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Rony Bass
10 abonnés
355 critiques
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1,5
Publiée le 3 avril 2023
Une sorte de chasse à l'homme transformée en comédie sanglante qu'il faut prendre vraiment au 1er degré. Le plus gros défaut réside dans l'animation de l'ours qui, il faut l'admettre, ne m'a pas convaincu ni effrayé tant soit peu. Le montage n'est pas terrible et le jeu d'acteur médiocre. Seule la bande son s'en sort bien. Elizabeth Banks nous avait habitué à mieux.
Ne pas aller voir, vraiment ennuyant, le scénario est pas ouf et même plutôt brouillon. heureusement que les sièges du cinéma son confortable et que je n’ai pas payer ma place.
Je me suis régalée : grosse marrade pendant toute le film. Il ne faut pas s’attendre à un scénario qui tient la route bien-sûr, il s’agit d’un film complètement barré à prendre au second degré. Moi j’adore !
Inspiré d un fait réel ? Oui enfin très adapté pour en faire un film qu il faut prendre au second degré. Un délire même dans lequel on se demande pourquoi Ray Liota s y est egare ... un scénario très mince juste le prétexte à une comédie plutôt sympathique tant qu on l a prend pas au sérieux. Néanmoins c est loin d être un chef d œuvre qui passera à la postérité...
Résumé à la con : Un rencard entre Pierre Palmade et un ours mal léché vire au cauchemar.
L’avis pas cool : Le seul exploit d’Elizabeth Banks ? Réaliser un film au rythme effréné mais arriver à faire en sorte que l’on s’emmerde quand même. On passe de l’état émotionnel « cool, on part sur un vrai bon nanar » pour basculer rapidement dans le « elle est où déjà la touche avance rapide sur la télécommande »? Techniquement le film est fracassé. Si on additionne tous les plans de caméra on peut largement faire deux fois le tour de la terre. Aucune continuité dans l’action: on balance juste une bouillie des champs contre champs à vous en donner des haut-le-coeur.
L’avis encore moins cool : Alors qu’au départ la matière semblait passable, force est de constater que le gros point noir du film réside avant tout dans son montage, visiblement exécuté par des Tik Tokeurs adeptes du speed watching, pas par des professionnels du cinéma. Tout est expédié, aucune intensité ne s’installe jamais. En résumé, c’est laborieux, même pas un poil jouissif. Nous, on passe notre tour et on vous conseille plutôt de vous en tenir à la bande-annonce, elle est bien mieux que le film.
Si tu veux voir des nanars qui eux sont jouissifs : - PIRANHA 3D, 2010 - Alexandre Aja - BULLET TRAIN, 2022 - David Leitch
Un ours défoncé à la Cocaïne, qui voit sous l'effet de la drogue ses capacités physiques et son instinct de prédateur décuplés. Le scénario est complètement débile et le film l'est tout autant. Mais je ne vous le cache pas, c'est ce que j'attendais du film et je l'ai eu.
Crazy Bear ne vend rien d'autre qu'un ours complément défoncé qui tue des gens tous plus idiots les uns que les autres. De ce joyeux bordel Elizabeth Banks parvient à faire un mix plutôt adroit entre film comique et film d'horreur. Car si Crazy Bear ne fait absolument pas peur (ce n'est pas son rôle d'ailleurs), au milieu des dialogues débiles il y a quand même quelques scènes bien gores. Dans ce joyeux massacre les acteurs s'en donnent à coeur joie, l'ours est mis en vedette (un vrai personnage à part entière, pas juste un artifice) et bien que les protgonistes soient nombreux, tous bénéficient de leur moment et apportent leur pierre à l'édifice. Le tout servi par un cadre magnifique et une bande originale costaud. Alors j'insiste mais Crazy Bear est débile, les personnages caricatureux, c'est plutôt trash et outrancier. Et c'est là que le film touche sa grande limite et laisse voir son gros point faible, Elizabeth Banks ose mais ne va jamais au bout. Quitte à aller dans l'humour outrancier et outrageux autant y aller à fond. Banks aurait pu donner des pépites si elle avait développ certaines idées à fond, mais on sent une certaine retenue qui fait un peu tâche dans l'ambiance générale.
En définitive soyez prévenu, Crazy Bear vend ce qu'il promet, si c'est votre type de délire (films idiots, animaux tueurs, ...) alors vous allez passer, comme moi, un bon moment (sans que ce soit inoubliable, n'exagérons rien). Si vous n'entrez pas dans ce délire, alors passer vore chemin car Crazy Bear ne vous plaiera pas du tout. Conçue et s'assumant comme une véritable série Z, Crazy Bear ne brille ni par son scénario minimaliste et sans enjeux, ni part sa réalisation. Crazy Bear c'est juste un plaisir régressif, complètement con, mais finalement assez amusant, l'ours et ses victimes ont le mérite de l'originalité dans un cinéma américain de plus en plus standardisé.
Complètement délire et improbable qui se base sur un bout de fait réel. Franchement, il fallait y penser et oser faire un film comme celui-là. Bien entendu ce n'est pas un grand film mais on passe un agréable moment et c'est bien l'essentiel.
Film trés sympa, pas prise de tête. Plaisir de voir des acteurs et actrices que j'apprécie. De trés beaux paysages d'un parc National, ce qui ne gâche rien.
Ce film n'a aucun sens. Très déçu, je m'attendais a un film basique mais légèrement comique mais l'histoire de chaque acteurs est tellement nul qu'on se détache du film et on a juste envie de ne pas perdre plus de temps
En 1985, une cargaison de drogue avait été balancée dans une forêt du Tennessee et avait été mangée par un ours qui fit une overdose. L’histoire aurait pu s’arrêter là mais, presque quarante ans plus tard, Elizabeth Banks décide d’adapter cette histoire en faisant survivre l’ours et en le rendant accro à la cocaïne et complètement fou. Consciente du peu de crédibilité de son récit, elle décide de livrer un film visant volontairement vers le nanar. Elle met donc en scène des personnages totalement clichés et dont les scènes d’exposition se révèlent peu intéressantes. Heureusement, la réalisatrice choisit après une introduction un peu longue de partir dans un délire total dont le but principal est de mettre en scène les attaques violentes de son ours toxicomane. La cinéaste choisit donc une optique gore et loufoque très amusante à suivre. Outre le fait d’apercevoir le regretté Ray Liotta, on retrouve le plaisir que l’on pouvait avoir devant une série B décomplexée des années 80 et il ne faut pas chercher plus loin. Crazy Bear réussit donc à être un plaisir jouissif qui ne cherche pas à aller plus loin que cela.
Crazy Bear (Cocaïne Vear en VO) a beau être tiré d’une histoire vraie qui s’est déroulée en 1985 aux États-Unis, et qui a vu un ours bouffer de la cocaïne larguée depuis un avion par un trafiquant, il n’en est pas pour autant crédible. Puisque, contrairement à la réalité, notre ours défoncé à la coke n’est pas mort, mais est devenu une bête féroce, massacrant tout sur son passage, avec l’habilité et la méchanceté d’un Freddy à poil dur.
Le film démarre de manière plutôt sympathique, installant le spectateur dans une comédie d’horreur, assez déjantée et délirante.
Malheureusement, plus on avance et moins le film se révèle surprenant. Pire, il devient répétitif, artificiel et même carrément ennuyeux arrivé à la moitié. Heureusement qu’il ne dure que 1h30 !
On s’attendait donc à mieux pour ce film d’horreur un brin parodique, filmé dans les beaux espaces naturels de Géorgie (en réalité il a été tournée en Irlande), qui ne se révélera jamais vraiment drôle, jamais vraiment effrayant et encore moins jubilatoire.
il faut vraiment prendre le film au second, voir troisième degré. cela oscille entre l'horreur et l'humour en permanence. Mais bon, dans un état second, ça se visionne haha