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Christopher Andrews, par le biais de son admirable et éprouvante série noire rurale, décortique avec une rare précision d'écriture le mécanisme de la violence, celle qui n'a pas lieu d'être, qui couve durant des années sans conséquence, qui se déclare à la suite d'un incident certes regrettable mais minime, d'abord timidement puis qui croît et croît encore jusqu'à sa prolifération incurable et définitive comme un cancer.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La violence des pères, la bêtise des fils, la toxicité des hommes : pour son premier film, l’anglais Christopher Andrews fait montre de rigueur et d’assurance.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
"Le Clan des Bêtes" est un premier thriller haletant et qui aborde subtilement les mécaniques de violence, notamment intra-familiales, au détour d’une banale (mais pas bête) histoire de vengeance entre éleveurs.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Transmission de la violence entre les hommes, symbolisme religieux et quête désespérée de la rédemption… Le Clan des bêtes est un film aussi riche que profond.
La critique complète est disponible sur le site Konbini
A l’été 2022, le cinéaste espagnol Rodrigo Sorogoyen transformait avec As bestas un simple conflit de voisinage en une effroyable épopée de haine et de violence. Le Clan des bêtes, premier long-métrage du réalisateur américain Christopher Andrews, en reprend le principe. Avec une moindre maestria pour créer de la tension, mais davantage d’humanité insufflée à ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Dans son premier film, le Britannique Christopher Andrews met en scène une sombre histoire de vengeance et des hommes qui ne jurent que par la violence. Secouant.
Jouant d'un fort contraste entre son approche naturaliste [...] et la crudité des scènes d'explosion de rage, Andrews parvient sans peine à nous happer à chaque moment décisif, et ce même dès la glaçante scène introductive.
Entre thriller psychologique et drame très noir, ce premier film [...] impressionne par sa maîtrise esthétique, ainsi que par son art du suspense et de la tension.
Radical et sans concession, LE CLAN DES BÊTES plonge le spectateur dans l’enfer d’une humanité qui, pour de basses questions financières et matérielles, cède à l’animalité la plus totale. Une œuvre coup de poing.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Sans jamais juger ses personnages, le film, par une habile construction narrative, joue avec nos idées préconçues et nous force à interroger notre regard sur la situation au fur et mesure qu’on pénètre la psyché des protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Le récit adopte chaque point de vue, non pas pour donner des circonstances atténuantes, mais pour expliquer comment on en est arrivé à une situation qui dégénère et une escalade de la violence sans retour en arrière possible, à cause de la précarité.
Pour son premier long-métrage, Christopher Andrews signe en langue galloise un thriller rugueux et impitoyable qui expose la brutalité des hommes, leur silence et leur détresse sociale.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Il n’y a donc pas que les personnages qui sont pris dans des réflexes masculinistes : le film [...] ne s’intéresse que trop peu aux femmes qui entourent le récit, ni aux affects complexes qui clouent celles-ci à leurs côtés.
Dans ce western Irish maîtrisé, à la narration surprenante, les acteurs impressionnent : Christopher Abbott dans le rôle principal, Barry Keoghan toujours aussi magnétique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Christopher Andrews ambitionnait sûrement, en confrontant l’endroit à son envers, d’insuffler un surcroît de complexité à son jeu de massacre ; en vérité, ces petits calculs narratifs ne font que mettre en lumière sa vacuité.
Il faut prévenir ceux qui seraient tentés par ce film qu’ils vont devoir supporter une intrigue ridicule avec un coup de théâtre grotesque qu’on voit venir bien trop vite, un système non moins fumeux qui consiste à revisiter des scènes déjà montrées d’un point de vue différent, et d’interminables séquences campagnardes (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Formidable épate-gogos enfilant les références dans la confusion la plus totale ("Irréversible", "Eden Lake", l’"Ancien Testament", allez hop), le "Clan des bêtes" n’est même pas un honnête thriller – le suspense, déjà fragilisé par des personnages peu épais, étant réduit à néant dans un flash-back central très mal amené qui désamorce toute la tension du film, ne reposant finalement que sur le frisson bas de gamme et impardonnable lié à la cruauté animale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Koeghan d’un côté, Christopher Abbott (vu aussi chez Lanthimos !), de l’autre. Mais pourquoi n’arrive-t-on pas à s’intéresser à cette foutue histoire ? Peut-être parce qu’elle n’a rien à offrir que son propre ressassement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
Christopher Andrews, par le biais de son admirable et éprouvante série noire rurale, décortique avec une rare précision d'écriture le mécanisme de la violence, celle qui n'a pas lieu d'être, qui couve durant des années sans conséquence, qui se déclare à la suite d'un incident certes regrettable mais minime, d'abord timidement puis qui croît et croît encore jusqu'à sa prolifération incurable et définitive comme un cancer.
CinemaTeaser
La violence des pères, la bêtise des fils, la toxicité des hommes : pour son premier film, l’anglais Christopher Andrews fait montre de rigueur et d’assurance.
Ecran Large
"Le Clan des Bêtes" est un premier thriller haletant et qui aborde subtilement les mécaniques de violence, notamment intra-familiales, au détour d’une banale (mais pas bête) histoire de vengeance entre éleveurs.
Franceinfo Culture
Un thriller social et psychologique rugueux et sans concession. Intense.
Konbini
Transmission de la violence entre les hommes, symbolisme religieux et quête désespérée de la rédemption… Le Clan des bêtes est un film aussi riche que profond.
Le Figaro
Le premier film de Christopher Andrews met en scène un conflit entre deux bergers irlandais. En confrontant les points de vue, il fait mouche.
Le Monde
A l’été 2022, le cinéaste espagnol Rodrigo Sorogoyen transformait avec As bestas un simple conflit de voisinage en une effroyable épopée de haine et de violence. Le Clan des bêtes, premier long-métrage du réalisateur américain Christopher Andrews, en reprend le principe. Avec une moindre maestria pour créer de la tension, mais davantage d’humanité insufflée à ses personnages.
Les Echos
Dans son premier film, le Britannique Christopher Andrews met en scène une sombre histoire de vengeance et des hommes qui ne jurent que par la violence. Secouant.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film intense, aux personnages d’une grande noirceur et à la mise en scène efficace.
Mad Movies
Jouant d'un fort contraste entre son approche naturaliste [...] et la crudité des scènes d'explosion de rage, Andrews parvient sans peine à nous happer à chaque moment décisif, et ce même dès la glaçante scène introductive.
Télé Loisirs
Entre thriller psychologique et drame très noir, ce premier film [...] impressionne par sa maîtrise esthétique, ainsi que par son art du suspense et de la tension.
Télérama
Un premier film puissant, à l’image de la lande où le drame se noue.
Voici
L'écriture est très maligne, la mise en scène rigoureuse et les acteurs fascinants de subtilité.
aVoir-aLire.com
Radical et sans concession, LE CLAN DES BÊTES plonge le spectateur dans l’enfer d’une humanité qui, pour de basses questions financières et matérielles, cède à l’animalité la plus totale. Une œuvre coup de poing.
Abus de Ciné
Sans jamais juger ses personnages, le film, par une habile construction narrative, joue avec nos idées préconçues et nous force à interroger notre regard sur la situation au fur et mesure qu’on pénètre la psyché des protagonistes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Tout en rage et en tension, l’Américain Christopher Abbott et l’Irlandais Barry Keoghan s’affrontent avec une force brute. Ils sont impeccables.
Le Dauphiné Libéré
Féroce et dérangeant.
Le Journal du Dimanche
Le récit adopte chaque point de vue, non pas pour donner des circonstances atténuantes, mais pour expliquer comment on en est arrivé à une situation qui dégénère et une escalade de la violence sans retour en arrière possible, à cause de la précarité.
Le Point
Pour son premier long-métrage, Christopher Andrews signe en langue galloise un thriller rugueux et impitoyable qui expose la brutalité des hommes, leur silence et leur détresse sociale.
Les Inrockuptibles
Il n’y a donc pas que les personnages qui sont pris dans des réflexes masculinistes : le film [...] ne s’intéresse que trop peu aux femmes qui entourent le récit, ni aux affects complexes qui clouent celles-ci à leurs côtés.
Marianne
Un thriller rural et rude.
Paris Match
Dans ce western Irish maîtrisé, à la narration surprenante, les acteurs impressionnent : Christopher Abbott dans le rôle principal, Barry Keoghan toujours aussi magnétique.
Cahiers du Cinéma
Christopher Andrews ambitionnait sûrement, en confrontant l’endroit à son envers, d’insuffler un surcroît de complexité à son jeu de massacre ; en vérité, ces petits calculs narratifs ne font que mettre en lumière sa vacuité.
L'Obs
A l’arrivée, l’ensemble évoque moins un polar rural à la Kurosawa qu’une version celtique des démonstrations ampoulées d’Iñárritu.
Le Parisien
Il faut prévenir ceux qui seraient tentés par ce film qu’ils vont devoir supporter une intrigue ridicule avec un coup de théâtre grotesque qu’on voit venir bien trop vite, un système non moins fumeux qui consiste à revisiter des scènes déjà montrées d’un point de vue différent, et d’interminables séquences campagnardes (...).
Libération
Formidable épate-gogos enfilant les références dans la confusion la plus totale ("Irréversible", "Eden Lake", l’"Ancien Testament", allez hop), le "Clan des bêtes" n’est même pas un honnête thriller – le suspense, déjà fragilisé par des personnages peu épais, étant réduit à néant dans un flash-back central très mal amené qui désamorce toute la tension du film, ne reposant finalement que sur le frisson bas de gamme et impardonnable lié à la cruauté animale.
Première
Koeghan d’un côté, Christopher Abbott (vu aussi chez Lanthimos !), de l’autre. Mais pourquoi n’arrive-t-on pas à s’intéresser à cette foutue histoire ? Peut-être parce qu’elle n’a rien à offrir que son propre ressassement.