Avis : Interceptor - Page 3

Ce film, à petit budget, est une belle surprise et se distingue comme étant un excellent film d'action digne de ceux des années 80/90.

Synopsis :
Transférée sur une base secrète où est entreposée toute une technologie nucléaire capable de contrer toute attaque nucléaire extérieure, un officier de l'armée américaine est chargée de la sécuriser et de la protéger.
Dès sa prise de fonction, elle doit empêcher des terroristes d'investir les lieux et d'envoyer des ogives nucléaires sur les États-Unis.

Elsa Pataky incarne un officier bien badass mais brisée par un traumatisme passé qui va la pousser à se surpasser et à aller jusqu'au bout de sa mission.
L'actrice mêle donc, habilement et avec subtilité, le côté émotionnel et le côté action.
Pour son 1er grand rôle en tête d'affiche, elle s'en sort avec les honneurs et on espère la voir dans une suite très prochainement... voire dans un film à plus gros budget.

Les séquences de combat bénéficient de belles chorégraphies.
Elles sont percutantes et efficaces.
Les gun-fights sont de bonnes factures.

Elsa Pataky assure la majorité de ses cascades, rendant son personnage fort crédible et nous procurant ainsi un immense plaisir.

Qu'est ce qu'on aimerait bien voir l'actrice incarner un futur rôle féminin aux côtés de son mari, Chris Hemsworth, dans un prochain film d'action car une chose est certaine, elle tire son épingle du jeu dans ce genre de film !

On se rend-compte rapidement qu'elle s'est minutieusement préparée pour incarner une femme officier brisée mais se servant de cette séquelle psychologique comme d'une force pour avancer et vaincre.

Même avec un petit budget, il est donc possible de réaliser un film distrayant, divertissant voire de bonne qualité.
Il suffit d'un réalisateur se sentant concerné, d'une trame narrative originale, d'un chef décorateur inspiré et d'acteurs totalement investis dans leurs rôles. NETFLIX y arrive très convenablement pour le moment.

Ma note :
Excellent
4/7.

Bon, on sait bien que devant ce genre de films, le fond va creuser très loin dans la stupidité, ce n’est pas ce que l’on vient chercher. L’indulgence aurait aussi pu être de mise devant le peu de moyens dont a bénéficié cette production, si seulement ce n’était pas aussi laid et mal fichu.

Pour bien appréhender ce film, il faut garder en tête la préoccupation première de Netflix. Promouvoir les idéologies LGBT et néo-féministe. Aux incroyants, il est utile de rappeler, trois choses : Un, Netflix offre une option de sélection de films et séries intitulée : "Fierté LGBT". Deux, la direction de Netflix ainsi que le syndicat, majoritaire au sein de ses employés, n'hésite pas à "canceller" les artistes qui ne voudraient pas se conformer aux dogmes LGBT, et néo-féministe. Ainsi les shows télévisés du comique Dave Chappelle ont-ils été, purement et simplement, déprogrammés du répertoire Netflix. Trois: Netflix, depuis sa création, a sciemment choisi, de proposer, et même, de produire, des films dont les rôles "forts" sont toujours tenus par des femmes, et les rôles dits "faibles", par des hommes. Et ceci, avec une perspective claire: celle de déconstruire, et détruire toute représentation positive de l'homme occidental. Ainsi, dans les films d'action, labellisés Netflix, les rôles traditionnellement tenus par des hommes, sont tenus par des femmes, et les rôles de faire valoir, habituellement tenus par des femmes, ne sont tenus que par des hommes. Quant aux rôles de vrais méchants, ils sont presque tous, tenus par des hommes. La liste de ces films est interminable : "Black Crab", "Shadow In the Cloud", "Underwater", "Kingdom: Ashin of the North", "Sans Un Bruit 2", pour ne citer que ceux dont la qualité méritait une critique sur le site Allo Ciné. Quant aux séries, la liste n'est pas plus courte. Un cil jeté à nos critiques sur "Snabba-Cash", "Atiye", "Anatomy Of A Scandal", "Clickbait", "The Silent Sea", "Le Parfum", "I'm Not Okay With This", illustrera notre propos . "Interceptor" s'inscrit dans cette optique de militantisme néo-féministe. Le "action hero" est une capitaine, incarnée par Elsa Pataky. L'actrice, à la demande des producteurs du film, s'est spectaculairement métamorphosée. Elle a remplacé sa superbe plastique de mannequin, pour ne plus laisser paraître qu'un physique de badass class, tout récemment bodybuildé, et une parfaite maîtrise de techniques de combat, nouvellement acquises. En outre, du point de vue psychologique, l'espagnole applique à la lettre les directives de son réalisateur Matthew Reilly. Le personnage qu'elle incarne devait être une femme de poigne, certes sexy, mais l'oeil vif et dur, le ton cassant et sûr de soi. Pataky, rempli ce rôle à merveille. Concernant son "assistant", incarné par Mayen Metha, il lui avait été demandé de transposer en version masculine, le rôle de la faire-valoir insignifiante, à la fois, fragile et faible, mais sincère et dévouée au final. L'acteur Néo-Zélandais fait parfaitement son taf. Le méchant, qui ne pouvait être qu'un homme, devait concentrer tous les défauts dénoncés par les néo-féministes; pervers, vaniteux, et phallocrate. Et Luke Bracey joue le parfait tête à claques. Le réalisateur Australien, introduit un autre "méchant", mais femme. Celle-ci, cependant n'est qu'une pure caricature, créée, pour donner le change, et indirectement renforcer la notion de nocivité masculine. En effet, cette autre badass féminine, n'agit mal que parce qu'elle est sous l'emprise, de son méchant mâle de boss. Pour enfoncer le clou idéologique, l'autorité suprême, le Président de la République, est une femme. Outre les multiples qualités que déploie cette dernière face à son gouvernement d'hommes, elle fait, en plus, confiance à sa capitaine. Avec des fondations aussi caricaturales, l'ensemble ne pouvait pas tenir très longtemps. Si l'illusion parvient à durer plus d'une demi-heure, c'est uniquement grâce au talent des acteurs et des dialogues qui sonnent très juste au début. Mais une fois l'agenda du Méchant dévoilé, tout s'effondre. Les motivations du Méchant deviennent incongrues, les répliques tombent dans la médiocrité la plus navrante, et les rebondissements de l'intrigue, ainsi que les scènes d'action deviennent de moins en moins vraisemblables. Voyant le succès de ces produits, Hulu, et Disney, ont emboité le pas à Netflix. "Y: The Last Man" est un exemple édifiant de cette propagande, à la fois LGBT, et néo-féministe.

Un film tout entier consacré à une super nana, une girl power de l'armée qui va sauver le monde. Oui, c'est très caricatural, du déjà vu 100 fois dans le concept et très américain patriotique. C'est aussi malheureusement très improbable avec une écriture qui facilite le scénario avec des raccourcis nous conduisant en plein dans l'invraisemblable. Le sujet n'est pourtant pas mauvais pour un blockbuster 100% adrénaline. Mais c'est la réalisation et le mise en scène qui manque de crédibilité. Et pourtant, j'ai été au bout du film. Bah, c'est que c'est distrayant avec de l'action à revendre. Le film marche assez bien en mode "je déconnecte mes neurones et je ne me pose pas de questions".

Rarement vu un film aussi mauvais.
Que ça soit le scénario ou le jeu d'acteur, il n'y a rien sauver.
Passez votre chemin.

dès les première scènes d'entré dans la base, un des haut gradé fait du sexisme et explique a la capitaine que malgré sont rang et malgré tout ses états de services le gars responssable de la base n'as pas pu....PFFT ?? ont ne sait pas quoi ?? mais il n'as pas pu par sexisme (elle ajoute "cela changera jamais c'est ça ?" ). les scènes de combats.....que dire...des feu d'artifices sortent des pistolet (sans exagérer), souvent ont a l'impression qu'elle tire des balles a blanc (le type en face n'as rien après deux balles dans le bide), et le reste du film ce sont deux soldats russes attaquant une porte blindé a coup de chalumeau pendant que les deux gentil enfermé dans le centre de contrôle passent leurs temps a se demander comment il von s'en sortir, une trappe dans le sol amène un gars qui fait du karaté parce que PFFT ?? scénario, l'histoire de sexisme qui est expliqué en profondeur (un général au mains baladeuse) et harcèlement morale, le type fini par entrer et continue a raconter l'histoire de sexisme FILM FEMINISTE.....alors après quand c'est bien fait pourquoi pas mais là c'est nanardesque...

Alors au début , ils avaient pensé à "Plus Kon que ça , tu meurs " et puis ils se sont dit que ça serait pas vendeur et ont opté pour appeler ça : INTERCEPTOR !C'est vrai que de suite ça en jette!!!
Un florilège de dauberie que je n'avais pas vu depuis longtemps!
La GI Jo...sette , femme forte harcelée (Merci Me too)par sa hiérarchie ....qui sauve l'Amérique
Le traitre libidineux , Le terroriste en chef dont la cause majeure est ....Le Fric !! La terroriste walkyrie quasi immortelle Et pour finir le tableau; La Présidente des US c****e comme une pelle et le sous marin russe qui monte et qui descend sur place ( vous comprendrez)
Rien ne nous est épargné dans ce nanard olympique !
Fuyez cette daube, pauvres fous !!!

Cette tirade contient des spoilers.

Chris Hemsworth (Notre Thor international) a pris la décision logique d'offrir, à sa conjointe d'origine Espagnole (Elsa Pataky )et de 10 ans son aînée, un film d'action à l'américaine. Quand le susnommé aurait pu se contenter d'offrir un bouquet de roses acheté au restaurant de la gare à Rahul Delhi, il préfère devenir producteur exécutif d'un film...d'auteur.

JJ Collins, capitaine américaine super méga forte, obtient une promotion mais le général qui la promeut veut seulement qu'elle lui fasse des trucs méga sales et pas consentis. Elle le dénonce et se fait traiter de pas gentille par l'ensemble de l'armée américaine.

Suite logique des choses elle est envoyée sur une plateforme en haute mer (son premier job) qui se trouve être une des deux bases anti arme nucléaire américaine.

Comble du HASARD !!!! 15 minutes après son arrivée un renégat américain fils de l'ambassadeur de l'ONU, menace de lâcher 16 missiles nucléaires détournés depuis la Russie par des mercenaires. Ils confirme avoir bien entendu anéanti la seconde base anti Missiles. Mais qui c'est donc qui va pouvoir stopper tout ce Schmillblick tabernacle ? Je me le demande bien dis donc dis donc !

La vaillante JJ va donc se lancer dans un die hard bon marché sur sa plateforme océanique pour déjouer tous les plans de son agresseur super méga vilain pas beau qui sens mauvais tout sale, et qui à tout méga tort.

- Punchlines ( "What did i Always told you JJ? NEVER STOP FIGHTING" Par son très cher Papa menacé de mort par les terroristes en visioconférence (#pandemie)).

Suspense irréel, comme les bombes nucléaires stoppées a 0,0386 secondes de la limite de la zone atmosphérique définie par le super méga pentagone. En appuyant sur un unique gros bouton rouge !

- #metoo je suis une femme trop forte et personne peux me dire comment je dois faire mes devoirs #i'm a single lady et nanani et nananère.

- Caméo de Chris Hemsworth en geek barbu vendeur d'électroménager. S'il vous plaît.

Bref, les mots me manque pour parler de ce monument, ne vous laissez pas intimider par sa note de 1,1/5 sur AlloCiné. C'est un grand film.

Je suis Elsa.

Netflix nous fait encore le coup de la pub ... en avançant une de ses productions. Alors évidemment on est en droit de s attendre à du lourd ? Et bien non ... encore déçu, la technique permet de mettre son film en auto-promotion. Je trouve cela très contreproductif et décevant. Un scénario timbre-poste, une Badass résiste à des terroristes qui veulent s'emparer d une base ... avec un risque nucléaire en vue ? Bon enfin, c est ridicule évidemment mais on peut essayer de s attendre à une réalisation convenable voire des scènes de combats un peu poussées ... bof ! En résumé film debile et réalisation bâclée rendent ce film à ranger au rang des navets auto-surévalué par Netflix. Les dialogues devraient achever tout velléitaire... affligeant, et petite précision les acteurs - absent des tout charisme - ne collent pas du tout aux personnages, cela rajoute au total manque de crédibilité du scénario... un désastre cinématographique

Je me suis dit que j'allais regarder un film d action dans lequel pas besoin de réfléchir...franchement nul sur tous les plans, carricatural, acteurs peu crédible, je me suis même endormi.

10 min du film et déjà arrêter, le doublage est à chier mais vraiment déjà que c'est mal joué mais en plus le doublage n'arrange rien, j' relancé en vost les effets spéciaux sont bien faits mais le scénario est nul ça reste regardable mais loin d'être un chef-d'oeuvre, enfin si vous avez 1h38 devants vous a gaspillé faite vos plaisirs ou pas ...

J’arrive pas à mettre 0 quel dommage
Y’a rien a dire … si ce n’est le néant même le doublage est naze
L’histoire est vu et revu …
Si vous voulez faire une sieste devant un film mettez le ! Aucun soucis pour s endormir

scénario au rat des pâquerettes et prévisible au possible.
bourré d'incohérence et le style de film à ranger dans la catégorie "on est les américains, on est les plus forts"

Tout simplement ridicule , comment peut ton financer ce genre de film . Les scènes sont pitoyables . Un mélange de Jill Valentine , de lara croft et la force de terminator . C'est la seul nana qui peut te mettre un mec de 120 kilos à terre d'une main et de battre le record de ninja Warrior .

Dorothée Pousséo au doublage du personnage principal.?! j'ai tenu 10 minutes...
Une fois passé en VO, outre des chorégraphies de combats plutôt sympas, de la violence graphique généreuse au travers de maquillages très propres, une caméra bien gérée, de bons effets sonores et une bonne musique, au-delà du scénario zéro pointé, entre le niveau de jeu général, l'horreur des décors, des CGI, des différents backgrounds, du caméo honteux de Chris Hemsworth alias le mari de l'actrice principal, ce film mérite clairement son titre de mauvais contenu.
Dommage, même avec un scénario aussi abracadabrantesque, avec un peu plus de moyens le film aurait pu tenir une toute autre qualité, d'autant que ce personnage tient bien son rôle d'armoire à glace.
Mais là, trop d'éléments au ras des pâquerettes pour que ça passe, même avec la meilleure indulgence au monde.