Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Venu du documentaire, Mihai Mincan prend position, avec ce premier long métrage de fiction, contre une violence qu’il refuse de reconnaître comme légitime, à la faveur d’un semblant de songe au milieu d’une obscurité dévorante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
De la tyrannie installée par le capitaine taïwanais, belle figure d’ignominie, à la colère divine qui pointe à l’horizon, c’est un enfer sans limite que quadrille « To the North ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ce premier long métrage en forme de huis clos maritime surprend à plus d’un titre. D’abord par son rythme flottant, ce qui ne l’empêche pas d’embarquer à son bord le spectateur pris dans ses oppressants filets avec son atmosphère (beau travail sur le son) et son réalisme. Par l’intelligence de son scénario ensuite [...].
Mais To the North garde le cap, jouant le drame humain autant que le survival dans une sorte de fable universelle (on pourrait transposer l’histoire ailleurs, le film fonctionnerait certainement aussi bien) sur le pouvoir et la justice.
La critique complète est disponible sur le site Première
Si le film parvient parfois à tirer profit de son décor singulier, le pont du cargo encombré de gigantesques caisses en acier formant un labyrinthe que l’on croirait sans issue, il sombre vite dans une sorte de questionnement métaphysique pompier.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
S’inspirant de cette histoire vraie, survenue en 1996, le réalisateur appuie les effets dramatiques et donne finalement le mauvais rôle au clandestin survivant. Déplaisant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Venu du documentaire, Mihai Mincan prend position, avec ce premier long métrage de fiction, contre une violence qu’il refuse de reconnaître comme légitime, à la faveur d’un semblant de songe au milieu d’une obscurité dévorante.
Abus de Ciné
Efficace et tendue, la mise en scène installe ainsi un double suspense [...] et la violence supposée du capitaine.
L'Obs
De la tyrannie installée par le capitaine taïwanais, belle figure d’ignominie, à la colère divine qui pointe à l’horizon, c’est un enfer sans limite que quadrille « To the North ».
Le Journal du Dimanche
Ce premier long métrage en forme de huis clos maritime surprend à plus d’un titre. D’abord par son rythme flottant, ce qui ne l’empêche pas d’embarquer à son bord le spectateur pris dans ses oppressants filets avec son atmosphère (beau travail sur le son) et son réalisme. Par l’intelligence de son scénario ensuite [...].
Les Fiches du Cinéma
Drame social et thriller tendu, ce premier film, bien qu’inégal, met en scène avec pertinence un dilemme moral malheureusement des plus actuels.
Première
Mais To the North garde le cap, jouant le drame humain autant que le survival dans une sorte de fable universelle (on pourrait transposer l’histoire ailleurs, le film fonctionnerait certainement aussi bien) sur le pouvoir et la justice.
aVoir-aLire.com
Ce premier long métrage décrit avec acuité le drame des migrants dans une approche audacieuse qui refuse le pathos et les concessions.
Le Monde
Si le film parvient parfois à tirer profit de son décor singulier, le pont du cargo encombré de gigantesques caisses en acier formant un labyrinthe que l’on croirait sans issue, il sombre vite dans une sorte de questionnement métaphysique pompier.
Télérama
S’inspirant de cette histoire vraie, survenue en 1996, le réalisateur appuie les effets dramatiques et donne finalement le mauvais rôle au clandestin survivant. Déplaisant.