituel.
Cahiers du Cinéma
Gaspar Noé a-t-il jamais filmé autre chose que la mort au travail ou, du moins, la mise en spectacle de la menace perpétuelle qu’elle fait planer sur tout ? La lourdeur du programme se raffine ici par la mise en scène enfin incarnée de cette précision : la mort à l’ouvrage n’a d’autre nom que la vie.
CinemaTeaser
Un film terrassant sur la vieillesse et la fin de vie.
Ecran Large
Avec un dispositif minimaliste inhabituel et une lenteur troublante, Gaspar Noé filme la tragédie de la vieillesse avec une sobriété bouleversante dans Vortex, captant la dégénérescence d'un couple entre solitude, crainte, mesquinerie, désolation de vivre et attente désespérée de la mort. Déprimant.
Femme Actuelle
Une oeuvre touchante, forte et juste.
La Septième Obsession
Sans renoncer à son esthétique, le cinéaste se renouvelle avec brio : entièrement improvisé, le résultat bouleverse en ce qu’il réaffirme la puissance de la durée au cinéma et signe le requiem d’une génération de maîtres, figurée par les premiers rôles confiés aux sidérants Dario Argento et Françoise Lebrun.
Le Journal du Dimanche
D’une puissance visuelle, narrative et émotionnelle sidérante.
Les Fiches du Cinéma
Sortant de son univers habituel mais restant fidèle à son style, Gaspar Noé enregistre ce processus en en faisant une expérience tour à tour éprouvante ou émouvante, anecdotique ou fascinante.
Les Inrockuptibles
Le réalisateur d’Irréversible signe un huis clos bergmanien à l’élégance inespérée.
Libération
Pudique, bordélique, agaçant, fascinant, Vortex se range dans cette catégorie fantôme des films qu’on n’aime jamais complètement mais à qui l’on sacrifie volontiers un coin de neurones. Qu’on ne reverra peut-être pas, qu’on ne rangera sur aucune étagère, avec lesquels on se bat constamment, mais qui sera toujours présent, morcelé, désordonné, à portée de mémoire.
Positif
Malgré sa longueur excessive, cette tragédie ordinaire se dévoile peu à peu d’une bouleversante amertume, entre autres grâce à ses comédiens (Dario Argento, Françoise Lebrun et Alex Lutz) remarquables d’authenticité.
Première
Noé filme ces différentes évaporations, en conférant une puissance émotionnelle exceptionnelle à ses expérimentations sur le split-screen, envisageant la vie de couple comme la coexistence de deux solitudes, parfois complices, mais évoluant surtout en parallèle, chacune de son côté de l’écran.
Rolling Stone
Sans balader sa caméra dans tous les sens, sans scènes de violence insoutenables, Noé a rarement autant touché et autant remué. Du grand cinéma.
Télérama
POUR : Vortex, sorte de testament avant l’heure, raconte, dans un vérisme cruel, à quel point le temps reste la drogue la plus toxique. Et son effet, irréversible.
Critikat.com
Si Noé nous a habitués à un cinéma graphique et spectaculaire, Vortex en est la parfaite inversion, montrant une suite d'actions quotidiennes et la manière dont le danger s'insinue dans un cadre ordinaire.
Les Echos
Gaspard Noé filme l’horreur d’une dégénérescence dans « Vortex ». Une démarche qui rejoint surtout une obsession du réalisateur qui, de « Irréversible » à « Enter the Void », ne cesse de filmer le cheminement vers la mort. Récit d'une agonie, bourré d'idées de cinéma, le film met trop longtemps à démarrer pour emballer vraiment.
Sud Ouest
Gaspar Noé a eu la bonne idée d’un split-screan (écran divisé) permanent dont il joue avec un instinct sûr. Car si le principe permet de montrer en parallèle deux personnages qui ne sont pas dans un même lieu, il autorise aussi des rencontres qui, s’agissant de personnes âgées avançant à petits pas dans leur appartement, rappelle à quel point la solitude est intime.
aVoir-aLire.com
Vortex est le récit brut et sans concession de la dégénérescence du cerveau liée au vieillissement. Un exercice de style courageux, mais définitivement trop macabre.
L'Obs
Il ne manque pas d’idées fortes de mise en scène (le diaporama final est dévastateur), mais pourquoi étirer sur deux heures vingt une expérience de court-métrage plombée par des considérations d’étudiant ?
La Croix
Le sulfureux Gaspar Noé se penche sur les derniers jours d’un couple âgé et, malgré un dispositif virtuose sur le plan cinématographique, n’évite pas le piège d’une certaine complaisance morbide.
Télérama
CONTRE : Le principal geste artistique, dans Vortex, consiste donc à diviser sans cesse l’écran en deux : voilà bien la façon la plus démonstrative de signifier que la vieille dame et son mari sont coupés l’un de l’autre, bien que partageant jusqu’au bout leur déchéance.