Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
François Ozon filme pour la première fois un cinéaste et le septième art. Idée simple mais féconde, au vu de l’éclat de ce chant d’amour, porté haut par son casting et par Denis Ménochet.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un huis clos magistral, Denis Ménochet au sommet.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Plus de vingt ans après son adaptation de la pièce de Fassbinder, Gouttes d’eau sur pierres brûlantes , François Ozon adapte du dramaturge allemand Les Larmes amères de Petra von Kant. Un huis clos magistral, Denis Ménochet au sommet.
Positif
par William Le Personnic
Ce Peter von Kant à l’exubérance théâtrale assumée est une œuvre magistrale, singulière et autoproduite : c’est dire à quel point ce projet devait tenir à cœur au réalisateur.
Voici
par La Rédaction
Une histoire d'amour, de domination, dans un huis clos volontairement théâtral.
20 Minutes
par Caroline Vié
Déjà épatant dans Seules les bêtes, Grâce à Dieu et Jusqu'à la garde, l’acteur atteint un palier supplémentaire en incarnant un cinéaste solitaire et tyrannique inspiré par Rainer Werner Fassbinder.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Renan Cros
Troublant, sexy et iconoclaste : du grand François Ozon.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Jean François Dickeli & Vincent Nicolet
S’il ne s’impose pas comme un long-métrage majeur de François Ozon, Peter Von Kant demeure un objet filmique passionnant, entre exercice de style soigné, élégant, et autoportrait intimiste.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Francoise Delbecq
Dans ce huis clos qui sent les larmes, l'alcool et les mégots mal éteints, on se délecte aussi des personnages féminins, formidablement too much.
Femme Actuelle
par La Rédaction
François Ozon a osé cette relecture des Larmes amères de Petra von Kant de Fassbinder, semée de clins d'œil et relevée par une Isabelle Adjani en plein numéro d'autodérision. Amusant !
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un film subtil et touchant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Jérôme Garcin
Mis en scène par le fassbindérien François Ozon avec autant de culot que de finesse, d’empathie que de distanciation, « Peter von Kant » est porté à un haut niveau d’incandescence par un Denis Ménochet « hénaurme » et à poil, qui semble à la fois brûler les planches et s’immoler par le feu de la passion.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Le cinéaste français adapte librement « Les Larmes amères de Petra von Kant », de Rainer Werner Fassbinder, et rend un hommage insolent au réalisateur allemand décédé en 1982. Une nouvelle réussite pour le metteur en scène imprévisible.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
Peter Von Kant n’est ni un pastiche ni une copie. Plutôt, d’un film à l’autre, « une belle infidèle », selon le précepte baudelairien de la traduction. Un exercice d’admiration réussi car oscillant entre osmose et distance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Le cinéaste met en scène son petit théâtre cruel avec un humour et une distance qui ne l’empêchent pas, sans jamais céder à la solennité, de rendre un hommage fervent à Fassbinder, ce créateur à tous points de vue « énorme » et hors norme.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une expérience troublante et dérangeante à réserver aux amoureux d'un cinéma hors des sentiers battus.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un film superbe.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Nul besoin d’être un cinéphile pour savourer ce petit théâtre de la cruauté, qui est avant tout du pur Ozon, avec son questionnement sur les rapports amoureux et la manipulation, son plaisir des dialogues, la verdeur des mots et sa mise en scène ludique.
Télé Loisirs
par Camille Brun
L'ensemble est maîtrisé. Et si le charme ne se dévoile pas immédiatement, l'émotion est bien au rendez-vous.
Télérama
par Louis Guichard
Psychodrame à la fois cruel et scintillant, Peter von Kant invite à se replonger dans l’univers de Fassbinder, effleuré par maintes allusions piquantes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Ozon signe l’un de ses meilleurs films avec cet hommage à Fassbinder, se réappropriant le matériau du réalisateur allemand, pour un réjouissant jeu de massacre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Pur film de cinéphile, Peter von Kant rappelle à quel point François Ozon sait filmer les corps et les couleurs, étudier les acteurs et les actrices, et raconter la violence et l'absurdité du désir. Dommage qu'il n'aille pas plus en profondeur, parce qu'avec la bombe atomique Denis Ménochet, ça aurait été fabuleux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Sophie Joubert
Plus démonstratif que l’original, Peter von Kant penche vers le vaudeville là où le film de Fassbinder, non dépourvu d’humour, était mystérieux, sec et dérangeant. Parfaitement orchestrée et interprétée, cette transposition infidèle et respectueuse est un bel exercice de style largement vidé de sa charge subversive. C’est un peu dommage.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Le réalisateur fait une adaptation très personnelle des Larmes amères de Petra von Kant dans laquelle Denis Ménochet étincelle.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Loin du romanesque échevelé et des questions sociétales de ses derniers films, François Ozon livre un mélodrame dont les accents grandiloquents et référencés vont perturber les amateurs d’émotion pure. Mais vont ravir les cinéphiles puristes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Etienne Sorin
Peter von Kant est un autoportrait de l’artiste en drama queen. Il ne faut pas le prendre trop au sérieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Certains trouveront fascinant cette plongée dans la tête, le cœur, les tripes, la créativité et la vulnérabilité d’un grand cinéaste. D’autres s’ennuieront ferme.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
François Ozon revient à Fassbinder, pour ce remake d’un de ses plus célèbres films. Le résultat est un mélo fassbindérien sur la jalousie, qu’Ozon tire vers une biographie fantasmée du cinéaste, et une réflexion globale sur celui-ci et son œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
e jeu de miroir cinéphile prend un peu son temps pour nous séduire mais il finit par toucher en plein coeur, grâce à l'interprétation de Denis Menochet, parfait en Barbe-bleu amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Malgré ses références constantes à la vie et à l’oeuvre du cinéaste allemand, difficile de voir en ce Peter von Kant un réel hommage, tant Fassbinder y est vidé de sa substance.
Le Monde
par M. J.
Peter von Kant a les allures d’un film déguisé, accessoirisé, tout en surface, qui ne cherche pas à creuser une intimité formelle avec son modèle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Laura Tuillier
De cette affaire un peu datée de pygmalion en détresse, Ozon ne semble rien avoir à dire qui ne ressemble à une paraphrase explicative, un digest fassbinderien qui coche au pas de course les références et hommages cosmétiques [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Comme toujours, Ozon nous offre un festival d’acteurs tous épatants dans la sincérité comme dans l’outrance, Denis Ménochet en tête. Mais en se détournant de l’âpreté de ce huis- clos cruel, en y distillant de l’humour parfois à marche forcée, Peter von Kant vire trop au pur exercice de style, perdant l’aspect foudroyant de l’original.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Sylvain Blandy
Parce qu’il répond au dérisoire par la seule dérision, Ozon finit par désamorcer toute émotion.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Bande à part
François Ozon filme pour la première fois un cinéaste et le septième art. Idée simple mais féconde, au vu de l’éclat de ce chant d’amour, porté haut par son casting et par Denis Ménochet.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un huis clos magistral, Denis Ménochet au sommet.
Le Dauphiné Libéré
Plus de vingt ans après son adaptation de la pièce de Fassbinder, Gouttes d’eau sur pierres brûlantes , François Ozon adapte du dramaturge allemand Les Larmes amères de Petra von Kant. Un huis clos magistral, Denis Ménochet au sommet.
Positif
Ce Peter von Kant à l’exubérance théâtrale assumée est une œuvre magistrale, singulière et autoproduite : c’est dire à quel point ce projet devait tenir à cœur au réalisateur.
Voici
Une histoire d'amour, de domination, dans un huis clos volontairement théâtral.
20 Minutes
Déjà épatant dans Seules les bêtes, Grâce à Dieu et Jusqu'à la garde, l’acteur atteint un palier supplémentaire en incarnant un cinéaste solitaire et tyrannique inspiré par Rainer Werner Fassbinder.
CinemaTeaser
Troublant, sexy et iconoclaste : du grand François Ozon.
Culturopoing.com
S’il ne s’impose pas comme un long-métrage majeur de François Ozon, Peter Von Kant demeure un objet filmique passionnant, entre exercice de style soigné, élégant, et autoportrait intimiste.
Elle
Dans ce huis clos qui sent les larmes, l'alcool et les mégots mal éteints, on se délecte aussi des personnages féminins, formidablement too much.
Femme Actuelle
François Ozon a osé cette relecture des Larmes amères de Petra von Kant de Fassbinder, semée de clins d'œil et relevée par une Isabelle Adjani en plein numéro d'autodérision. Amusant !
Franceinfo Culture
Un film subtil et touchant.
L'Obs
Mis en scène par le fassbindérien François Ozon avec autant de culot que de finesse, d’empathie que de distanciation, « Peter von Kant » est porté à un haut niveau d’incandescence par un Denis Ménochet « hénaurme » et à poil, qui semble à la fois brûler les planches et s’immoler par le feu de la passion.
Les Echos
Le cinéaste français adapte librement « Les Larmes amères de Petra von Kant », de Rainer Werner Fassbinder, et rend un hommage insolent au réalisateur allemand décédé en 1982. Une nouvelle réussite pour le metteur en scène imprévisible.
Les Inrockuptibles
Peter Von Kant n’est ni un pastiche ni une copie. Plutôt, d’un film à l’autre, « une belle infidèle », selon le précepte baudelairien de la traduction. Un exercice d’admiration réussi car oscillant entre osmose et distance.
Marianne
Le cinéaste met en scène son petit théâtre cruel avec un humour et une distance qui ne l’empêchent pas, sans jamais céder à la solennité, de rendre un hommage fervent à Fassbinder, ce créateur à tous points de vue « énorme » et hors norme.
Ouest France
Une expérience troublante et dérangeante à réserver aux amoureux d'un cinéma hors des sentiers battus.
Sud Ouest
Un film superbe.
Télé 7 Jours
Nul besoin d’être un cinéphile pour savourer ce petit théâtre de la cruauté, qui est avant tout du pur Ozon, avec son questionnement sur les rapports amoureux et la manipulation, son plaisir des dialogues, la verdeur des mots et sa mise en scène ludique.
Télé Loisirs
L'ensemble est maîtrisé. Et si le charme ne se dévoile pas immédiatement, l'émotion est bien au rendez-vous.
Télérama
Psychodrame à la fois cruel et scintillant, Peter von Kant invite à se replonger dans l’univers de Fassbinder, effleuré par maintes allusions piquantes.
aVoir-aLire.com
Ozon signe l’un de ses meilleurs films avec cet hommage à Fassbinder, se réappropriant le matériau du réalisateur allemand, pour un réjouissant jeu de massacre.
Ecran Large
Pur film de cinéphile, Peter von Kant rappelle à quel point François Ozon sait filmer les corps et les couleurs, étudier les acteurs et les actrices, et raconter la violence et l'absurdité du désir. Dommage qu'il n'aille pas plus en profondeur, parce qu'avec la bombe atomique Denis Ménochet, ça aurait été fabuleux.
L'Humanité
Plus démonstratif que l’original, Peter von Kant penche vers le vaudeville là où le film de Fassbinder, non dépourvu d’humour, était mystérieux, sec et dérangeant. Parfaitement orchestrée et interprétée, cette transposition infidèle et respectueuse est un bel exercice de style largement vidé de sa charge subversive. C’est un peu dommage.
La Croix
Le réalisateur fait une adaptation très personnelle des Larmes amères de Petra von Kant dans laquelle Denis Ménochet étincelle.
La Voix du Nord
Loin du romanesque échevelé et des questions sociétales de ses derniers films, François Ozon livre un mélodrame dont les accents grandiloquents et référencés vont perturber les amateurs d’émotion pure. Mais vont ravir les cinéphiles puristes.
Le Figaro
Peter von Kant est un autoportrait de l’artiste en drama queen. Il ne faut pas le prendre trop au sérieux.
Le Parisien
Certains trouveront fascinant cette plongée dans la tête, le cœur, les tripes, la créativité et la vulnérabilité d’un grand cinéaste. D’autres s’ennuieront ferme.
Les Fiches du Cinéma
François Ozon revient à Fassbinder, pour ce remake d’un de ses plus célèbres films. Le résultat est un mélo fassbindérien sur la jalousie, qu’Ozon tire vers une biographie fantasmée du cinéaste, et une réflexion globale sur celui-ci et son œuvre.
Paris Match
e jeu de miroir cinéphile prend un peu son temps pour nous séduire mais il finit par toucher en plein coeur, grâce à l'interprétation de Denis Menochet, parfait en Barbe-bleu amoureux.
Cahiers du Cinéma
Malgré ses références constantes à la vie et à l’oeuvre du cinéaste allemand, difficile de voir en ce Peter von Kant un réel hommage, tant Fassbinder y est vidé de sa substance.
Le Monde
Peter von Kant a les allures d’un film déguisé, accessoirisé, tout en surface, qui ne cherche pas à creuser une intimité formelle avec son modèle.
Libération
De cette affaire un peu datée de pygmalion en détresse, Ozon ne semble rien avoir à dire qui ne ressemble à une paraphrase explicative, un digest fassbinderien qui coche au pas de course les références et hommages cosmétiques [...].
Première
Comme toujours, Ozon nous offre un festival d’acteurs tous épatants dans la sincérité comme dans l’outrance, Denis Ménochet en tête. Mais en se détournant de l’âpreté de ce huis- clos cruel, en y distillant de l’humour parfois à marche forcée, Peter von Kant vire trop au pur exercice de style, perdant l’aspect foudroyant de l’original.
Critikat.com
Parce qu’il répond au dérisoire par la seule dérision, Ozon finit par désamorcer toute émotion.