Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Un père et un fils chefs d’orchestre voient leur rivalité professionnelle exploser à la suite d’un quiproquo. Pierre Arditi et Yvan Attal les incarnent avec brio et sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par François Forestier
C’est drôle, touchant, jamais relou, et joliment adapté d’un roman de Joseph Cedar. L’un de ces films dont on sort avec le sourire et émotion, comme un présent inattendu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Bruno Chiche réalise certainement ici son film le plus personnel. Son captivant récit de réconciliation touche par sa sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Le choc Arditi-Attal reste tendu jusqu’au bout. Bien scénarisé et bien joué, « Maesto(s) » connaît la musique des relations familiales.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CNews
par La rédaction
Si l’issue de ce récit reste quelque peu prévisible, il n’en demeure pas moins émouvant et démontre toute la difficulté que peut avoir un «fils de» à trouver sa place et à se faire un nom, sans faire de l’ombre à son mentor, ni le décevoir.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Yvan Attal trouve le ton juste dans l’interprétation de la petite musique des conflits intérieurs, face à l’éruption féroce et impétueuse de Pierre Arditi, alourdi dans son jeu jusqu’à ce qu’il dépasse la figure imposante et pathétique du monstre sardonique, jaloux et rapace, devienne vulnérable et consente à reconnaître l’apogée du fils.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Une histoire assez classique, mais qui se laisse regarder.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si Maestro(s) ne réserve guère de surprises, il va crescendo sans fausse note, porté par la puissance de la musique choisie pour représenter les humeurs des personnages et par la subtilité du travail de l’orchestre magnifiquement filmé.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Inspiré par Footnote (2011) de Joseph Cédar, et dans la lignée de l’inépuisable thématique des relations père-fils explorée par le cinéma, la littérature ou le théâtre, Bruno Chiche rejoue la partition ressassée ad nauseam du conflit familial, sur fond de rivalité professionnelle. Rien d’original, quand le traitement est banal comme dans Maestro(s).
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce récit de réconciliation touche par son traitement de la relation père-fils, entre rivalités, non-dits et quiproquos, et l’affrontement de deux acteurs, Yvan Attal et Pierre Arditi, en dépit d’un scénario cousu de fil blanc.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par La Rédaction
Le duo Pierre Arditi-Yvan Attal y brille en dépit d'un scénario cousu de fil blanc.
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Malgré le plaisir de la partition musicale, le film de Bruno Chiche livre trop de fausses notes au fil d’un récit mal ficelé, construit autour d’un quiproquo ubuesque qui cristallise une relation filiale manquant de profondeur émotionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Ce remake de Footnote de Joseph Cedar souffre du même défaut que l’original : un scénario trop programmatique autour d’une rivalité père- fils en mode choc des générations mais le duo Pierre Arditi-Yvan Attal y apporte du souffle et de la puissance.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par P.C.
Hélas, la méchanceté de Pierre Arditi (que l'on comprend mal) ne parvient pas à faire croire aux enjeux, et le quiproquo retombe très vite.
Télérama
par Guillemette Odicino
ette comédie dramatique déroule sa partition sans surprise, mais on peut trouver du plaisir dans la confrontation d’Yvan Attal et Pierre Arditi. Le numéro de ce dernier, en pater susceptible qui refuse de céder la place, donne toute sa résonance au titre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Un père et un fils chefs d’orchestre voient leur rivalité professionnelle exploser à la suite d’un quiproquo. Pierre Arditi et Yvan Attal les incarnent avec brio et sensibilité.
L'Obs
C’est drôle, touchant, jamais relou, et joliment adapté d’un roman de Joseph Cedar. L’un de ces films dont on sort avec le sourire et émotion, comme un présent inattendu.
Le Figaro
Bruno Chiche réalise certainement ici son film le plus personnel. Son captivant récit de réconciliation touche par sa sensibilité.
Le Parisien
Le choc Arditi-Attal reste tendu jusqu’au bout. Bien scénarisé et bien joué, « Maesto(s) » connaît la musique des relations familiales.
CNews
Si l’issue de ce récit reste quelque peu prévisible, il n’en demeure pas moins émouvant et démontre toute la difficulté que peut avoir un «fils de» à trouver sa place et à se faire un nom, sans faire de l’ombre à son mentor, ni le décevoir.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Yvan Attal trouve le ton juste dans l’interprétation de la petite musique des conflits intérieurs, face à l’éruption féroce et impétueuse de Pierre Arditi, alourdi dans son jeu jusqu’à ce qu’il dépasse la figure imposante et pathétique du monstre sardonique, jaloux et rapace, devienne vulnérable et consente à reconnaître l’apogée du fils.
Femme Actuelle
Une histoire assez classique, mais qui se laisse regarder.
La Croix
Si Maestro(s) ne réserve guère de surprises, il va crescendo sans fausse note, porté par la puissance de la musique choisie pour représenter les humeurs des personnages et par la subtilité du travail de l’orchestre magnifiquement filmé.
Le Dauphiné Libéré
Inspiré par Footnote (2011) de Joseph Cédar, et dans la lignée de l’inépuisable thématique des relations père-fils explorée par le cinéma, la littérature ou le théâtre, Bruno Chiche rejoue la partition ressassée ad nauseam du conflit familial, sur fond de rivalité professionnelle. Rien d’original, quand le traitement est banal comme dans Maestro(s).
Le Journal du Dimanche
Ce récit de réconciliation touche par son traitement de la relation père-fils, entre rivalités, non-dits et quiproquos, et l’affrontement de deux acteurs, Yvan Attal et Pierre Arditi, en dépit d’un scénario cousu de fil blanc.
Ouest France
Le duo Pierre Arditi-Yvan Attal y brille en dépit d'un scénario cousu de fil blanc.
Les Fiches du Cinéma
Malgré le plaisir de la partition musicale, le film de Bruno Chiche livre trop de fausses notes au fil d’un récit mal ficelé, construit autour d’un quiproquo ubuesque qui cristallise une relation filiale manquant de profondeur émotionnelle.
Première
Ce remake de Footnote de Joseph Cedar souffre du même défaut que l’original : un scénario trop programmatique autour d’une rivalité père- fils en mode choc des générations mais le duo Pierre Arditi-Yvan Attal y apporte du souffle et de la puissance.
Télé Loisirs
Hélas, la méchanceté de Pierre Arditi (que l'on comprend mal) ne parvient pas à faire croire aux enjeux, et le quiproquo retombe très vite.
Télérama
ette comédie dramatique déroule sa partition sans surprise, mais on peut trouver du plaisir dans la confrontation d’Yvan Attal et Pierre Arditi. Le numéro de ce dernier, en pater susceptible qui refuse de céder la place, donne toute sa résonance au titre.