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Votre avis sur Hypnotique ?
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FaRem
Malgré les nombreuses critiques sur "The Open House", leur premier film pour Netflix, Matt Angel et Suzanne Coote sont de retour sur la plateforme avec un nouveau film seulement, ils ne mettent plus en scène leur propre scénario comme la première fois. Le scénario est cette fois-ci signé Richard D'Ovidio à qui l'on doit celui du moyen "The Forger" ou du très efficace "The Call". "Hypnotic" est un film sur la manipulation mentale par hypnose avec une femme fragile qui va tomber entre les griffes de son dangereux hypnothérapeute. Une idée de départ sympathique qui se suffit à elle-même bien qu'elle ne soit pas exploitée au maximum notamment en ce qui concerne l'autorité du docteur et ce qu'il est capable de faire faire à ses patients. "Hypnotic" est digne d'un téléfilm avec certains rebondissements invraisemblables et une intrigue prévisible dès les premières minutes seulement, c'est tout de même un film sympathique et plaisant à regarder.
RedArrow
Alerte rouge ! Après "The Open House" qui nous avait laissé le sentiment d'avoir assisté à ce qui peut se rapprocher de la plus parfaite représentation cinématographique du néant, Netflix redonne sa chance au duo infernal Matt Angel/Suzanne Coote pour signer la réalisation de ce "Hypnotique". En tant que spectateurs, sommes-nous prêts à commettre la même folie à leur égard ? Notre côté masochiste a bien évidemment répondu un grand "oui" !
Il faut dire qu'ici, sur le papier (qu'ils n'ont d'ailleurs cette fois pas écrit), la proposition paraît tout de même un peu plus alléchante. Détourner l'hypnose thérapeutique pour la confier aux mains d'un psychopathe très doué en la matière est en soi un postulat efficace, dans tout ce que cela peut amener comme idées afin de représenter à la fois une telle emprise, tenant d'un viol mental vis-à-vis des victimes, et les manipulations perverses forcément plus inattendues dans son sillage. Et puis, en confiant son rôle principal à Kate Siegel, la muse si talentueuse de Mike Flanagan, accompagnée de quelques têtes connues (Jason O'Mara et Dulé Hill), "Hypnotique" gagne assez directement une part de notre sympathie, reconnaissons-le.
Cependant, il aura suffi d'une scène d'ouverture complètement stupide pour mettre un terme au peu d'espoir que l'on pouvait avoir. D'une durée pourtant très courte, celle-ci réussit le tour de force de révéler toute la pauvreté de la mise en scène qui va gouverner la globalité du film mais également de gâcher la majeure partie des éléments de surprise sur le mode opératoire de sa menace pour la suite des événements.
Et le reste de "Hypnotique" va s'acharner à confirmer la médiocrité de cette ouverture.
Malgré quelques soubresauts un peu plus louables pour traduire l'intensité du contrôle total de l'hypnotiseur déviant sur l'héroïne (merci Kate Siegel) et ses corollaires ou de vains questionnements sur l'utilisation de l'hypnose en elle-même, le peu d'originalité qui aurait pu habiter le long-métrage se retrouve vite cadenassé par le traitement de téléfilm de seconde zone qu'il subi en permanence. "Hypnotique" devient quasiment l'équivalent d'un trou noir dont la pauvre patiente est victime, l'entreprise est en effet si fainéante au niveau de son écriture ou de sa réalisation pour chercher à affirmer un minimum d'identité en cours de route qu'elle en devient profondément anonyme, comme produite par un algorithme qui chercherait à atteindre le stade ultime de la production la plus impersonnelle qu'il soit en distribuant les motivations les plus clichées à ses personnages ou en balisant ce thriller des étapes scénaristiques les plus éprouvées et prévisibles depuis des décennies.
En termes de temps perdu devant tant d'indigence, Matt Angel et Suzanne Coote signent quelque part encore un coup de maître avec "Hypnotique", on ressort d'ailleurs du film comme après avoir vécu une transe où l'on jurerait avoir entendu des courants d'air passer à l'intérieur de notre crâne inhabité pendant presque 1h30. Exactement l'effet que nous avait fait les portes ouvertes d'une certaine maison en somme...
Il faut dire qu'ici, sur le papier (qu'ils n'ont d'ailleurs cette fois pas écrit), la proposition paraît tout de même un peu plus alléchante. Détourner l'hypnose thérapeutique pour la confier aux mains d'un psychopathe très doué en la matière est en soi un postulat efficace, dans tout ce que cela peut amener comme idées afin de représenter à la fois une telle emprise, tenant d'un viol mental vis-à-vis des victimes, et les manipulations perverses forcément plus inattendues dans son sillage. Et puis, en confiant son rôle principal à Kate Siegel, la muse si talentueuse de Mike Flanagan, accompagnée de quelques têtes connues (Jason O'Mara et Dulé Hill), "Hypnotique" gagne assez directement une part de notre sympathie, reconnaissons-le.
Cependant, il aura suffi d'une scène d'ouverture complètement stupide pour mettre un terme au peu d'espoir que l'on pouvait avoir. D'une durée pourtant très courte, celle-ci réussit le tour de force de révéler toute la pauvreté de la mise en scène qui va gouverner la globalité du film mais également de gâcher la majeure partie des éléments de surprise sur le mode opératoire de sa menace pour la suite des événements.
Et le reste de "Hypnotique" va s'acharner à confirmer la médiocrité de cette ouverture.
Malgré quelques soubresauts un peu plus louables pour traduire l'intensité du contrôle total de l'hypnotiseur déviant sur l'héroïne (merci Kate Siegel) et ses corollaires ou de vains questionnements sur l'utilisation de l'hypnose en elle-même, le peu d'originalité qui aurait pu habiter le long-métrage se retrouve vite cadenassé par le traitement de téléfilm de seconde zone qu'il subi en permanence. "Hypnotique" devient quasiment l'équivalent d'un trou noir dont la pauvre patiente est victime, l'entreprise est en effet si fainéante au niveau de son écriture ou de sa réalisation pour chercher à affirmer un minimum d'identité en cours de route qu'elle en devient profondément anonyme, comme produite par un algorithme qui chercherait à atteindre le stade ultime de la production la plus impersonnelle qu'il soit en distribuant les motivations les plus clichées à ses personnages ou en balisant ce thriller des étapes scénaristiques les plus éprouvées et prévisibles depuis des décennies.
En termes de temps perdu devant tant d'indigence, Matt Angel et Suzanne Coote signent quelque part encore un coup de maître avec "Hypnotique", on ressort d'ailleurs du film comme après avoir vécu une transe où l'on jurerait avoir entendu des courants d'air passer à l'intérieur de notre crâne inhabité pendant presque 1h30. Exactement l'effet que nous avait fait les portes ouvertes d'une certaine maison en somme...
Tout est archi prévisible, dès les premières minutes (scène de l'ascenseur) on comprend de quoi il s'agit et comment ça va se terminer. L'actrice principale est mono expressive, sa meilleure copine ne vaut pas mieux, le mec supposé être un psychopathe a autant de crédibilité que Gérard Jugnot en terminator, le détective de police est plus maladroit que Pierre Richard et moins fort qu'un enfant de 10 ans... ridicule! Aucune surprise, aucun frisson, ce film est totalement plat.
Décidément Netflix confirme (et reconfirme!) que ses productions cinématographiques sont des navets intergalactiques et contribue ardemment au nivellement par le bas.
Décidément Netflix confirme (et reconfirme!) que ses productions cinématographiques sont des navets intergalactiques et contribue ardemment au nivellement par le bas.
L’histoire ne tient pas debout, tout y est prévisible. J’ai trouvé ce film long et ennuyeux j’ai eu du mal à ne pas arrêter avant la fin. Comment la police, face au nombre de preuves et d’évidences n’a pas été capable de stopper le thérapeute,l’histoire est plus que bancale.... Enfin bref, encore une perte de temps...
C'est mauvais... mais alors mauvais !
Aucune surprise, c'est quand même dommage quand on parle de thriller. Dommage, car l'idée de départ aurait pu être bien exploitée.
Aucune surprise, c'est quand même dommage quand on parle de thriller. Dommage, car l'idée de départ aurait pu être bien exploitée.
Sans être un grand film, ça va on aura connu pire, je met pas mal de temps à rentrer dedans, le milieu et la fin est pas mal, on est même surpris à quelques moments, pas si mal !
Outre un scenario d'une extrême pauvreté, une mise en scène médiocre,on retrouve ici tous les poncifs de la Woke-culture outre-atlantiste,dont le message subliminal est tellement grossier qu'il en devient grotesque:
La gentille femme blanche, cruche et suggestible, sous l' emprise du méchant mâle blanc de plus de 50 ans, pervers et dominateur, sera sauvée par le gentil flic, lui issu de la diversité...
Ah si l'angle racialiste du film était inversé, on imagine alors les cris horrifiés qu'auraient pu pousser les défenseurs des "minorités opprimées" et de la Cancel bien-pensance ... Risible.
La gentille femme blanche, cruche et suggestible, sous l' emprise du méchant mâle blanc de plus de 50 ans, pervers et dominateur, sera sauvée par le gentil flic, lui issu de la diversité...
Ah si l'angle racialiste du film était inversé, on imagine alors les cris horrifiés qu'auraient pu pousser les défenseurs des "minorités opprimées" et de la Cancel bien-pensance ... Risible.
D'une nullité incroyable, prévisible au possible et -je sais pas comment on appelle ça- mais tout est amené pour que ce soit facile et en plus de ca, tellement de choses ne sont pas logiques. Je comprends pas comment on peut produire un tel navet. Y'a que l'idée de bonne. A éviter !
Un scénario original pour un thriller qui nous tient en haleine.
Cependant aucun réel artifice, ce n'est pas du grand cinéma, un film à voir mais sans plus. 3/5
Cependant aucun réel artifice, ce n'est pas du grand cinéma, un film à voir mais sans plus. 3/5
Les films consacrés à l'hypnose constituent un véritable sous-genre des thrillers psychologiques. Le moins qu'on puisse dire, c'est que Hypnotique ne renouvelle pas cette catégorie. Le principal défaut du film est une certaine confusion de son scénario : les séquences relevant de la réalité et celles fantasmées sous hypnose s'articulent assez mal. L'ensemble manque aussi de la subtilité et du mystère qui font le charme de ces films. Ca se laisse donc voir, mais ça n'arrive pas à la cheville du Mystérieux docteur Korvo d'Otto Preminger où la belle manipulée est Gene Tierney. Un remake moderne de ce grand classique aurait sans doute été plus efficace.
Sans temps morts, ce film est assez plaisant à suivre même si le contenu n'est pas d'une grande originalité.
Quelques effets de surprise tout de même et pas mal de tensions aiguisent parfois nos nerfs ...
Quelques effets de surprise tout de même et pas mal de tensions aiguisent parfois nos nerfs ...
Le film base son histoire sur le pouvoir et les conséquences mal utilisées de l'hypnose. Finalement, on ne sait pas grand chose sur cette forme de thérapie et j'aurai cru que le film apporte un peu d'éclairage sensé sur ce moyen de modifier la conscience. Mais rien de tout ça dans le film. L'hypnose est traitée comme une arme redoutable poussant les gens à faire les pires choses, jusqu'au crime. Du coup, cela passe à mes yeux comme du grand n'importe quoi. La facilité avec lequel cet hypnothérapeute contrôle ses patientes est juste prétexte à créer de l'angoisse dans le film. Rien d'autre. Après cette réflexion, il ne restera pas grand chose pour sauver le film. Tout est excessif et peu crédible. De plus, l'histoire pas forcément mauvaise est bien trop linéaire et prévisible. Quelques scènes sont intéressantes et ce petit policier/thriller sauve tout juste la mise pour rester un film acceptable.
Le scénario est prévisible dès le départ, et les personnages sont tous des clichés :
La gentille femme un peu naïve, l'homme fatal, séducteur, beau, riche, intelligent, sophistiqué, mais manipulateur et dangereux (qu'on retrouve dans tous les téléfilms de l'après-midi sur TF1) et le policier cantonné à un rôle de "bon sauvage" : pas riche, pas intelligent, pas sophistiqué, mais doté d'une morale pure et originelle (pas corrompue par la civilisation) qui le pousse à tout faire pour aider l'héroïne, de façon purement altruiste et avec une fidélité sans faille (ce type de personnage est généralement noir, ce qui est très dégradant en réalité).
La gentille femme un peu naïve, l'homme fatal, séducteur, beau, riche, intelligent, sophistiqué, mais manipulateur et dangereux (qu'on retrouve dans tous les téléfilms de l'après-midi sur TF1) et le policier cantonné à un rôle de "bon sauvage" : pas riche, pas intelligent, pas sophistiqué, mais doté d'une morale pure et originelle (pas corrompue par la civilisation) qui le pousse à tout faire pour aider l'héroïne, de façon purement altruiste et avec une fidélité sans faille (ce type de personnage est généralement noir, ce qui est très dégradant en réalité).
Film lisse au scénario marqué d'incohérences et de retournements de situations alambiqués. Cependant il persiste un léger suspense qui nous pousse à regarder le film jusqu'au bout. Les décors sont par endroits très soignés.
Je ne comprends pas moi non plus cette note aussi basse.
Si je peux me permettre un conseil, ne tenez pas compte des avis négatifs et lancez-vous dans le visionnage de ce triller bien joué qui ne manquera pas de vous mettre sous tension pour vous faire votre propre avis.
Si je peux me permettre un conseil, ne tenez pas compte des avis négatifs et lancez-vous dans le visionnage de ce triller bien joué qui ne manquera pas de vous mettre sous tension pour vous faire votre propre avis.
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