Bardo, fausse chronique de quelques vérités : Critique presse
Bardo, fausse chronique de quelques vérités
Note moyenne
2,7
17 titres de presse
Ecran Large
20 Minutes
CinemaTeaser
Télé Loisirs
Télérama
Culturopoing.com
L'Obs
La Croix
Télé 7 Jours
Libération
Paris Match
Positif
Première
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Le Figaro
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Quête identitaire, réflexion sur son statut d'artiste, élégie de son pays natal et lettre d'amour à sa famille, Iñárritu se livre avec Bardo. Un voyage spirituel riche, humble et vibrant dans les méandres de son cerveau endolori, empreint d'un surréalisme fellinien envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
20 Minutes
par Caroline Vié
Alejandro González Iñárritu livre un film somme impressionnant avec « Bardo ».
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Inarritu explore ses peines et ses émotions pour son film le plus libre et passionnant.
Télé Loisirs
par S.O.
Des réflexions qui resteraient théoriques si elles n'étaient sublimées par le génie visuel du réalisateur de The Revenant.
Télérama
par G.O.
POUR : Filmé dans les studios Churubusco, ce septième long métrage d’Iñárritu, qui ne cesse d’exprimer sa fatigue de tourner, pourrait être son dernier. Et s’impose, paradoxalement, comme une œuvre originelle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Pour le meilleur et pour le pire, Bardo, fausse chronique de quelques vérités constitue une œuvre somme, mêlant les différentes facettes du travail d’Iñárritu des plus irritantes aux plus étourdissantes. Insupportable et sublime, ce septième long-métrage ne réconciliera pas réfractaires et laudateurs, en revanche, il rappelle le caractère profondément inégal de la filmographie d’un artiste néanmoins majeur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le succès, la famille, son enfant mort-né, l’identité mexicaine et sa culpabilité d’exilé aux Etats-Unis y défilent dans un trip métaphysico-introspectif ambitieux et parfois fumeux, tour à tour fascinant et autosatisfait, troué de visions splendides.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Formellement brillant, Bardo finit cependant par perdre le spectateur dans un labyrinthe d’images et de métaphores qui pèchent par un excès de stylisation.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Sa virtuosité et sa poésie parfois fellinienne fascinent, même si l’ensemble, labyrinthique et foisonnant, manque un peu d’émotion.
Libération
par Olivier Lamm
[...] le pachydermisme n’a aucune excuse tant il est vain, et à cette échelle de débauche, indécent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
L'objet est clairement conçu pour le grand écran. Sur le petit, il reste le squelette du scénario sans la puissance de la mise en scène et le film d'apparaitre bavard et surtout beaucoup trop signifiant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Grégory Valens
Bardo demeure une œuvre mal fagotée, longue, au rythme incertain, dont on voit mal comment la diffusion mondiale sur Netflix (une première pour un film tourné en 65 mm) pourrait la servir.
Première
par Frédéric Foubert
Sur Netflix, Iñárritu fait son 8 ½ : une farandole de visions surréalistes, parfois époustouflante, mais qui peine à dépasser l’ego-trip et atteindre l’universel.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Le titre bouddhiste donne le mode d’emploi de son indigeste introspection : pour les tibétains, le bardo est l’intervalle entre la mort et la renaissance, entre la vie et le songe, entre l’être et le devenir. Le film voudrait appliquer l’idée à la lettre en s’offrant comme une longue coulée de psychanalyse de salon, de surréalisme à deux pesos et de symbolisme éculé.
Critikat.com
par Valentin Denis
Rarement la vacuité du cinéaste aura été aussi nettement mis à nue.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le cinéaste mexicain multi-Oscarisé brasse les clichés dans ce pensum autobiographique et complaisant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par J.M.
CONTRE : Ce procédé gêne tant il est systématisé, s’avérant peu fertile en matière d’imaginaire. Mais ce qui manque le plus à cette farandole, c’est surtout de l’émotion. Bardo est un film curieusement dévitalisé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
Quête identitaire, réflexion sur son statut d'artiste, élégie de son pays natal et lettre d'amour à sa famille, Iñárritu se livre avec Bardo. Un voyage spirituel riche, humble et vibrant dans les méandres de son cerveau endolori, empreint d'un surréalisme fellinien envoûtant.
20 Minutes
Alejandro González Iñárritu livre un film somme impressionnant avec « Bardo ».
CinemaTeaser
Inarritu explore ses peines et ses émotions pour son film le plus libre et passionnant.
Télé Loisirs
Des réflexions qui resteraient théoriques si elles n'étaient sublimées par le génie visuel du réalisateur de The Revenant.
Télérama
POUR : Filmé dans les studios Churubusco, ce septième long métrage d’Iñárritu, qui ne cesse d’exprimer sa fatigue de tourner, pourrait être son dernier. Et s’impose, paradoxalement, comme une œuvre originelle.
Culturopoing.com
Pour le meilleur et pour le pire, Bardo, fausse chronique de quelques vérités constitue une œuvre somme, mêlant les différentes facettes du travail d’Iñárritu des plus irritantes aux plus étourdissantes. Insupportable et sublime, ce septième long-métrage ne réconciliera pas réfractaires et laudateurs, en revanche, il rappelle le caractère profondément inégal de la filmographie d’un artiste néanmoins majeur.
L'Obs
Le succès, la famille, son enfant mort-né, l’identité mexicaine et sa culpabilité d’exilé aux Etats-Unis y défilent dans un trip métaphysico-introspectif ambitieux et parfois fumeux, tour à tour fascinant et autosatisfait, troué de visions splendides.
La Croix
Formellement brillant, Bardo finit cependant par perdre le spectateur dans un labyrinthe d’images et de métaphores qui pèchent par un excès de stylisation.
Télé 7 Jours
Sa virtuosité et sa poésie parfois fellinienne fascinent, même si l’ensemble, labyrinthique et foisonnant, manque un peu d’émotion.
Libération
[...] le pachydermisme n’a aucune excuse tant il est vain, et à cette échelle de débauche, indécent.
Paris Match
L'objet est clairement conçu pour le grand écran. Sur le petit, il reste le squelette du scénario sans la puissance de la mise en scène et le film d'apparaitre bavard et surtout beaucoup trop signifiant.
Positif
Bardo demeure une œuvre mal fagotée, longue, au rythme incertain, dont on voit mal comment la diffusion mondiale sur Netflix (une première pour un film tourné en 65 mm) pourrait la servir.
Première
Sur Netflix, Iñárritu fait son 8 ½ : une farandole de visions surréalistes, parfois époustouflante, mais qui peine à dépasser l’ego-trip et atteindre l’universel.
Cahiers du Cinéma
Le titre bouddhiste donne le mode d’emploi de son indigeste introspection : pour les tibétains, le bardo est l’intervalle entre la mort et la renaissance, entre la vie et le songe, entre l’être et le devenir. Le film voudrait appliquer l’idée à la lettre en s’offrant comme une longue coulée de psychanalyse de salon, de surréalisme à deux pesos et de symbolisme éculé.
Critikat.com
Rarement la vacuité du cinéaste aura été aussi nettement mis à nue.
Le Figaro
Le cinéaste mexicain multi-Oscarisé brasse les clichés dans ce pensum autobiographique et complaisant.
Télérama
CONTRE : Ce procédé gêne tant il est systématisé, s’avérant peu fertile en matière d’imaginaire. Mais ce qui manque le plus à cette farandole, c’est surtout de l’émotion. Bardo est un film curieusement dévitalisé.