Grégoire Moulin contre l'humanité : Critique presse
Grégoire Moulin contre l'humanité
Note moyenne
2,8
12 titres de presse
Le Parisien
Studio Magazine
Ciné Live
Le Figaro
Les Inrockuptibles
Libération
MCinéma.com
Première
Cine Libre
Le Monde
Télérama
Urbuz
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur et Alain Grasset
La virée burlesque de (...) Grégoire Moulin, dans un Paris quasiment désert, est aussi savoureuse qu'une purée façon grand-mère.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
par Julien Vernor
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Disons que cette comédie est un festival anarcho-beauf souvent vulguaire, mais, en raison du matraquage médiatique que le culte du ballon rond suscite (...), il sera beaucoup pardonné au réalisateur-acteur.
Libération
par Gérard Lefort
Est-ce drôle? Oui, parfois. Mais le rire n'arrive pas à domestiquer un malaise de fond.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Marc Kressmann
Pas génial, mais pas si mal.
Première
par Christophe Carrière
(...) même si son tour-operator-scoumoune tourne un peu en rond à force d'accumulation, le moins que l'on puisse dire est que pour un réfractaire du foot, il dribble sacrément bien avec ses trois fonctions (réalisateur, acteur, co-scénariste) (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Cine Libre
par Jean-Julien Primack
Voilà un film bien singulier difficile à décrypter : s'agit-il d'une énorme farce comprise seulement par le réalisateur lui-même, d'un nanar de plus (...) ou d'une charge contre la vie en générale et contre le foot en particulier ?
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Cette misanthropie de façade, cultivant une laideur agressive, semble viser une seule porte de sortie possible : un excès si délirant que cette machinerie se ferait exploser elle-même par effet de dérision superlative. Mais le film s'étouffe sans jamais atteindre cet état.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Isabelle Fajardo
Pas de quoi apporter de l'eau à ce Moulin.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Vincent Malausa
Ce qui agace le plus dans toute cette agitation filmée à la vas y que j'te pousse, c'est la place que se réserve l'auteur-réalisateur-interprète : celle d'un Moretti ou d'un Woody Allen de pavillon de banlieue.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Le Parisien
La virée burlesque de (...) Grégoire Moulin, dans un Paris quasiment désert, est aussi savoureuse qu'une purée façon grand-mère.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
Disons que cette comédie est un festival anarcho-beauf souvent vulguaire, mais, en raison du matraquage médiatique que le culte du ballon rond suscite (...), il sera beaucoup pardonné au réalisateur-acteur.
Libération
Est-ce drôle? Oui, parfois. Mais le rire n'arrive pas à domestiquer un malaise de fond.
MCinéma.com
Pas génial, mais pas si mal.
Première
(...) même si son tour-operator-scoumoune tourne un peu en rond à force d'accumulation, le moins que l'on puisse dire est que pour un réfractaire du foot, il dribble sacrément bien avec ses trois fonctions (réalisateur, acteur, co-scénariste) (...)
Cine Libre
Voilà un film bien singulier difficile à décrypter : s'agit-il d'une énorme farce comprise seulement par le réalisateur lui-même, d'un nanar de plus (...) ou d'une charge contre la vie en générale et contre le foot en particulier ?
Le Monde
Cette misanthropie de façade, cultivant une laideur agressive, semble viser une seule porte de sortie possible : un excès si délirant que cette machinerie se ferait exploser elle-même par effet de dérision superlative. Mais le film s'étouffe sans jamais atteindre cet état.
Télérama
Pas de quoi apporter de l'eau à ce Moulin.
Urbuz
Ce qui agace le plus dans toute cette agitation filmée à la vas y que j'te pousse, c'est la place que se réserve l'auteur-réalisateur-interprète : celle d'un Moretti ou d'un Woody Allen de pavillon de banlieue.