Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Positif
par Denitza Bantcheva
Kôji Fukada s’impose avec Love Life en cinéaste de premier plan, capable de réinventer le mélodrame en le débarrassant des effets faciles pour lui insuffler une subtilité qui ne nuit en rien à l’impact émotionnel. On en redemande.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
La beauté du cinéma de Kôji Fukada atteint avec "Love Life" une puissance jusque-là inégalée.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Love Life ou la justesse d'un grand cinéaste qui sait dire beaucoup avec très peu.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Love Life n’est jamais plus émouvant que lorsqu’il fait du silence la façon la plus éloquente d’exprimer les sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Kôji Fukada confirme avec ce dernier long-métrage très réussi la richesse et la singularité de sa palette cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Ce film déconcertant et subtil confirme le talent d’un cinéaste discret qui incarne, aux côtés de Ryusuke Hamaguchi, le renouveau du cinéma japonais.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le réalisateur Kôji Fukada ausculte un noyau familial typiquement japonais et retourne son auditoire avec un changement de cap assez sidérant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un film qui vise juste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Écrite, filmée et interprétée avec une sobriété et une distance très japonaises et exemplaires, cette œuvre non dénuée d’espoir et de luminosité parvient, malgré quelques facilités de scénario, à nous tirer des larmes à plusieurs reprises.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Love Life décrit comment la peine renvoie chacun à sa solitude. Il est aussi d'une réelle beauté, tant Fukada sublime les décors ordinaires de sa lumière cristalline.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Aussi drôle que tragique, le nouveau film de Kôji Fukada explore avec finesse (et parfois trop) les failles d’un couple.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le Japonais passe avec une forme de cruauté de la tragédie à la comédie sans aucune transition, décrivant une humanité perdue, folle, qui fait n’importe quoi, n’importe comment. La fin, magnifique, est sans doute amère… ou pleine d’espoir. À chacun d’en décider.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thierry Cheze
Kôji Fukada a beau tourner beaucoup, la mécanique de ses scénarios reste impressionnante.
Paris Match
par Yannick Vely
Koji Fukada parvient cette fois-ci à trouver le juste équilibre entre le drame et l’observation psychologique en dressant le portrait d'un formidable personnage féminin, celui de Taeko.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Julien Rousset
La caméra pudique de Kôji Fukada observe chacun des personnages à bonne distance, ni trop près, ni trop loin. Il nous invite dans l’intimité de Taeko et des siens sans jamais nous donner l’impression d’être intrusifs.
Télé Loisirs
par Margot Loisel
D'une immense justesse, "Love Life" bouleverse de bout en bout.
Télérama
par Mathilde Blottière
À la fois mélo et thriller – le cinéaste parvient à maintenir le malaise –, Love life surprend jusqu’au bout.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Juste, délicat et émouvant.
L'Obs
par X. L.
La mise en scène acerbe, affirmée autant que discrète, ne force jamais sur les rouages dramatiques. Une dénonciation de l’inégalité hommes-femmes et du poids liberticide de la morale nipponne.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Kôji Fukada décrit avec une acuité remarquable la psychologie des personnages meurtris, leur courage et leur résilience.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Ma. Mt.
L’observation distante confère d’emblée au drame une certaine élégance formelle, mais il arrive au cinéaste d’avoir la main lourde dès qu’il s’agit de porter des coups de griffe à sa tapisserie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Impossible de rentrer dans les détails des rebondissements d’un récit qui vous place en inconfort permanent sous peine d’abîmer cette mécanique d’ultra-précision. Mais sa capacité à bouleverser aussi puissamment qu’à glacer le sang force l’admiration.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Fukada est maître dans l'art de décrire les fêlures au sein la cellule familiale japonaise. Ce conte tragique en est une autre preuve.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Zoé Lhuillier
L’insularité japonaise est peut-être [...] ce qui représente le mieux l’amour selon Fukada : chaque amant aime solitairement. [...] Un monde tremble, pas l’autre. Le retour à une compréhension sensorielle de l’autre, par l’écoute, mais aussi par la vue, et à une empathie développée par l’expérience de la souffrance deviennent alors le seul abri possible.
Libération
par Camille Nevers
Chronique cloisonnée de la vie d’une famille japonaise, le film propose de jolies idées sans réussir à sortir de l’atonie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
Kôji Fukada s’impose avec Love Life en cinéaste de premier plan, capable de réinventer le mélodrame en le débarrassant des effets faciles pour lui insuffler une subtilité qui ne nuit en rien à l’impact émotionnel. On en redemande.
Transfuge
La beauté du cinéma de Kôji Fukada atteint avec "Love Life" une puissance jusque-là inégalée.
CinemaTeaser
Love Life ou la justesse d'un grand cinéaste qui sait dire beaucoup avec très peu.
Critikat.com
Love Life n’est jamais plus émouvant que lorsqu’il fait du silence la façon la plus éloquente d’exprimer les sentiments.
Franceinfo Culture
Kôji Fukada confirme avec ce dernier long-métrage très réussi la richesse et la singularité de sa palette cinématographique.
La Croix
Ce film déconcertant et subtil confirme le talent d’un cinéaste discret qui incarne, aux côtés de Ryusuke Hamaguchi, le renouveau du cinéma japonais.
La Voix du Nord
Le réalisateur Kôji Fukada ausculte un noyau familial typiquement japonais et retourne son auditoire avec un changement de cap assez sidérant.
Le Figaro
Un film qui vise juste.
Le Parisien
Écrite, filmée et interprétée avec une sobriété et une distance très japonaises et exemplaires, cette œuvre non dénuée d’espoir et de luminosité parvient, malgré quelques facilités de scénario, à nous tirer des larmes à plusieurs reprises.
Les Echos
Love Life décrit comment la peine renvoie chacun à sa solitude. Il est aussi d'une réelle beauté, tant Fukada sublime les décors ordinaires de sa lumière cristalline.
Les Fiches du Cinéma
Aussi drôle que tragique, le nouveau film de Kôji Fukada explore avec finesse (et parfois trop) les failles d’un couple.
Les Inrockuptibles
Le Japonais passe avec une forme de cruauté de la tragédie à la comédie sans aucune transition, décrivant une humanité perdue, folle, qui fait n’importe quoi, n’importe comment. La fin, magnifique, est sans doute amère… ou pleine d’espoir. À chacun d’en décider.
Ouest France
Kôji Fukada a beau tourner beaucoup, la mécanique de ses scénarios reste impressionnante.
Paris Match
Koji Fukada parvient cette fois-ci à trouver le juste équilibre entre le drame et l’observation psychologique en dressant le portrait d'un formidable personnage féminin, celui de Taeko.
Sud Ouest
La caméra pudique de Kôji Fukada observe chacun des personnages à bonne distance, ni trop près, ni trop loin. Il nous invite dans l’intimité de Taeko et des siens sans jamais nous donner l’impression d’être intrusifs.
Télé Loisirs
D'une immense justesse, "Love Life" bouleverse de bout en bout.
Télérama
À la fois mélo et thriller – le cinéaste parvient à maintenir le malaise –, Love life surprend jusqu’au bout.
Voici
Juste, délicat et émouvant.
L'Obs
La mise en scène acerbe, affirmée autant que discrète, ne force jamais sur les rouages dramatiques. Une dénonciation de l’inégalité hommes-femmes et du poids liberticide de la morale nipponne.
Le Journal du Dimanche
Kôji Fukada décrit avec une acuité remarquable la psychologie des personnages meurtris, leur courage et leur résilience.
Le Monde
L’observation distante confère d’emblée au drame une certaine élégance formelle, mais il arrive au cinéaste d’avoir la main lourde dès qu’il s’agit de porter des coups de griffe à sa tapisserie.
Première
Impossible de rentrer dans les détails des rebondissements d’un récit qui vous place en inconfort permanent sous peine d’abîmer cette mécanique d’ultra-précision. Mais sa capacité à bouleverser aussi puissamment qu’à glacer le sang force l’admiration.
aVoir-aLire.com
Fukada est maître dans l'art de décrire les fêlures au sein la cellule familiale japonaise. Ce conte tragique en est une autre preuve.
Cahiers du Cinéma
L’insularité japonaise est peut-être [...] ce qui représente le mieux l’amour selon Fukada : chaque amant aime solitairement. [...] Un monde tremble, pas l’autre. Le retour à une compréhension sensorielle de l’autre, par l’écoute, mais aussi par la vue, et à une empathie développée par l’expérience de la souffrance deviennent alors le seul abri possible.
Libération
Chronique cloisonnée de la vie d’une famille japonaise, le film propose de jolies idées sans réussir à sortir de l’atonie.