Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Fureur est cependant beaucoup plus réussi que La Mentale, ne serait-ce que par son côté Rocky du pauvre et sa façon de ne pas faire de ses personnages des héros secs et rigides (le casting est un modèle d'amateurisme fragile et enjoué), mais de simples vignettes aux allures de pantins tristes et finalement extrêmement sympathiques.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Alain Grasset
Reste que le couple Samuel Le Bihan - Yu Nan fonctionne bien.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Karim Dridi marque quelques points en filmant lui-même les combats de boxe. Cependant, s'il esquive, selon son expression, "la gestuelle kung-fu" en vogue, il trébuche sur le scénario.
Première
par Gérard Delorme
Plusieurs scènes fortes font d'autant plus regretter la belle tragédie urbaine que Fureur aurait dû être.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
La naïveté et le manque de légèreté de la réalisation, alliés à des acteurs trop souvent patauds ou cabotins, finissent de nous décevoir. Très prévisible, l'histoire d'amour mâtinée d'une quête identitaire au sein de familles très envahissantes, est parfois émaillée de moments caricaturaux. On rit alors au lieu d'être ému, on est déçu plutôt que d'être enchanté.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Dès les premières déclamations ampoulées de Samuel Le Bihan, les rictus menaçants du méchant soupirant, les coups de tonnerre quand la passion se déchaîne, on veut croire que Karim Dridi cherche à dépasser les règles du film d'action et du mélodrame par l'excès de kitsch. L'ennui est qu'il n'y arrivera jamais.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Marine Landrot
Ni sociologique (le Chinatown parisien est réduit à une cage d'ascenseur), ni mélodramatique (Samuel Le Bihan est neuneu comme le Christophe Lambert de la pire époque), ce film se contente de suivre son rythme de croisière binaire et fatigant : je cogne/je brame/je tape/je roucoule.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
Fureur est cependant beaucoup plus réussi que La Mentale, ne serait-ce que par son côté Rocky du pauvre et sa façon de ne pas faire de ses personnages des héros secs et rigides (le casting est un modèle d'amateurisme fragile et enjoué), mais de simples vignettes aux allures de pantins tristes et finalement extrêmement sympathiques.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Reste que le couple Samuel Le Bihan - Yu Nan fonctionne bien.
MCinéma.com
Karim Dridi marque quelques points en filmant lui-même les combats de boxe. Cependant, s'il esquive, selon son expression, "la gestuelle kung-fu" en vogue, il trébuche sur le scénario.
Première
Plusieurs scènes fortes font d'autant plus regretter la belle tragédie urbaine que Fureur aurait dû être.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
La naïveté et le manque de légèreté de la réalisation, alliés à des acteurs trop souvent patauds ou cabotins, finissent de nous décevoir. Très prévisible, l'histoire d'amour mâtinée d'une quête identitaire au sein de familles très envahissantes, est parfois émaillée de moments caricaturaux. On rit alors au lieu d'être ému, on est déçu plutôt que d'être enchanté.
Le Monde
Dès les premières déclamations ampoulées de Samuel Le Bihan, les rictus menaçants du méchant soupirant, les coups de tonnerre quand la passion se déchaîne, on veut croire que Karim Dridi cherche à dépasser les règles du film d'action et du mélodrame par l'excès de kitsch. L'ennui est qu'il n'y arrivera jamais.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Ni sociologique (le Chinatown parisien est réduit à une cage d'ascenseur), ni mélodramatique (Samuel Le Bihan est neuneu comme le Christophe Lambert de la pire époque), ce film se contente de suivre son rythme de croisière binaire et fatigant : je cogne/je brame/je tape/je roucoule.