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Tourné sur quatre saisons, le film place sans cesse le spectateur à hauteur du petit félin pour nous faire partager ses aventures de son point de vue, ce qui s’avère totalement bluffant pour tous les spectateurs de 7 à 97 ans.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Beauté de la nature, turnover des saisons, double roman d’apprentissage (celui de Clémence et du matou), irruption de Corinne Masiero en ermite altermondialiste bourrue, Maidatchevsky filme à hauteur de félin, de manière attendue mais fidèle, ce petit film d’aventures, avec une idée en tête : montrer le libre arbitre et l’ingéniosité de celles qu’on appelle un peu stupidement les « bêtes ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cette histoire, toute simple, est prétexte à un joli récit d’apprentissage : la fillette doit accepter la séparation de ses parents, tout comme l’instinct de liberté de son compagnon à quatre pattes.
Le film se veut tendre et poétique mais conte parfois avec maladresse le récit de la séparation. Néanmoins, les personnages sont attachants et les images superbes.
Grâce à la tendresse observatrice du réalisateur Guillaume Maidatchevsky (Aïlo, une odyssée en Laponie), ce récit initiatique, de la grande ville à la forêt, parle joliment de la nécessité de grandir (mais aussi de laisser grandir), que l’on soit félin ou humain.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Mais bien sûr, le vrai héros reste le chat. Tour à tour attendrissant, imprévisible, inquiétant, gaffeur, élégant et toujours libre et indépendant, il ne laissera personne (ou presque) indifférent.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L’ermite en question, c’est Corinne Masiero, parfaite dans sa relecture de la sorcière pas si méchante que cela. On est plus interrogatif sur l’envergure des autres personnages. Et sur le message assurant que le petit chat prend son pied, tout seul dans une nature pourtant déjà bien peuplée (lynx, sanglier, grand-duc…).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le scénario réduit à peau de chagrin devient simple prétexte à l’observation du chat et de la nature ; aux dépens de l’histoire, des personnages et des acteurs qui, soumis à de pauvres répliques, jouent faux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
Tourné sur quatre saisons, le film place sans cesse le spectateur à hauteur du petit félin pour nous faire partager ses aventures de son point de vue, ce qui s’avère totalement bluffant pour tous les spectateurs de 7 à 97 ans.
L'Obs
Beauté de la nature, turnover des saisons, double roman d’apprentissage (celui de Clémence et du matou), irruption de Corinne Masiero en ermite altermondialiste bourrue, Maidatchevsky filme à hauteur de félin, de manière attendue mais fidèle, ce petit film d’aventures, avec une idée en tête : montrer le libre arbitre et l’ingéniosité de celles qu’on appelle un peu stupidement les « bêtes ».
Les Fiches du Cinéma
Évoquant l’univers du conte tout en restant ancré dans le réalisme, ce film familial ne manque pas de charme, malgré ses imperfections.
Télé 2 semaines
Le film, qui se veut tendre et poétique, conte aussi la séparation, parfois avec maladresse.
Télé 7 Jours
Cette histoire, toute simple, est prétexte à un joli récit d’apprentissage : la fillette doit accepter la séparation de ses parents, tout comme l’instinct de liberté de son compagnon à quatre pattes.
Télé Loisirs
Le film se veut tendre et poétique mais conte parfois avec maladresse le récit de la séparation. Néanmoins, les personnages sont attachants et les images superbes.
Télérama
Grâce à la tendresse observatrice du réalisateur Guillaume Maidatchevsky (Aïlo, une odyssée en Laponie), ce récit initiatique, de la grande ville à la forêt, parle joliment de la nécessité de grandir (mais aussi de laisser grandir), que l’on soit félin ou humain.
aVoir-aLire.com
Mais bien sûr, le vrai héros reste le chat. Tour à tour attendrissant, imprévisible, inquiétant, gaffeur, élégant et toujours libre et indépendant, il ne laissera personne (ou presque) indifférent.
La Voix du Nord
L’ermite en question, c’est Corinne Masiero, parfaite dans sa relecture de la sorcière pas si méchante que cela. On est plus interrogatif sur l’envergure des autres personnages. Et sur le message assurant que le petit chat prend son pied, tout seul dans une nature pourtant déjà bien peuplée (lynx, sanglier, grand-duc…).
Première
Le tout rappelle La jeune fille et le renard, mais peine à être aussi émouvant.
Le Monde
Le scénario réduit à peau de chagrin devient simple prétexte à l’observation du chat et de la nature ; aux dépens de l’histoire, des personnages et des acteurs qui, soumis à de pauvres répliques, jouent faux.