Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Une préférence ? L'inattendu Ryan Philippe (...). Pour nous, c'est entendu : mise en scène, scénario, interprétation... Altman atteint la perfection. Il semble bien que Gosford Park présente tous les symptômes du chefd'oeuvre.
Cine Libre
par Philippe Leclercq
Servi par une mise en scène d'une grande fluidité et une troupe d'acteurs tous époustouflants, Gosford Park est un film délicieusement pervers.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Cinopsis.com
par Olivier Loncin
Est-il nécessaire d'encore insister sur les qualités du réalisateur concernant la direction d'acteur? L'ensemble du casting est superbement impecable. Au fil des minutes, on est emporté par une véritable jubilation.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
Faute de pouvoir faire se dérouler le générique, saluons parmi d'autres, sur scène, Kristin Scott Thomas, Maggie Smith, Charles Dance, Alan Battes, Helen Mirren, Emily Watson. Gosford Park est à la fois une leçon d'écriture, de direction d'acteurs et de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
(...) Robert Altman excelle à croquer sa multitude de personnages. (...) Quant aux codes selon lesquels vit tout ce petit monde, il semble qu'Altman ait pris un plaisir à les multiplier. Tout ça est admirablement huilé. La distribution est hors-pair (...).
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) l'aristocratie anglaise peut passer pour une proie (...) facile (...). Pourtant, la victime se débat, et c'est tant mieux. A triompher sans peine (...), on fait des films ennuyeux. Or Gosford Park reste passionnant de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Il y a dans ce film une précision d'écriture, des personnages aux contours impeccables, une interprétation au rasoir et d'irrésistibles moments d'humour (...). "Gosford Park" est du très grand Altman.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) ce dernier film confirme que Altman n'a rien perdu de son talent ni de son mordant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Rarement cinéaste a été autant au sommet de son art, entre jubilation et virtuosité. GOSFORD PARK est une vraie partie de plaisir.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Une expérience d'anthropologie à grandeur nature, conduite avec une maestria proprement sidérante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
Gosford Park est un miroir. Ce portrait d'une société d'hier révèle également les ridicules de la société d'aujourd'hui, tout aussi pleine de convenances.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Les Echos
par Annie Coppermann
Altman l'Américain a su brosser de l'Angleterre britishissime un portrait que l'on sent à la fois d'une extrême justesse, et d'une évidente universalité.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Didier Péron
Ici, la grande maîtrise d'Altman consiste à équilibrer intelligemment la part des archétypes et des individualités, à montrer comment chacun tient son rôle dans un théâtre social archi-réglé mais peut aussi tomber le masque, voire en changer en cours de route selon les besoins de la pièce.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Olivier De Bruyn
Gosford Park ne ressemble à rien de connu. Juste un film où le plaisir de suivre une intrigue retorse s'accompagne du bonheur de contempler une mise en scène inventive.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par N. T. Binh
Une partie de chasse dans un manoir anglais, des domestiques qu'on désigne en cuisine par le nom de leurs employeurs, un meurtre insoluble : il n'en faut pas plus à l'Américain Robert Altman pour s'amuser. Il pastiche brillamment le roman policier à l'anglaise, mais aussi la distinction feutrée des films de son compatriote James Ivory et, surtout, le cinéma altmanien lui-même (...).
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
C'est l'aspect le plus réussi du film, son versant "règle du jeu" (...). Hélas, le crime et sa résolution viennent gâcher les logiques séparées des deux groupes, plaquant mécaniquement les destins, cherchant une raison à tout dans un geste logique de trop.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
par Olivier Bonnard
Le problème, c'est qu'il y en a trop, des personnages! On a du mal à s'y retrouver, et la satire en perd de son mordant.
Obejctif-Cinema.com
par Delphine Agut
Mais nous restons sur notre faim : la partie de chasse finie, tout ce petit monde repart comme il est arrivé, avec ses secrets; le spectateur lui, sort frustré !
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
par Juliette Salles
(...) il n'y a rien de très neuf. (...) Une chose pourtant sauve le film : l'humour implacable d'Altman qui se passionne pour toutes les petites (ou grosses) faiblesses de l'âme humaine. Ainsi, le scénario regorge de répliques cinglantes, dites, avec un plaisir évident, par une brochette d'acteurs anglais - donc forcément impeccables.
La critique complète est disponible sur le site Synopsis
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Rien ne passe vraiment à travers les murs de Gosford Park, ni un quelconque flux d'énergie, ni, par ricochet, une critique satirique et frontale à laquelle le film semble vouloir aspirer (montrer que, aujourd'hui, rien n'a changé).
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Cahiers du Cinéma
par Baptiste Piégay
Statique, lourdement psychologique, figé dans une esthétique paresseuse, Gosford Park affecte la brillance mais sent le formol.
Aden
Une préférence ? L'inattendu Ryan Philippe (...). Pour nous, c'est entendu : mise en scène, scénario, interprétation... Altman atteint la perfection. Il semble bien que Gosford Park présente tous les symptômes du chefd'oeuvre.
Cine Libre
Servi par une mise en scène d'une grande fluidité et une troupe d'acteurs tous époustouflants, Gosford Park est un film délicieusement pervers.
Cinopsis.com
Est-il nécessaire d'encore insister sur les qualités du réalisateur concernant la direction d'acteur? L'ensemble du casting est superbement impecable. Au fil des minutes, on est emporté par une véritable jubilation.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Faute de pouvoir faire se dérouler le générique, saluons parmi d'autres, sur scène, Kristin Scott Thomas, Maggie Smith, Charles Dance, Alan Battes, Helen Mirren, Emily Watson. Gosford Park est à la fois une leçon d'écriture, de direction d'acteurs et de mise en scène.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
(...) Robert Altman excelle à croquer sa multitude de personnages. (...) Quant aux codes selon lesquels vit tout ce petit monde, il semble qu'Altman ait pris un plaisir à les multiplier. Tout ça est admirablement huilé. La distribution est hors-pair (...).
Le Monde
(...) l'aristocratie anglaise peut passer pour une proie (...) facile (...). Pourtant, la victime se débat, et c'est tant mieux. A triompher sans peine (...), on fait des films ennuyeux. Or Gosford Park reste passionnant de bout en bout.
Le Parisien
Il y a dans ce film une précision d'écriture, des personnages aux contours impeccables, une interprétation au rasoir et d'irrésistibles moments d'humour (...). "Gosford Park" est du très grand Altman.
Les Inrockuptibles
(...) ce dernier film confirme que Altman n'a rien perdu de son talent ni de son mordant.
MCinéma.com
Rarement cinéaste a été autant au sommet de son art, entre jubilation et virtuosité. GOSFORD PARK est une vraie partie de plaisir.
Télérama
Une expérience d'anthropologie à grandeur nature, conduite avec une maestria proprement sidérante.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Gosford Park est un miroir. Ce portrait d'une société d'hier révèle également les ridicules de la société d'aujourd'hui, tout aussi pleine de convenances.
Les Echos
Altman l'Américain a su brosser de l'Angleterre britishissime un portrait que l'on sent à la fois d'une extrême justesse, et d'une évidente universalité.
Libération
Ici, la grande maîtrise d'Altman consiste à équilibrer intelligemment la part des archétypes et des individualités, à montrer comment chacun tient son rôle dans un théâtre social archi-réglé mais peut aussi tomber le masque, voire en changer en cours de route selon les besoins de la pièce.
Première
Gosford Park ne ressemble à rien de connu. Juste un film où le plaisir de suivre une intrigue retorse s'accompagne du bonheur de contempler une mise en scène inventive.
Zurban
Une partie de chasse dans un manoir anglais, des domestiques qu'on désigne en cuisine par le nom de leurs employeurs, un meurtre insoluble : il n'en faut pas plus à l'Américain Robert Altman pour s'amuser. Il pastiche brillamment le roman policier à l'anglaise, mais aussi la distinction feutrée des films de son compatriote James Ivory et, surtout, le cinéma altmanien lui-même (...).
Chronic'art.com
C'est l'aspect le plus réussi du film, son versant "règle du jeu" (...). Hélas, le crime et sa résolution viennent gâcher les logiques séparées des deux groupes, plaquant mécaniquement les destins, cherchant une raison à tout dans un geste logique de trop.
L'Obs
Le problème, c'est qu'il y en a trop, des personnages! On a du mal à s'y retrouver, et la satire en perd de son mordant.
Obejctif-Cinema.com
Mais nous restons sur notre faim : la partie de chasse finie, tout ce petit monde repart comme il est arrivé, avec ses secrets; le spectateur lui, sort frustré !
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
(...) il n'y a rien de très neuf. (...) Une chose pourtant sauve le film : l'humour implacable d'Altman qui se passionne pour toutes les petites (ou grosses) faiblesses de l'âme humaine. Ainsi, le scénario regorge de répliques cinglantes, dites, avec un plaisir évident, par une brochette d'acteurs anglais - donc forcément impeccables.
Urbuz
Rien ne passe vraiment à travers les murs de Gosford Park, ni un quelconque flux d'énergie, ni, par ricochet, une critique satirique et frontale à laquelle le film semble vouloir aspirer (montrer que, aujourd'hui, rien n'a changé).
Cahiers du Cinéma
Statique, lourdement psychologique, figé dans une esthétique paresseuse, Gosford Park affecte la brillance mais sent le formol.