Derniers Avis : A Classic Horror Story - Page 4

En un mot : risible. Que ce soit le jeu d'acteur, le scénario, les costumes ou la musique, rien de bien interessant malheureusement... encore un film Netflix bien décevant, passez votre chemin et vous gagnerez 1h30 de votre vie.

Nul, très déçu de ce film. Le scénario est complètement incohérent. Les personnages non pas d'accroche.

Et si on vivait déjà un film d’horreur ?

Bonne surprise. Je ne m’attendais pas du tout à cette tournure sur la fin. Ce film joue très bien avec son titre, car en réalité derrière son coté classique… et bien il n’est pas si classique ! Il faut le voir pour comprendre pourquoi. Une ambiance visuelle et sonore soignées, des acteurs plutôt convaincants, bien qu’on ne s’attache pas beaucoup à leurs personnages. Un film d’horreur avec un peu plus de profondeurs que d’autres plus… classiques. C’est à essayer. Pas le film de l’année mais on passe un moment sympa.

Un peu de géographie de cinéma. Il est vrai qu’on pouvait mettre l’Italie au même niveau que l’Allemagne et la France et loin derrière le Royaume-Uni et surtout l’Espagne en ce qui concerne les films de genre : ils sont rares, généralement peu convaincants et souvent (mal) copiés sur le cinéma de genre américain. Mais comme pour nous, français, avec des réussites comme « Martyrs », « Haute tension » ou plus récemment « La Nuée », il y a des exceptions. « A classic horror story » en fait partie. Pourtant il ne partait pas sous les meilleurs auspices (de son titre à son résumé) mais il est justement assez malin pour nous surprendre. En nous laissant volontairement avoir une approche aussi triviale avant qu’on le visionne, il se paye le luxe de nous prendre de cours pour notre plus grand plaisir. Et si ce n’est pas non plus un chef-d’œuvre du genre, il se positionne comme une série B assez maligne et roublarde pour nous convaincre. De plus, l’image terne et triste est soignée et fait penser aux vieux films d’horreur italiens des années 80, les fameux giallos, avec effet nostalgique assuré. Ajoutons à cela des personnages bien plus fouillés et des acteurs plus concernés qu’à l’accoutumée pour le genre, et on obtient une œuvre intrigante.



Le film débute comme un vulgaire film d’horreur classique justement. Et on se dit qu’on est parti soit pour un hommage (encore), relativement en panne d’idées, ou à un film de genre premier degré qui suinte le déjà-vu par tous les grains de pellicule. Mais non, plus le film avance et plus on voit des influences se digérer et le film changer constamment de direction, plus on comprend que « A classic horror story » sera quelque peu différent de ce qu’on s’était mis en tête. Le long-métrage broie d’ailleurs les références au mixeur pendant une bonne heure : cela commence par « La Colline a des yeux » ou « Massacre à la tronçonneuse », se prolonge comme « Détour mortel », continue comme « Halloween » ou « Vendredi 13 », bifurque vers « Le Village » et « Midsommar » et tout cela avec une forte influence esthétique entre « Cannibal Holocaust » (fer de lance du cinéma de genre italien) et tous les films de found-footage, « Le projet Blair Witch » en tête. Oui, vous avez bien lu, tout cela à la fois mais sans que jamais ce ne soit gênant.



Certes, tout cela peut sembler bordélique de prime abord et ça l’est un peu mais c’est aussi ce qui fait un peu le charme du projet. Mais c’est aussi peut-être ce qui fait un peu le défaut du film : on sent le duo de réalisateurs plein d’idées et grands fans du genre mais pas encore tout à fait en pleine possession de leurs moyens. Cependant, s’ils n’inventent rien, ils parviennent à nous avoir avec plusieurs rebondissements dans le dernier tiers du film qui rebattent les cartes à tous niveaux. Narrativement déjà car on ne s’attend pas du tout à ces twists mais aussi au niveau de la tonalité et c’est franchement réussi si on ne va pas trop chercher dans les détails (c’est quelque peu improbable et pas toujours logique). « A classic horror story » part donc dans un délire méta jouissif et assez bien amené sur notre manière de consommer des films d’horreur. Un peu comme « Scream » l’avait fait en son temps, toute proportions gardées. Et la scène post-générique où Netflix se met en abyme est osée et vraiment inattendue. Si l’on passe donc sur les quelques trous du scénario et le côté un peu foutoir, c’est clairement appréciable, surprenant et cela déborde d’énergie et d’amour du genre. De plus, dans la première heure, il y a pas mal de plans franchement beaux et même pas mal de frissons doublés d’une atmosphère malsaine qui s’avèrent du meilleur effet. A découvrir donc si on aime les films d’horreur.



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bon film d'horreur après cela ne casse pas trois pattes à un canard,nous sommes surtout sur du vu et revu et après je trouve qu'il y pas mal de petit rappel a d'autre film , exemple : le tas de voiture abandonné d'ancienne victime un peut comme "la colline a des yeux".

un réalisateur italien s'essaye au film d'horreur et lui donne une touche originale. Erreur fatale ! on sombre dès le départ dans les standards pour se mouvoir lentement vers un scénario qui s'est cru original et qui complète l'aspect complètement débile du début jusqu'à la fin. On nage en plein délire sans réelle surprise. Affligeant.

A grand coups de top 10 en France aujourd'hui, Netflix nous invite à découvrir ce film d'horreur italien.Les producteurs ont mixé blair witch,detour mortel et de multiples autres films pour aboutir à cette bouillie infâme qui n'a ni queue ni tête. Il y a du gore c'est vrai mais j'ai très vite décroché devant cette accumulation de scènes hystériques toutes plus ridicules les unes que les autres.
Les dialogues sont idiots les personnages ultra stéréotypés.
Énième production Netflix qui ne vaut rien.

Horreur, méta, Italie ... Les trois ensembles c'est hyper engageant comme idée. On a très envie d'y croire, on a même très envie d'envisager y prendre un pied gigantesque. Pour le coup, même si la réalisation essaie d'insuffler un minimum d'esthétique baroque, on devine ici et là la limite du projet. D'ailleurs le twist final n'en est pas un et manque un peu d'ampleur. On aurait pu creuser très largement et complètement renverser la table. Reste que Matilda Lutz continue à admirablement pleurer et prouve qu'elle s'engage dans une belle carrière à la ... Noomi Rapace en béquillant les séries B hyper codifiées. Pour résumer c'est pas mal mais ça sonne légèrement creux.

Plot twist plutôt pas mal néanmoins les meurtres sont peux recherchés, des abus de gore inutiles, des personnages développés pour rien spoiler: car ils meurent tous en 20 minutes
l'ambiance elle est plutôt sympathique et oppressante par moments mais ne vous attendez pas a un classique du film d'horreur même si il faut l'avouer la bande annonce faisait envie. La légende des 3 dieux est banale mais fait le taff, bref le film est plutôt bien dans l'ensemble mais facilement oubliable vous pouvez je pense passer votre chemin. Sans parler de la scène finale qui nous prend pour des abrutis spoiler: (comme si c'était aussi simple d'accéder a une redroom avec 2 cliques sur thor et un mot de passe)
en terme de films d'horreur cette année j'ai trouvé Fear Street bien mieux réussi.

On prend une petite pincée de "Blair Witch", une deuxième pincée de "Ronaoke", ainsi qu'un peu de "The Village", puis on mixe le tout à "Midsommar" pour obtenir le sympathique et quasi surprenant "A Classic Horror Story".

A Classic Horror Story est un film d'horreur italien distribué par Netflix en 2021. Eh non, ce n'est pas un spin-off d'Américain Horror Story. Le métrage a son propre style même si l'histoire est très clichée, il sait s'imposer par sa mise en scène et bandes-son énigmatiques. L'ambiance est quant à elle aussi suggestive que stridente avec un brouillard de mystère qui englobe le tout. De plus, tout est sombre, autant scénaristiquement que visuellement, pourtant, en ce qui concerne le gore, il ne règne peut-être pas dans les meurtres malgré quelques petits détails peu démonstratifs. Des petits détails qui finalement sont assez suffisants. 

Le film a une allure de légende urbaine/creppypasta dans le fond avec ses quelques clichés inévitables, des clichés utiles pour le genre. Il va jusqu'à donner la sensation d'être un bel hommage au cinéma de genre. Ce n'est peut-être pas l'originalité qui prône, mais les amateurs de ce genre d'ambiance ne pourront qu'un minimum apprécier. De plus, le film va jusqu'à proposer un gros retournement de situation quasi-final, certes, il n'est pas totalement surprenant, mais mine de rien, il est assez bien joué, cela permet de le démarquer tout en sachant être totalement d'actualité et dans l'air du temps, tout comme cette triste fin d'ailleurs. Après, la scène finale est quant à elle bien sympa, certes, le coup a déjà été fait dans d'autres productions (comme The Den par exemple), mais cela n'offre pas moins un certain effet de surprise plutôt plaisant. 

Enfin bref, un bon film aux superbes bandes-son, on retrouve bien cette bonne ambiance faussement rétro qu'ont les films d'horreur Italiens.

Le film est ambitieux, mais ça ne se devine pas de suite, il faut attendre que les réalisateurs se livrent à une autocritique non pas du genre comme il croient le faire, mais de leur propre film et le moins qu'on puisse dire c'est que c'est assez laborieux, on a même droit à une comparaison très "brève de comptoir" entre les actualités télévisés et les films d'horreur. Sinon, c'est fait n'importe comment avec des ellipses à la pelle, des scènes absconses, et bravo spoiler: pour la nana qui se libère toute seule alors qu'elle a les mains cloutées sur les bras d'une chaise.
Et puis le film est exempt de cette possibilité de le regarder au second degré, ce qui fait souvent le charme du genre. A sauver l'histoire drôle que raconte le petit gros, le visage de Matilda Anna Ingrid Lutz et le twist (du moins son idée), sinon ça ne vaut pas tripette.

Dès le début, scénario simple et assumé, ça fonctionne. Le réalisateur nous plonge dans une ambiance étrange et oppressante, s’en suive des scènes d’épouvante.
C’est ok, jusqu’ici c’est réussi, bien joué !
Mais … tout part en miettes, et oui .. Virage brusque tout droit dans le platane, c’est l’accident ! J’ai finalement réussi par regretté le film d’horreur classique annoncé.
Le réalisateur à fait preuve d’originalité, certes… Mais quel ennuie ! Des personnages apparaissent sans valeur ajoutée, c’est gratuit. La moral du film ? Peu pertinente ou pas comprise. Quand aux questions qu’on se pose pendant le film, je répondrait de la même manière que le réalisateur

Ce nouveau film Netflix d’horreur espagnol est correct sur tous ses points sans pour autant être fabuleux. Ça se regarde, c’est sympathique, mais rien de nouveau. On se laisse prendre par l’histoire. Mention spéciale pour la jeune et talentueuse Matilda Lutz qui incarne comme toujours à merveille ses personnages (beaucoup aimé dans Revenge). Dommage qu’il y est peu de rebondissements, notamment vers le milieu. Le dénouement est sympathique, pourquoi pas disons ! Les amateurs du genre s’y retrouverons sûrement.

Affligeant. Couru d'avance, pas bien joué, sans suprises, sans frissons, sans logique. Sans rien quoi.

Pas assez kitsch pour que ça puisse rattraper l'ensemble. Le scénario est plat et inintéressant, on prend un peu de frontière(s) / la colline à des yeux, on surfe sur la paranaoïa digitale que peut inspirer un épisode de black mirror, une esthétique à la sinister, un cadre de départ style evil dead et on croit qu'on a coché toute les cases?

Bah non ça prend pas.
Et c'est pas des clins d'oeil ou des références subtiles, juste des trucs qui nous font nous dire "ah ouais, vaguement comme dans [film]... mais en mauvais". Le nom du film faisait s'attendre à une expérience un peu meta. Un personnage le prononce dans un dialogue oubliable. Et c'est le seul moment (a peine déjà fait...) de self-awareness du film.

Un bon produit Netflix comme on les aime, qu'on croirait sorti tout droit d'un algorithme. Faites une heure et demie de mots croisés en sumérien, vous perdrez moins votre temps qu'en regardant ce navet.

Un bon film pour ma part. Il nous embarque (au premier degré) dans un classic horreur avec tous les codes du genre, surprend sur le dernier tiers de la "raison" du pourquoi (créatif), très belle photographie, alambiqué à souhait. Jusque là, questionnements à foisons et le déroulé permet au spectateur d'élucubrer de multiples scénarios ... En second traitement (bien traduit à l'écran) : le volet sociétal qui montre/dénonce la dérive et l'excès de certains spoiler: notamment avec "Bloodflix" : "notre" addiction à la violence, le zapping, l'anonymat derrière un clavier et l'indispensable besoin de tout filmer
. Pour ma part réussi ! 3.5/5 !!!