Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce premier film de fantôme bien ficelé livre un message féministe dans l’air du temps.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un premier long-métrage d’une grande efficacité dont surgissent de vrais choix de mise en scène, pertinents et percutants.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Ecran Fantastique
par Arnold Petit
Des motifs et thématiques ouvertement gothiques dans cette oeuvre intimiste, pertinente et profondément féministe, servie par une photographie aussi riche que sinistre et une bande-son tour à tour atonale et synthétique, rehaussant avec sensibilité tout le malaise inhérent à son propos et ses personnages à fleur de peau.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Corinna Faith sait distiller une horreur minimaliste comme on prépare le thé. Elle permet également de découvrir une distribution très intéressante, soulignant l'émergence d'une nouvelle génération d'acteurs britanniques talentueux. By Jove! What a shock!
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Film traitant de la condition des femmes, réalisé par une femme, avec presque uniquement des personnages féminins, « The Power » critique aussi vertement la religion ou le capitalisme sauvage.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Tout le trajet de The Power tend alors vers cette chose de cinéma, de cinéphile et de voyeur : discerner les signes dans la pénombre, accueillir les ombres comme des amies, voir et croire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Dans un huis clos nocturne, Corinna Faith met en scène un «rape-revenge» d’un nouveau genre. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Cédric Delelée
Le film ne verse jamais dans l'abstrait ou l'auteurisant, parvenant à garder un équilibre certes un peu instable mais globalement maîtrisé entre discours féministe, drame humain et épouvante old school avec atmosphère poisseuse et scènes de possession à la clef.
Ecran Large
par La rédaction
Malgré ses défauts, The Power vaut cependant le coup d'oeil, d'autant plus qu'il s'insère dans un mouvement de réappropriation du cinéma fantastique toujours aussi fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par François Forestier
Premier film de Corinna Faith, carrément terrifiant : la réalisatrice utilise les ombres et les décors avec un incontestable talent, mais c’est l’actrice Rose Williams (Caterina Sforza dans la série « les Médicis ») qui visse l’ensemble. Sans elle, le film serait un puzzle disjoint. Avec elle, c’est un électrochoc.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpeche
La réalisatrice britannique Corinna Faith construit ce film d’épouvante sur la peur du noir, basique et imparable, en soignant sa photographie et sa bande-son.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Visuellement soigné et solidement interprété, ce thriller fantastique séduit par sa noirceur, avant de s’embourber dans sa symbolique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Sylvestre Picard
Avec son look rétro mais pas nostalgique, son propos féministe bien actuel et son héroïne fragile et complexe, The Power s’envisage très bien comme une version horrifique d’un épisode de Call the Midwife.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Corinna Faith rend hélas le film d’épouvante beaucoup trop abstrait. L’hôpital n’y est qu’un univers clos, très peu incarné, caractérisé par la reproduction systématique du même : les panoramiques circulaires déploient à l’envi le même couloir, les plongées dans les escaliers s’escriment à renforcer les effets d’emboîtement. Faith noie le lieu dans une lumière glauque qui absorbe formes et contours.
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Plus le film progresse, dévoile ses contours surnaturels, plus les coutures du bric à brac convenu de l’épouvante grand-guignol apparaissent en plein jour [...] Protagonistes et antagonistes dessinés à gros traits et symboles sursignifiants verrouillent un thriller horrifique à l’écriture manichéenne, à contrario par exemple du très stimulant "The Nightingale" de Jennifer Kent.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Jean-François Rauger
Tout est, dans The Power, ramené à des catégories trop déchiffrables.
Télérama
par Jacques Morice
Le film manque surtout de réalisme et a fâcheusement tendance à se noyer dans une abstraction qui empêche le frisson comme l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Ce premier film de fantôme bien ficelé livre un message féministe dans l’air du temps.
CinemaTeaser
Un premier long-métrage d’une grande efficacité dont surgissent de vrais choix de mise en scène, pertinents et percutants.
L'Ecran Fantastique
Des motifs et thématiques ouvertement gothiques dans cette oeuvre intimiste, pertinente et profondément féministe, servie par une photographie aussi riche que sinistre et une bande-son tour à tour atonale et synthétique, rehaussant avec sensibilité tout le malaise inhérent à son propos et ses personnages à fleur de peau.
Le Figaro
Corinna Faith sait distiller une horreur minimaliste comme on prépare le thé. Elle permet également de découvrir une distribution très intéressante, soulignant l'émergence d'une nouvelle génération d'acteurs britanniques talentueux. By Jove! What a shock!
Le Parisien
Film traitant de la condition des femmes, réalisé par une femme, avec presque uniquement des personnages féminins, « The Power » critique aussi vertement la religion ou le capitalisme sauvage.
Les Inrockuptibles
Tout le trajet de The Power tend alors vers cette chose de cinéma, de cinéphile et de voyeur : discerner les signes dans la pénombre, accueillir les ombres comme des amies, voir et croire.
Libération
Dans un huis clos nocturne, Corinna Faith met en scène un «rape-revenge» d’un nouveau genre. Une réussite.
Mad Movies
Le film ne verse jamais dans l'abstrait ou l'auteurisant, parvenant à garder un équilibre certes un peu instable mais globalement maîtrisé entre discours féministe, drame humain et épouvante old school avec atmosphère poisseuse et scènes de possession à la clef.
Ecran Large
Malgré ses défauts, The Power vaut cependant le coup d'oeil, d'autant plus qu'il s'insère dans un mouvement de réappropriation du cinéma fantastique toujours aussi fascinant.
L'Obs
Premier film de Corinna Faith, carrément terrifiant : la réalisatrice utilise les ombres et les décors avec un incontestable talent, mais c’est l’actrice Rose Williams (Caterina Sforza dans la série « les Médicis ») qui visse l’ensemble. Sans elle, le film serait un puzzle disjoint. Avec elle, c’est un électrochoc.
Le Journal du Dimanche
La réalisatrice britannique Corinna Faith construit ce film d’épouvante sur la peur du noir, basique et imparable, en soignant sa photographie et sa bande-son.
Les Fiches du Cinéma
Visuellement soigné et solidement interprété, ce thriller fantastique séduit par sa noirceur, avant de s’embourber dans sa symbolique.
Première
Avec son look rétro mais pas nostalgique, son propos féministe bien actuel et son héroïne fragile et complexe, The Power s’envisage très bien comme une version horrifique d’un épisode de Call the Midwife.
Cahiers du Cinéma
Corinna Faith rend hélas le film d’épouvante beaucoup trop abstrait. L’hôpital n’y est qu’un univers clos, très peu incarné, caractérisé par la reproduction systématique du même : les panoramiques circulaires déploient à l’envi le même couloir, les plongées dans les escaliers s’escriment à renforcer les effets d’emboîtement. Faith noie le lieu dans une lumière glauque qui absorbe formes et contours.
Culturopoing.com
Plus le film progresse, dévoile ses contours surnaturels, plus les coutures du bric à brac convenu de l’épouvante grand-guignol apparaissent en plein jour [...] Protagonistes et antagonistes dessinés à gros traits et symboles sursignifiants verrouillent un thriller horrifique à l’écriture manichéenne, à contrario par exemple du très stimulant "The Nightingale" de Jennifer Kent.
Le Monde
Tout est, dans The Power, ramené à des catégories trop déchiffrables.
Télérama
Le film manque surtout de réalisme et a fâcheusement tendance à se noyer dans une abstraction qui empêche le frisson comme l’émotion.