Après s’être fait remarquer aux Etats-Unis grâce à La Fiancée de Chucky (1999), Ronny Yu passe à la vitesse supérieur et bénéficie d’une distribution dès plus alléchante. Mais sous la couche de vernis se cache en réalité une comédie des plus douteuse et au combien navrante. En jouant sur les oppositions américain/britannique, on se retrouve face à un buddy-movie bordélique où il est question d’un trafique de drogues, ajoutez à cela (histoire d’étoffer un scénario rachitique), une bande de skinheads, une histoire d’amour (dont on se contrefous éperdument), un match de football (l’intrigue se déroulant en Angleterre, on n’y échappe pas !), sans oublier les nombreuses blagues scatologiques (où l’on atteint un degré de débilité inquiétant). Au final on ne peut que constater le gâchis, avoir réunit un séduisant casting éclectique (Samuel L. Jackson, Robert Carly, Emily Mortimer & Rhys Ifans) au cœur d’un film pitoyable.
On s'ennuit ferme! Le 51ème Etat est un film dont la réalisation a voulu s'inspirer des films de Guy Ritchie mais...sans succès! On fait donc face à une histoire de drogue (pour changer) à l'anglaise avec des (pseudo) scènes comiques mêlées à de l'action et à de la musique de bourrin! Voilà l'univers dégagé par ce film sans aucune attaches et sans aucun réel objectif final!
Très bon divertissement, bons acteurs... et ambiance anglaise... avec le panache US ! Samuel L. est super. Intrigue accrochante. .................................... EN DEUX MOTS : A voir pour un très bon moment, drôle à souhait.
Ce film est plat comme une feuille d'aluminium, mais accrochant malgré tout. Les acteurs sont sur une autre planète, le déroulement de l'histoire n'est pas convaincant. Trop facile, pas drôle, simplement divertissement si le cerveau est mis en pause.
Ronny Yu nous propose ici un petit film déjanté mené par un tandem que l'on attendait pas. Un tandem formé par Samuel L. Jackson et l'acteur Britannique Robert Carlyle. D'un côté, nous retrouvons Jackson qui arbore son petit kilt avec une certaine classe dans ce film qui mélange l'action et la comédie dans lequel il endosse le rôle d'un un chimiste américain qui travaille à Liverpool. A ses côtés, nous retrouvons Robert Carlyle toujours aussi hystérique. Le duo tente de faire passer une nouvelle drogue totalement nouvelle. "Le 51ème état" est film sympathique et sans temps morts mais qui se présente comme une série B qui hélas, n'a aucune utilité. Et Ronny Yu n'a pas pu s'empêcher de nous proposer une petite séquence se déroulant à Anfield pour un match opposant les deux plus grands club de l'histoire du football anglais : Liverpool et Manchester United.
La raison principale qui doit vous pousser à voir le film, c'est le fait que tout au long de celui-ci, Samuel L. Jackson évolue en kilt ! Il forme un trio explosif avec Robert Carlyle et Emily Mortimer. L'humour est bon même si parfois il est aux frontières du mauvais goût... Un film à voir une ou deux fois et à savourer...
Comment le grand Ronny Yu, auteur du non moins célèbre La mariée aux cheveux blancs, a t-il pu en arriver là ? Non pas que Le 51e État soit raté en soi, le long-métrage étant très sympathique, mais pourquoi un artiste comme Ronny Yu s'y fourvoie-t-il ? Après avoir exploré Hollywood et réussi à s'imposer en réalisant le quatrième chapitre des mésaventures de la poupée tueuse Chucky dans un épisode particulièrement réussi, le metteur en scène hong-kongais signe pour un film d'action comique bourré d'effets de style et de fusillades improbables autour d'un scénario pour le moins burlesque. Sorte d'Arnaques, crimes et botanique maquillé en buddy-movie explosif, le long-métrage met en scène une multitude de personnages délurés cherchant à chaque fois soit à s'en sortir, soit à grignoter l'autre. Nous y découvrons donc le tandem choc Samuel L. Jackson (en kilt s'il vous plait) et Robert Carlyle tenter de refourguer la soi-disante drogue parfaite dans un Liverpool animé peuplé de skinheads pathétiques, de flics corrompus et de supporters mal léchés tout en échappant à un criminel mégalo (Meat Loaf, abonné aux rôles ridicules) et à une tueuse impassible (Emily Mortimer, jolie mais vaine). Agrémenté d'autres caricatures comme un dealer excentrique (la pile électrique Rhys Evans dans son plus mauvais rôle) ou encore des hommes de mains débiles à souhait, le scénario va crescendo dans un tourbillon d'action mêlant courses-poursuites, fusillades et tabassages sanglants dans une dérision totale. Agréable, vulgaire et sans prise de tête, Le 51 État ne brille pas de son intelligence ni de sa finesse mais réussit toutefois à nous faire passer un bon petit moment, le cerveau et la logique mis de côté. Une comédie mineure pour chacun des artistes présents mais une bonne partie de rigolade décomplexée, on n'en demandait pas plus...
On sourit pour les quelques scênes drôles, les famous acteurs tiennent bien leur rôle, enfin pour un film de cette envergure on ne peut pas faire compliqué, drôle sans plus.
Un film qui est passer inaperçue et on comprend pourquoi quand on regarde ce film , acteej de seconde zone qui sotn penible et relou , Il ne faut pas s'attendre au polar de la décennie c'est même par moment terriblement anecdotique il s'avère amusant pour peu que le spectateur soit clément et ne s'attende pas à une bobine grandiose Samuel L. Jackson et logique pour un film qui joue à fond la carte de la jouer d' un personnage qui est visiblement inspiré par la blacksploitation. Film qui se veut décalé mais qui au final est juste lourd (du caca, de l'épilation, des insultes, tire sur mon doigt etc). L'action ressemble plus à celle d'un film des années 1990 (le film sort au début des années 2000). Aucune complicité entre les deux acteurs et Robert Carlyle en fait trop, tout le temps. bref si vous être fan d'action ou de Samuel L Jackson passer votre chemin
Mouais bof, au final le 51 e état me laisse clairement un goût d inachevé. Ce buddy movie sur fond de rivalité americano-britannique oublie déjà un aspect primordial du genre :être drôle. A partir de la j ai été forcément moins tolérant avec ce film qu'avec d autres du genre. Un scénario bancal, quelques idées mais aucune réellement exploitées; le film m a donné de plus l impression de vouloir faire une comédie Trash mais sans avoir eu le courage d y aller réellement. Alors passé l amusement de voir Samuel L Jackson en kilt le film m a paru bien long.