Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Construit comme un conte fantastique, ce huis clos sensuel et troublant se révèle d'une efficacité redoutable.
Femme Actuelle
par La rédaction
Le soin apporté aux détails, le grain de l'image et l'interprétation forment un ensemble de qualité, qui charme en toute discrétion.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Très réussi sur un plan formel, avec des effets de mise en scène originaux, mais jamais gratuits, ce premier long métrage singulier est porté par la jeune actrice Camilla Godø Krohn et sa présence magnétique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Maryline Alligier
MON PARFAIT INCONNU donne à voir et à ressentir la complexité des rapports de domination et de classe d’une façon très singulière. Loin de toute caricature et de tout naturalisme, la cinéaste prend le parti du symbolisme. Le mensonge apparaît comme le travestissement de la réalité, qui seul peut maintenir la fiction d’être ce qu’Ebba voudrait être. Survivre à la honte c’est sans doute ce qui pousse Ebba à la fabulation.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Pour son premier long-métrage, Johanna Pyykkö met habilement en scène la puissance du désir féminin, entre fantasme et folie douce.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par La rédaction
Une fiction qui parvient habilement à maintenir une grande tension narrative jusqu'à un final poétique où Ebba devra choisir entre le monde de ses illusions et la vraie vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Un premier long métrage troublant sur les pouvoirs (et les dangers) de la fiction, au récit voilé d’incertitude, mais qui n’en oublie pas d’incarner ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Voici
par D.B.
Si les ramifications du sujet ne sont pas toutes traitées avec la même profondeur et le même engagement émotionnel, sa rigoureuse mise en scène et ses excellents acteurs permettent au film de rester intrigant.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Cruel, labyrinthique et surtout d’une grande sensualité, ce thriller norvégien est une franche réussite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Johanna Pyykkö (qui signe ici son premier long métrage) se heurte à cette cohabitation impossible et rend son cul-de-sac narratif visible à travers des ralentis et autres manipulations de l’image, pas toujours heureuses, mais qui participent d’un mésaise constant des situations.
La Croix
par Céline Rouden
Sa mise en scène impressionniste, très soignée formellement, parvient à nous mettre dans cet état flottant entre rêve et réalité, instillant le suspense.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par V. Cau.
Ce premier long-métrage, présenté en compétition au festival Premiers Plans d’Angers, en 2023, décline un univers singulièrement psychotique par lequel se révèlent les malaises qui frappent la société norvégienne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Laura Tuillier
La focalisation constante sur la subjectivité d’Ebba épuise le film et l’amène à une impasse que l’ambiguïté de la séquence finale peine à masquer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Louise Dumas
Un film plutôt bien mené, à mi-chemin entre un thriller psychologique assez tordu et un coming of age movie dont l'amoralité est peut-être la principale qualité.
Télé 2 semaines
par S.O.
Par le format carré de l'image enfermant l'héroïne dans ses mensonges et des effets de montage brouillant la réalité, Mon parfait inconnu utilise des moyens purement cinématographiques pour explorer une relation amoureuse basée sur la manipulation. Intrigant.
Télé Loisirs
par S.O.
Par le format carré de l'image enfermant l'héroïne dans ses mensonges et des effets de montage brouillant la réalité, Mon parfait inconnu utilise des moyens purement cinématographiques pour explorer une relation amoureuse basée sur la manipulation. Intrigant.
Télérama
par Caroline Besse
Malgré quelques répétitions dans le scénario, ce film représente une belle promesse, entre romance sur un fil et polar efficace.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
par Thierry Chèze
La belle idée de ce film de Johanna Pyykkö est de ne jamais juger son héroïne d'un point de vue moral. Mais hélas, le récit s'essouffle et ne tient pas toutes ses promesses.
Première
par Lucie Chiquer
Le petit jeu malsain ne prend pas : l'atmosphère anxiogène instaurée dès les premiers instants du film retombe rapidement à plat, la tension est fugace, et aucun regard critique n'est finalement posé sur les actes d'Ebba. Frustrant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Josué Morel
Le film se rêve en portrait d’une monstruosité insondable, quand son mystère n’est qu’artifice.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
Construit comme un conte fantastique, ce huis clos sensuel et troublant se révèle d'une efficacité redoutable.
Femme Actuelle
Le soin apporté aux détails, le grain de l'image et l'interprétation forment un ensemble de qualité, qui charme en toute discrétion.
Franceinfo Culture
Très réussi sur un plan formel, avec des effets de mise en scène originaux, mais jamais gratuits, ce premier long métrage singulier est porté par la jeune actrice Camilla Godø Krohn et sa présence magnétique.
La Septième Obsession
MON PARFAIT INCONNU donne à voir et à ressentir la complexité des rapports de domination et de classe d’une façon très singulière. Loin de toute caricature et de tout naturalisme, la cinéaste prend le parti du symbolisme. Le mensonge apparaît comme le travestissement de la réalité, qui seul peut maintenir la fiction d’être ce qu’Ebba voudrait être. Survivre à la honte c’est sans doute ce qui pousse Ebba à la fabulation.
Le Figaro
Pour son premier long-métrage, Johanna Pyykkö met habilement en scène la puissance du désir féminin, entre fantasme et folie douce.
Le Point
Une fiction qui parvient habilement à maintenir une grande tension narrative jusqu'à un final poétique où Ebba devra choisir entre le monde de ses illusions et la vraie vie.
Les Fiches du Cinéma
Un premier long métrage troublant sur les pouvoirs (et les dangers) de la fiction, au récit voilé d’incertitude, mais qui n’en oublie pas d’incarner ses personnages.
Voici
Si les ramifications du sujet ne sont pas toutes traitées avec la même profondeur et le même engagement émotionnel, sa rigoureuse mise en scène et ses excellents acteurs permettent au film de rester intrigant.
aVoir-aLire.com
Cruel, labyrinthique et surtout d’une grande sensualité, ce thriller norvégien est une franche réussite.
Cahiers du Cinéma
Johanna Pyykkö (qui signe ici son premier long métrage) se heurte à cette cohabitation impossible et rend son cul-de-sac narratif visible à travers des ralentis et autres manipulations de l’image, pas toujours heureuses, mais qui participent d’un mésaise constant des situations.
La Croix
Sa mise en scène impressionniste, très soignée formellement, parvient à nous mettre dans cet état flottant entre rêve et réalité, instillant le suspense.
Le Monde
Ce premier long-métrage, présenté en compétition au festival Premiers Plans d’Angers, en 2023, décline un univers singulièrement psychotique par lequel se révèlent les malaises qui frappent la société norvégienne.
Libération
La focalisation constante sur la subjectivité d’Ebba épuise le film et l’amène à une impasse que l’ambiguïté de la séquence finale peine à masquer.
Positif
Un film plutôt bien mené, à mi-chemin entre un thriller psychologique assez tordu et un coming of age movie dont l'amoralité est peut-être la principale qualité.
Télé 2 semaines
Par le format carré de l'image enfermant l'héroïne dans ses mensonges et des effets de montage brouillant la réalité, Mon parfait inconnu utilise des moyens purement cinématographiques pour explorer une relation amoureuse basée sur la manipulation. Intrigant.
Télé Loisirs
Par le format carré de l'image enfermant l'héroïne dans ses mensonges et des effets de montage brouillant la réalité, Mon parfait inconnu utilise des moyens purement cinématographiques pour explorer une relation amoureuse basée sur la manipulation. Intrigant.
Télérama
Malgré quelques répétitions dans le scénario, ce film représente une belle promesse, entre romance sur un fil et polar efficace.
Ouest France
La belle idée de ce film de Johanna Pyykkö est de ne jamais juger son héroïne d'un point de vue moral. Mais hélas, le récit s'essouffle et ne tient pas toutes ses promesses.
Première
Le petit jeu malsain ne prend pas : l'atmosphère anxiogène instaurée dès les premiers instants du film retombe rapidement à plat, la tension est fugace, et aucun regard critique n'est finalement posé sur les actes d'Ebba. Frustrant.
Critikat.com
Le film se rêve en portrait d’une monstruosité insondable, quand son mystère n’est qu’artifice.