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Quête identitaire, réflexion sur son statut d'artiste, élégie de son pays natal et lettre d'amour à sa famille, Iñárritu se livre avec Bardo. Un voyage spirituel riche, humble et vibrant dans les méandres de son cerveau endolori, empreint d'un surréalisme fellinien envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
POUR : Filmé dans les studios Churubusco, ce septième long métrage d’Iñárritu, qui ne cesse d’exprimer sa fatigue de tourner, pourrait être son dernier. Et s’impose, paradoxalement, comme une œuvre originelle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Pour le meilleur et pour le pire, Bardo, fausse chronique de quelques vérités constitue une œuvre somme, mêlant les différentes facettes du travail d’Iñárritu des plus irritantes aux plus étourdissantes. Insupportable et sublime, ce septième long-métrage ne réconciliera pas réfractaires et laudateurs, en revanche, il rappelle le caractère profondément inégal de la filmographie d’un artiste néanmoins majeur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le succès, la famille, son enfant mort-né, l’identité mexicaine et sa culpabilité d’exilé aux Etats-Unis y défilent dans un trip métaphysico-introspectif ambitieux et parfois fumeux, tour à tour fascinant et autosatisfait, troué de visions splendides.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Formellement brillant, Bardo finit cependant par perdre le spectateur dans un labyrinthe d’images et de métaphores qui pèchent par un excès de stylisation.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
L'objet est clairement conçu pour le grand écran. Sur le petit, il reste le squelette du scénario sans la puissance de la mise en scène et le film d'apparaitre bavard et surtout beaucoup trop signifiant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Bardo demeure une œuvre mal fagotée, longue, au rythme incertain, dont on voit mal comment la diffusion mondiale sur Netflix (une première pour un film tourné en 65 mm) pourrait la servir.
Sur Netflix, Iñárritu fait son 8 ½ : une farandole de visions surréalistes, parfois époustouflante, mais qui peine à dépasser l’ego-trip et atteindre l’universel.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le titre bouddhiste donne le mode d’emploi de son indigeste introspection : pour les tibétains, le bardo est l’intervalle entre la mort et la renaissance, entre la vie et le songe, entre l’être et le devenir. Le film voudrait appliquer l’idée à la lettre en s’offrant comme une longue coulée de psychanalyse de salon, de surréalisme à deux pesos et de symbolisme éculé.
CONTRE : Ce procédé gêne tant il est systématisé, s’avérant peu fertile en matière d’imaginaire. Mais ce qui manque le plus à cette farandole, c’est surtout de l’émotion. Bardo est un film curieusement dévitalisé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
Quête identitaire, réflexion sur son statut d'artiste, élégie de son pays natal et lettre d'amour à sa famille, Iñárritu se livre avec Bardo. Un voyage spirituel riche, humble et vibrant dans les méandres de son cerveau endolori, empreint d'un surréalisme fellinien envoûtant.
20 Minutes
Alejandro González Iñárritu livre un film somme impressionnant avec « Bardo ».
CinemaTeaser
Inarritu explore ses peines et ses émotions pour son film le plus libre et passionnant.
Télé Loisirs
Des réflexions qui resteraient théoriques si elles n'étaient sublimées par le génie visuel du réalisateur de The Revenant.
Télérama
POUR : Filmé dans les studios Churubusco, ce septième long métrage d’Iñárritu, qui ne cesse d’exprimer sa fatigue de tourner, pourrait être son dernier. Et s’impose, paradoxalement, comme une œuvre originelle.
Culturopoing.com
Pour le meilleur et pour le pire, Bardo, fausse chronique de quelques vérités constitue une œuvre somme, mêlant les différentes facettes du travail d’Iñárritu des plus irritantes aux plus étourdissantes. Insupportable et sublime, ce septième long-métrage ne réconciliera pas réfractaires et laudateurs, en revanche, il rappelle le caractère profondément inégal de la filmographie d’un artiste néanmoins majeur.
L'Obs
Le succès, la famille, son enfant mort-né, l’identité mexicaine et sa culpabilité d’exilé aux Etats-Unis y défilent dans un trip métaphysico-introspectif ambitieux et parfois fumeux, tour à tour fascinant et autosatisfait, troué de visions splendides.
La Croix
Formellement brillant, Bardo finit cependant par perdre le spectateur dans un labyrinthe d’images et de métaphores qui pèchent par un excès de stylisation.
Télé 7 Jours
Sa virtuosité et sa poésie parfois fellinienne fascinent, même si l’ensemble, labyrinthique et foisonnant, manque un peu d’émotion.
Libération
[...] le pachydermisme n’a aucune excuse tant il est vain, et à cette échelle de débauche, indécent.
Paris Match
L'objet est clairement conçu pour le grand écran. Sur le petit, il reste le squelette du scénario sans la puissance de la mise en scène et le film d'apparaitre bavard et surtout beaucoup trop signifiant.
Positif
Bardo demeure une œuvre mal fagotée, longue, au rythme incertain, dont on voit mal comment la diffusion mondiale sur Netflix (une première pour un film tourné en 65 mm) pourrait la servir.
Première
Sur Netflix, Iñárritu fait son 8 ½ : une farandole de visions surréalistes, parfois époustouflante, mais qui peine à dépasser l’ego-trip et atteindre l’universel.
Cahiers du Cinéma
Le titre bouddhiste donne le mode d’emploi de son indigeste introspection : pour les tibétains, le bardo est l’intervalle entre la mort et la renaissance, entre la vie et le songe, entre l’être et le devenir. Le film voudrait appliquer l’idée à la lettre en s’offrant comme une longue coulée de psychanalyse de salon, de surréalisme à deux pesos et de symbolisme éculé.
Critikat.com
Rarement la vacuité du cinéaste aura été aussi nettement mis à nue.
Le Figaro
Le cinéaste mexicain multi-Oscarisé brasse les clichés dans ce pensum autobiographique et complaisant.
Télérama
CONTRE : Ce procédé gêne tant il est systématisé, s’avérant peu fertile en matière d’imaginaire. Mais ce qui manque le plus à cette farandole, c’est surtout de l’émotion. Bardo est un film curieusement dévitalisé.