The Barber : l'homme qui n'était pas là : Critique presse
The Barber : l'homme qui n'était pas là
Note moyenne
3,8
22 titres de presse
Aden
L'Express
Le Figaro
Positif
Télérama
Cine Libre
Ciné Live
Le Parisien
Le Point
Libération
MCinéma.com
Ouirock.com
Première
Chronic'art.com
L'Humanité
L'Obs
Le Monde
Les Echos
Les Inrockuptibles
Studio Magazine
Urbuz
Zurban
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Les frères Coen, toujours aussi dingues et toujours aussi maniaques dans leur mise en scène impeccable, se lancent dans une fable à l'absurdité et à la moralité percutantes sous les dehors les plus feutrés.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Yannick Dahan
Avec ce chef-d'oeuvre (n'ayons pas peur des mots !) tragique et audacieux, sombre mais militant, les Coen s'évertuent encore à réveiller les consciences politiques.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Marine Landrot
Avec l'histoire très classique d'un loser qui s'enfonce, les frères Coen reviennent au film noir. Magistralement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cine Libre
par Philippe Leclercq
The Barber nous régale de son noir et blanc élégant, de ses plans au cordeau et de son personnage-narrateur contant de sa voix off lancinante et veloutée les déboires des différents protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Tourné dans un noir et blanc très Faucon maltais et présenté cette année à Cannes, où il n'a rien remporté, ce film, véritablement habité par Billy Bob Thornton- qui s'est fait une tête de Bogart du pauvre- est un nectar de polar.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Gérard Lefort
Atmosphère, hommages, citations, le retour en arrière est un genre habituel des Coen, même dans leurs films les plus contemporains. Ici ils persévèrent avec brio avec cependant le risque de s'encroûter en accumulant film à film un patrimoine d'antiquaire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
L'homme qui n'était pas là, dont l'action se déroule dans les années 40, possède un charme fou (...) Le scénario de Joël et Ethan est particulièrement malin et efficace.
Ouirock.com
par Nicole Saint-Bois
The Barber, c'est, d'abord, une atmosphère, des personnages qui la font respirer et, enfin, une histoire que l'on traverse un peu comme le héros principal, sans vraiment y toucher.
Première
par Olivier de Bruyn
La drôlerie du film, réelle, grince sournoisement mais s'offre de façon beaucoup moins immédiate que dans O'Brother ou The Big Lebowski. The Barber est plus dur, plus raide mais aussi plus profond.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
Le film qui enchaîne les virtuosités plastiques et les numéros d'acteur -extraordinaire présence-absence de Billy Bob Thornton et épatante démesure de Tony Shalhoub, digne héritier d'Elli Walach- finit par apparaître comme un produit sans nécessité. Une signature, juste une signature.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Jean Roy
Le noir et blanc manucuré de cette reconstitution rétro, située en 1949, a quelque chose de clinique et d'étouffant. Autrement dit, on se demande parfois si les frères Coen n'ont pas tourné ce film, qui se laisse voir, uniquement pour se faire plaisir.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Olivier Bonnard
Pur exercice de style en forme d'hommage aux films noirs des années 40 (le noir et blanc est superbe, ete Billy Bob Thornton, relooké Bogart, impérial), le film a tout de l'écrin vide. The barber, le film qui n'était pas là ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les références, les astuces de mise en scène (...) et les rebondissements de scénarios suffisent largement à maintenir le rythme du film. Mais ce n'est que l'emballage d'une tristesse irrépressible, comme si Joel et Ethan en voulaient encore à Mme Coen de les avoir fait naître trop tard pour réaliser des films tout simples.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Annie Coppermann
Primé à Cannes, le nouveau film des auteurs de Fargo s'inspire de l'univers de James Cain. Un peu figé, mais avec un interprète étonnant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
(...) les frères Coen ont du mal à faire décoller leur film de l'exercice de style, et l'opacité et le mystère prennent chez eux l'allure d'un canular : sous la splendeur ripolinée du film ne se cache pas grand chose.
Studio Magazine
par Christophe d'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
par Jean-Sébastien Chauvin
La mécanique, ici, est désenchantée, comme si les Coen avaient intégré à leur cinéma cette conscience qu'ils ont perdu quelque chose qui, auparavant, faisait l'étrangeté de leur oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Zurban
par Stéphanie Brisset
(...) The Barber, comme le précédent O'brother..., souffre d'un déficit d'imagination sur la longueur. Et l'abondance de références ne suffit alors plus à donner chair à une histoire qui semble privilégier l'astuce à l'inspiration. Cette déception persistante entame, mezzo piano, le charme de l'ensemble.
Aden
Les frères Coen, toujours aussi dingues et toujours aussi maniaques dans leur mise en scène impeccable, se lancent dans une fable à l'absurdité et à la moralité percutantes sous les dehors les plus feutrés.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Positif
Avec ce chef-d'oeuvre (n'ayons pas peur des mots !) tragique et audacieux, sombre mais militant, les Coen s'évertuent encore à réveiller les consciences politiques.
Télérama
Avec l'histoire très classique d'un loser qui s'enfonce, les frères Coen reviennent au film noir. Magistralement.
Cine Libre
The Barber nous régale de son noir et blanc élégant, de ses plans au cordeau et de son personnage-narrateur contant de sa voix off lancinante et veloutée les déboires des différents protagonistes.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Parisien
Tourné dans un noir et blanc très Faucon maltais et présenté cette année à Cannes, où il n'a rien remporté, ce film, véritablement habité par Billy Bob Thornton- qui s'est fait une tête de Bogart du pauvre- est un nectar de polar.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Atmosphère, hommages, citations, le retour en arrière est un genre habituel des Coen, même dans leurs films les plus contemporains. Ici ils persévèrent avec brio avec cependant le risque de s'encroûter en accumulant film à film un patrimoine d'antiquaire.
MCinéma.com
L'homme qui n'était pas là, dont l'action se déroule dans les années 40, possède un charme fou (...) Le scénario de Joël et Ethan est particulièrement malin et efficace.
Ouirock.com
The Barber, c'est, d'abord, une atmosphère, des personnages qui la font respirer et, enfin, une histoire que l'on traverse un peu comme le héros principal, sans vraiment y toucher.
Première
La drôlerie du film, réelle, grince sournoisement mais s'offre de façon beaucoup moins immédiate que dans O'Brother ou The Big Lebowski. The Barber est plus dur, plus raide mais aussi plus profond.
Chronic'art.com
Le film qui enchaîne les virtuosités plastiques et les numéros d'acteur -extraordinaire présence-absence de Billy Bob Thornton et épatante démesure de Tony Shalhoub, digne héritier d'Elli Walach- finit par apparaître comme un produit sans nécessité. Une signature, juste une signature.
L'Humanité
Le noir et blanc manucuré de cette reconstitution rétro, située en 1949, a quelque chose de clinique et d'étouffant. Autrement dit, on se demande parfois si les frères Coen n'ont pas tourné ce film, qui se laisse voir, uniquement pour se faire plaisir.
L'Obs
Pur exercice de style en forme d'hommage aux films noirs des années 40 (le noir et blanc est superbe, ete Billy Bob Thornton, relooké Bogart, impérial), le film a tout de l'écrin vide. The barber, le film qui n'était pas là ?
Le Monde
Les références, les astuces de mise en scène (...) et les rebondissements de scénarios suffisent largement à maintenir le rythme du film. Mais ce n'est que l'emballage d'une tristesse irrépressible, comme si Joel et Ethan en voulaient encore à Mme Coen de les avoir fait naître trop tard pour réaliser des films tout simples.
Les Echos
Primé à Cannes, le nouveau film des auteurs de Fargo s'inspire de l'univers de James Cain. Un peu figé, mais avec un interprète étonnant.
Les Inrockuptibles
(...) les frères Coen ont du mal à faire décoller leur film de l'exercice de style, et l'opacité et le mystère prennent chez eux l'allure d'un canular : sous la splendeur ripolinée du film ne se cache pas grand chose.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
La mécanique, ici, est désenchantée, comme si les Coen avaient intégré à leur cinéma cette conscience qu'ils ont perdu quelque chose qui, auparavant, faisait l'étrangeté de leur oeuvre.
Zurban
(...) The Barber, comme le précédent O'brother..., souffre d'un déficit d'imagination sur la longueur. Et l'abondance de références ne suffit alors plus à donner chair à une histoire qui semble privilégier l'astuce à l'inspiration. Cette déception persistante entame, mezzo piano, le charme de l'ensemble.