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    Love Life
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    jacq fourrier
    jacq fourrier

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 juillet 2023
    film ennuyeux, on attend toujours qu'il se passe quelque chose , c'est long, long, des visages lisses sans expression aussi bien dans la joie que dans le chagrin . 2h pour nous faire comprendre que quoiqu'il se passe, la vie continue, c'est plat et super ennuyeux, on ne comprend pas les éloges des "spécialistes ". NUL de NUL
    Clem Lepic
    Clem Lepic

    39 abonnés 187 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juin 2023
    Film délicat sur un couple au Japon et leur évolution suite à la mort d'un enfant. Ton assez grave et mélancolique tout au long du film. La vie à deux semble être un fardeau, où se glissent quelques non dits, des réapparitions et des souvenirs du passé.
    Michel Gillen
    Michel Gillen

    25 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2024
    Remarquable film pas facile à aborder, où la vision de l'amour est très négative, mais les personnages sont victimes de leur incapacité à aimer et jamais tournés en dérision, ils sont victimes d'une situation qui leur échappe.
    CINÉ FEEL
    CINÉ FEEL

    54 abonnés 213 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 juin 2023
    Belle découverte de un cinéaste japonais que je ne connaissais pas et qui en est pourtant à son dixième film …
    Comme ses illustres prédécesseurs Ozu et Kore-Eda, il nous plonge au cœur d un des thèmes préférés du cinéma japonais : la famille, et jette un regard sur la société qui l’entoure. L’autre nation de ce regard cinéphile sur la famille est bien sûr le cinéma italien. Mais à la différence des chefs d’œuvres transalpins, on est ici rarement dans la comédie, le sarcasme ou le cynisme. Cette fois on est même dans le drame ( certains critiques ont même parlé de mémo mais je ne trouve pas que Koji Fukada en emprunte les codes)
    Il nous plonge dans une famille atypique, recomposée et dysfonctionnelle, tout y passe ; beaux parents hostiles, handicap, drame familial, retour envahissant des ex. Raconté ainsi , cela peut ne pas donner envie … mais ce serait oublier la force d’un scénario très riche, fertile en rebondissements , lune mise en scène habile qui sait parfois prendre son temps, parfois opter pour l’elipse, une réalisation qui ne cède jamais à la facilité du flash back mais qui nous bouleverse avec des plans magnifiques : le reflet du soleil sur un balcon, une femme qui danse sous la pluie, un baiser défendu. Et surtout le souvenir d’un enfant inventif, si attachant.
    C est très émouvant, jamais appuyé, toujours intriguant et surtout cela ne cherche pas à plaquer une morale sur cette description d’une femme japonaise libre
    A découvrir !
    selenie
    selenie

    6 331 abonnés 6 203 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juin 2023
    Le réalisateur signe un vrai mélodrame entre un Douglas Sirk et un Kinji Mizoguchi. Il y a ainsi tout un pan de la société japonaise qui s'impose dans cette histoire qui peut être compliqué à comprendre ou à accepter par un occidental. Ainsi, après le drame, les âmes meurtries se retrouvent dans un flou émotionnel et complexe. Outre le jeu des "chaises musicales" on est bluffé par un scénario qui aborde autant de sujets sans jamais dévier de sa ligne directrice, avec entre autre la langue des signes, la dimension sociale, la famille recomposée... etc... Le tout dans un récit fluide même si certains passages restent plus ou moins agaçants ou peu compréhensibles mais qui sont surtout dus à notre vision sans doute trop occidental ; comme les pardons et les excuses systématiques pour tout, les discussions qui ne se poursuivent jamais, cette impossibilité ou cette incapacité à parler... etc... Mais d'un autre côté on aime cette finesse et cette sensibilité qui évite tout pathos avec des détails plus ou moins subtils comme la fuite du chaton ou la double vie. Le voyage au sein du Japon n'est pas pour rien non plus dans l'intérêt qu'on porte à ce mélo qui reste sur le fond universel et déchirant même si les non-dits sont un poids lourd et fatidique.
    Site : Selenie.fr
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 185 abonnés 5 188 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 janvier 2024
    Un évènement tragique remet en question la vie d’une femme. La chanson finale du film donne la morale qui peut être un peu naïve en vérité. Malgré le distance, je t'aimerai toujours.
    Cependant le ton du film et l'émotion que l'on ressent sont suffisants pour plaire.
    C'est touchant et beau.
    moket
    moket

    539 abonnés 4 345 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 août 2024
    Avec finesse, subtilité et sobriété, ce film décrit admirablement les différentes réactions face au drame. Un scénario assez malin malgré quelques longueurs.
    Hotinhere
    Hotinhere

    569 abonnés 4 993 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 février 2024
    Un mélodrame touchant et pudique mais manquant de rythme et d’intensité, autour du deuil et des relations familiales.
    Cinememories
    Cinememories

    487 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juin 2023
    Après avoir accueilli des étrangers en tous genres avec Hospitalité, ébranlé le système familial à l’aide d’un Harmonium, tissé un lien nostalgique et fantastique dans Le Soupir des Vagues, brisé L’Infirmière en quête de confiance et joué au ping-pong romantique dans le dyptique Suis-moi je te fuis, Fuis-moi je te suis, Kôji Fukada est au sommet de sa carrière. Les apparences sont toujours trompeuses chez ce cinéaste qui multiplie les portraits de famille et de couple dans une crise existentielle. Avec son dernier cru, qu’il a pu présenter en compétition lors de la Mostra de Venise 2022, il réitère en explorant un nouveau pan de la nature humaine.

    Rares sont les chassés-croisés romantiques de la sorte, à l’aube d’un bouleversement familial. Une réunion de famille devient le théâtre d’un deuil universel. Les beaux-parents ont du mal à approuver le mariage soudain de leur fils Jiro (Kento Nagayama) avec Taeko (Fumino Kimura), une mère célibataire qu’ils n’osent même pas dévisager. La honte se lit cependant sur leurs échanges monotones, qui prouve encore une fois un lien fondamental entre deux générations et deux cultures qui entrent en collision. On s’interroge alors sur le bonheur de cette famille, où trône le jeune Keita (Tetta Shimada), prometteur dans le jeu de stratégie Othello, qui consiste à retourner les pions du joueur adverse dans sa propre couleur. Noir ou blanc, il s’agit là d’une mutation permanente dans une vie, car cette famille, malgré une connexion qui semble saine de l’intérieur, cache bien des maux, des cicatrices et des secrets que seul le temps peut guérir.

    La traversée du désert ne fait que commencer pour des couples en opposition. Taeko redécouvre la vie de son ex-mari à travers des démarches administratives et Jiro s’éclipse peu à peu dans une narration où il a toujours un cran de retard. Ce mélodrame va ainsi les confronter à leurs amants passés, dont Park (Atom Sunada), le père biologique de Keita. Sourd et muet, son rapprochement avec Taeko est inévitable et ces derniers ne se privent pas non plus pour retrouver des sensations qu’ils ont laissées échapper. Malheureusement, l’emprise de Park est d’une tout autre nature, qui vient nourrir un axe secondaire, pivot dans la destination finale des protagonistes. Si lui souhaite renouer avec sa terre natale, la Corée du Sud, Taeko n’a pas encore finalisé l’apprentissage du deuil qu’elle porte. Exhiber son indignation devait pourtant conjurer le sort. Que nenni !

    Chacun suit son phare dans le brouillard et cette femme affaiblie et mélancolique adopte un chat comme un nouvel enfant, afin de tromper l’échec précédent. Sa trajectoire dévoile alors les symptômes d’un couple ou d’un mariage à l’agonie, qui n’attend qu’un miracle pou renaître de ses cendres. Le temps est suspendu dans un appartement où il ne reste plus assez de vivants pour l’occuper. On traverse ce lieu tel le fantôme que l’on espère cajoler de nouveau, mais jusqu’où peut s’étendre un tel supplice ? Fukada n’hésite pas à jouer sur les teintes vives et une couleur jaune, qui rappellent ce rayon de soleil qui nous aide à surmonter l’éprouvante épreuve de la culpabilité. Cette direction artistique n’a donc pas à rougir face à une œuvre d’Hirokazu Kore-eda, qui peut user du même dispositif, tout en chatouillant le brin surréaliste de son récit, pourtant profondément ancré dans les mœurs contemporaines.

    Des regards qui ne se croisent jamais, des mots d’encouragement mal agencés, le langage exclusif des signes, des douleurs émotionnelles que l’on dissimule pour la bienséance, Kôji Fukada souligne ici les enjeux d’une communication défaillante. La rédemption des protagonistes en découle, d’où le dénouement sur une note de compassion, avec ce couple amoureux qui accepte autant la distance qui les sépare que les tragédies qui les rapprochent. Il s’agit ainsi d’une Love Life, une vie de peine, une vie à deux.
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    79 abonnés 834 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 novembre 2024
    Fukada n'a pas été très inspiré avec ce drame où la dureté des situations, des dialogues, des regards, s'avère totalement plombante. Le film navigue du début à la fin dans cet océan de morosité léthargique duquel rien ne semble émerger, jusqu'au dénouement salvateur.
    Fenêtre sur salle
    Fenêtre sur salle

    74 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juillet 2023
    Voilà un film dans la pure veine du cinéma japonais dont Hirokazu Kore-Eda serait la figure de proue. Ce cinéma tout en sensibilité, qui prend son temps pour se focaliser sur les rapports humains. Qualifié de mélodrame par son réalisateur, il est préférable de ne pas trop en dévoiler l'histoire et que le spectateur se laisse surprendre par le scénario, très bien écrit, et mis en scène avec beaucoup de finesse, comme de la dentelle.

    Faux film de deuil, le long métrage est davantage un film sur les fantômes du passé et sur les difficultés à avancer, voire même à exister pour certain(e)s dans une société Japonaise toujours plombée par les traditions patriarcales. C'est également une réflexion intéressante sur la difficulté à communiquer, à se comprendre, à verbaliser ses émotions, notamment à travers l'utilisation de trois langues dans le film, la langue des signes, le japonais et le coréen, qui, à chaque fois, permettent le rapprochement de certains pour en exclure d'autres. Le langage comme une possibilité de rompre, au moins temporairement, avec sa solitude.

    La subtilité de la mise en scène, qui mise davantage sur l'évocation et le non dit, peut toutefois entrainer quelques problèmes de rythme et un sentiment de longueur mais le film est suffisamment intelligent pour parvenir à maintenir l'intérêt du spectateur par des trouvailles scénaristiques ou de mise en scène, toujours au service du sens.

    Ma page ciné insta : fenetre_sur_salle
    Jean-Marc P.
    Jean-Marc P.

    33 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juin 2023
    On reconnait à ce bijou de précision la différence entre le cinéma et le popcorn à plateforme tv. De la subtilité et des fêlures naissent les drames, chaque détail renvoie aux souvenirs et à la solitude. Nul besoin de trop en dire pour cet immense cinéaste qu'est Fukada
    Benoit (BENZINEMAG / HOP BLOG)
    Benoit (BENZINEMAG / HOP BLOG)

    18 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 décembre 2023
    Je n’avais pas vu le précédent film de Koji Fukada, le dytique Suis-moi je te fuis/Fuis-moi je te suis, mais c’est un réalisateur que je trouve passionnant depuis que je l’ai découvert en 2017 avec Harmonium... tout en haut de mon top films cette année là.

    Ici, il est encore question de rapports familiaux, de non-dits, de secrets du passé qui refont surface. Comme chez Kore-Eda et d’autres cinéastes japonais, il se dégage immédiatement beaucoup d’humanité dans ce long-métrage, mais aussi beaucoup de pudeur et de retenue de la part des personnages, tous filmés avec finesse par Fukada.

    Des hommes et des femmes qu’il met en scène dans un univers très contemporain, avec cette capacité à mettre de la beauté et de la douceur là où l'on n'en trouvera pas forcément de prime abord, comme avec cet ensemble d’immeubles ou vit le couple. C’est là tout l’art de la mise en scène, à la fois discrète et subtile, d’un réalisateur qui a choisi comme thème central de son film, la difficulté à communiquer. Un beau mélodrame à la fois simple et touchant.
    https://www.hop-blog.fr/love-life-film-de-koji-fukada/
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    365 abonnés 1 814 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juin 2023
    Lire la critique complète ici : https://doisjelevoir.com/2023/06/06/love-life-regagner-sa-confiance-en-la-vie-et-lamour/

    Love Life transporte les spectateurs dans une histoire bouleversante dès le début, avec une intensité émotionnelle atteignant son apogée rapidement. Cet événement familiale nous attriste profondément, et les passages ultérieurs ajoutent une couche supplémentaire d'émotion en évoquant son parcours difficile. Le film aborde le parcours émotionnel d'une femme confrontée au deuil, dépeignant de manière poignante les traumatismes qui en découlent. La réaction du couple face à cette épreuve met en question leur relation et explore une gestion du deuil différente de l'occident, avec une dimension culturelle importante. L'axe narratif impliquant l'ex-mari divise, mettant en évidence la fragilité du couple central, mais poussé à l'extrême en si peu de temps. Les thématiques de l'abandon et de l'avancement par rapport au passé suscitent des réflexions intéressantes, bien que brièvement évoquées. Malgré quelques parties qui semblent manquer de direction claire, le film atterrit avec brio pour offrir un final magnifique. Fumino Kimura livre une interprétation captivante et touchante, transmettant la douleur de son personnage avec retenue. Kento Nagayama brille également, offrant une interprétation remarquable et un monologue intense avec l'ex-mari. Love Life est un voyage émotionnel intense, complexe et marqué par des performances exceptionnelles.
    Laurette S
    Laurette S

    23 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2023
    Étrange film, probablement parce que les japonais, malgré leur proximité technologique avec l'Occident, reste un peuple surprenant pour nous. Partagés entre modernité et traditions, ils dégagent une impression de raideur, d'immaturite affective. Sinon, le film est beau, la photographie superbe, de grands cadrages minutieusement préparés comme des tableaux de Hopper. Sur le fond, c'est peut-être une réflexion sur l'absurdité du destin et l'acceptation du quotidien comme seul remède.
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