A vouloir traiter un fait réel en n'en retenant que les quelques mots des titres des médias et partir dans un délire ubuesque, on obtient, pour moi, un nanar. Dur de faire de la comédie, encore plus dur de l'humour noire. Navet +1 !!! Pour info, le vrai ours, surnommé par la presse "Pablo Escobear" pesait 80 kg, il est retrouvé mort 3 mois plus tard près de quelques sacs de poudre et n'a tué personne. Il est désormais empaillé ...
C'est juste un film cencé être "drole" mais tout ce que les réalisateur savent faire c'est foutre du sang et du gore partout parceque "PTDR C'EST TROP DRÔLE DE VOIR DU GORE A CHAQUE SCENE" c'est un film avec des vanne pourrit et du gore partout parceque ils savent pas faire autre choses pour être "drôle". C'est vraiment a gâchis de voir Christian Convery dans ce film.
Bon pas de surprise hein. Le film est une comédie noire totalement assumée. On aime ou on aime pas après. Et pour ma part, je n'ai pas aimé. Je m'attendais à plus de situations comiques mais rien de très marrant. Bref, 1/5 suffit.
Bon, ne nous voilons pas la face, on vient voir du gore dans une série B sans prise de tête.. Et je dois dire qu'en la matière on est servi, on ne fait vraiment pas dans la dentelle. De plus on nous présente une galerie de personnages tous plus déjantés les un que les autres. Tout fonctionne fort bien pendant les trois quarts du film avant que cela ne s'égare au profit d'une tonalité familio-gnangnan qui n'était vraiment pas nécessaire. L'interprétation est correcte même si Ray Liotta déçoit (c'est rare), mais j'ai bien aimé la classe de Keri Russell.
Franchement jai bien rigolé ! En revabche jai vite zappé la VF pour repasser en VO. Le scénario n'est pas dingue du tout mais on passe un bon moment dans une ptite ambiance fin des années 80. Film Popcorn réussi 👍
Le postulat de départ (un ours défoncé à la cocaïne, littéralement tombée du ciel suite au crash d'un avion de trafiquants, sème la panique dans un parc national de Géorgie), tiré d'une histoire vraie, est plutôt intéressant. Il est juste dommage que la violence soit vraiment trop exagérée car elle rend le film (et tout ce qui aurait pu vraiment se passer dans la réalité si l'animal n'était pas décédé d'une overdose...) très peu crédible. Celà dit, c'est certainement l'effet recherché par la réalisatrice compte tenu de l'alternance de moments sérieux et d'autres complètement déjantés. Une lecture à 2 degrés donc, qui influencera forcément les critiques dans un sens ou dans un autre.
Elizabeth Banks propose un film comique et horrifique par la reprise d'un fait divers américain authentique. Cette production cinématographique relate l'histoire d'un ours qui, sous l'emprise de cocaïne, va causer des réels dommages notamment des attaques mortels. Rien qu'à l'absurdité de l'anecdote, on se doute qu'il ne faut pas prendre ce film au pied de la lettre mais plutôt l'interpréter comme une comédie d'horreur réussie, mêlant grotesque et tragique à la perfection. Avec "Crazy Bear", passez un moment loufoque mais agréable dans votre canapé.
Ce film est inspiré d’une histoire vraie, à ce qu’il paraît…sauf que dans la réalité, l’ours qui avait réellement ingurgité des sachets de coke s’est fait une méga-overdose vite fait : on comprendra qu’il est nettement plus fun de s’imaginer un plantigrade complètement foncedé semer la terreur dans les alentours. Ne vous attendez pas un remake qui ne dirait pas son nom de ‘Grizzly le monstre de la forêt’ : malgré la dégaine numérique assez moche de la bestiole et le fait que ‘Crazy bear’ ne lésine pas sur les membres arrachés et les jets de faux-sang, Elizabeth Banks aborde plutôt les choses sous l’angle potache, la population de ce coin paumé d’Amérique se composant de gens simples avec des problèmes et des réactions simples dans le meilleur de cas, de blaireaux de compétition dans le pire. Il y a un petit côté ‘Snatch’ dans les tribulations croisées de tous ces abrutis, qui poursuivent chacun leurs propres objectifs et tombent alternativement les uns sur les autres et sur la bête en pleine descente. ‘Crazy bear’ bénéficie d’une structure assez efficace mais, en dehors du côté toujours aussi désagréablement artificiel des CGI, il aurait sans doute gagné à être encore plus con, plus cintré, plus gratuitement violent, et surtout à ne pas se conclure en “Tout est bien qui finit bien” : c’était un scénario rêvé pour une production Troma…et je crois d’ailleurs que, pour son propre bien, ‘Crazy bear’ aurait du être une production Troma.