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Claude-Alain Muller
8 critiques
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1,5
Publiée le 15 décembre 2022
C’est joliment filmé dans de jolis décors avec de jolis acteurs… Si ça vous suffit, tant mieux pour vous ! Moi j’aurais aimé de l’humour drôle à la place des échanges plats entre Roberts et Clooney. J’aurais aussi apprécié un scénario et aussi un réalisateur derrière la caméra ! Ce film est d’un ennui mortel.
le gros navet, une purge! rien ne va dans cette comédie romantique qui n'est ni drôle, ni romantique. Les deux acteurs principaux passent surement de bonnes vacances en Australie (Bali n'a pas pu accueillir le tournage au final), nous ont subi !
Un film mielleux et prévisible, dommage car le casting est top, je m'attendais un un humour plus poignant et des rebondissement plus surprenant. Une petite déception...
Nous avons été agréablement surpris, vraiment. Nous nous attendions à un nanar vu et revu (bon c'est vrai il y a bien des choses convenues..), mais cela reste une bonne surprise. Nous avons trouvé là un film agréable à regarder, léger, dans de superbes endroits (s'ils existent vraiment on achète un ticket to paradise !). Bémols, quelques images de synthèses en trop, des dauphins numériques (même si je comprend qu'ils n'est pas souhaité utiliser de vrais pour un tournage et ont bien eu raison), et le petit ami fade et inutile, aussi plat que le tracé d'un encéphalogramme de Georgia. Petit plus : le fou rire de J. Roberts partagé avec G. Clooney lors de la bataille bierre-pong, c'était authentique et émouvant. Il est vrai que l'on prend plaisir à voir ces deux là jouer ensemble et prendre autant de plaisir. C'était rafraîchissement vraiment. Ce film fait voyager et donne envie de prendre de longues vacances ! Nous recommandons.
Ticket to paradise joue sur le registre de la comédie légère mais qui matche fort sur quelques gags, restant en droite ligne pour ce qui est du scénrio. On se surprend à n'attendre que la prochaine punchline et la happy end annoncée dès le début. C'est une comédie romantique qui manque d'idées et de scènes marquantes, même si le duo formé par Clooney / Roberts fonctionne formidablement bien à l'écran. Un feel good movie sans grande surprise, mais agréable, et avec de beaux éclats de rire.
Les décors sont ceux de rêve des années 80... ce genre d'histoire aussi, même si les acteurs jouent leur rôle. Dommage pour ce film qu'il soit sorti en même temps que "sans filtre", car l'un démolit pratiquement le côté jubilatoire de l'autre, selon le côté de la plage où l'on se trouve.
Juste nul en dehors des sourires des deux acteurs principaux dont le réalisateur se sert comme pour éviter l'ennui absolu mais qui finissent aussi par lasser! Une comédie au ras des pâquerettes, c'en est presque triste.
Un casting "de retour" de superstar des années 90, ça faisait longtemps. Une comédie qui passe pas mal pour un divertissement, en revanche question scénario on est dans du standard, rien de vraiment original. On appréciera pour le binôme sur scène des parents du film, pour le reste ... c est court en intérêt...
Ce film est très décevant. Par le passé ces 2 acteurs principaux nous ont fait rêver surtout en choisissant de belles histoires et accessoirement de bons metteur en scène. Voilà donc une production qui ne va pas améliorer leur cote. Tant pis pour eux et surtout tant pis pour nous.
Ticket to EHPAD. Sortons nos lunettes de soleil, car on ne sait pas ce qui essaie de nous éblouir le plus dans ce Ticket to Paradise, entre les plages de rêve (ils ont mis le paquet pour que l'Australie - lieu de tournage - ressemble à une carte postale de Bali) et les deux vedettes étoilées qui composent l'affiche pimpante (parfaite pour attirer le chaland de quarante ans et plus, ou ceux qui veulent "déconnecter" : le public-cible dont on ne se cache jamais). Seulement voilà, ce scénario à la Eyjafjallajokull (les deux parents divorcés qui sont obligés de se supporter pour aller au mariage de leur fille à l'autre bout du monde) n'a rien de surprenant, ne tente jamais rien d'autre que des situations téléphonées de flirt "je t'aime moi non plus" (dont on connaît pertinemment la fin) entre Julia Roberts et Georges Clooney (en très petite forme, plus pantouflards, on meurt) et quelques gags très simples (spoiler: ils dansent en se ridiculisant, le petit ami se fait mordre par un serpent, puis se cogne dans le nez de Roberts... Bref, on est loin d'une comédie fine et bien écrite). Mais le dépaysement est complet (il y a même des dauphins...qui aiment le short de Clooney, ah on se sent moins seul), et un ou deux gags nous ont fait sourire (quand ils échangent de chambre à la va-vite, quand ils s'envoient des vacheries), mais malheureusement on s'essouffle très vite sur la durée, la faute à une envie de vacances qui se ressent sur l'ensemble de l'équipe technique (pas de mise en scène, acteurs à deux de tens', gags simplets, fin toute trouvée...). On filme Roberts et Clooney comme deux stars sur la fin, limite ringarde (et ça fait mal au cœur si vous êtes fan), et on repense alors fortement à Marie Sauvion (Télérama) qui avait l'impression qu'on la traitait de "dinosaure" par procuration, ce à quoi on compatit amplement (on a cette sensation que le film nous tend une paire de pantoufles pour suivre en déambulateur le couple de vedettes). Pour notre part, on va enfiler nos baskets et courir après les vrais bons films.
C'est joli Bali. Voilà ce que l'on peut dire de ce film, car l'histoire est niaise, j'espère que G et J se sont amusés, ont reçu un bon salaire car nous , bof.
Film plaisant sans grande surprise. L'histoire écrite d'avance à l'avantage de mettre en scène 2 grands acteurs qui apportent leurs malices. Pour le reste, on est loin du paradis...
Les vieilles recettes de Rom’Com’ de Working Title font toujours mouche mais, avec le matériel mis à disposition (George Clooney / Julia Roberts et les paysages de Bali et/ou de l’Australie), on aurait pu attendre encore mieux. C’est trop facile côté scénario et la nouvelle coqueluche Frenchie des américains, Lucas Bravo, est mise à toutes les sauces des gags à ses dépens. En somme, un film honnête mais qui ne restera pas dans ma mémoire comme peuvent encore y être « Quatre mariage et un enterrement » (Four Weddings and a Funeral, 1994), « Coup de Foudre à Notting Hill » (Notting Hill, 1999), « Le Journal de Bridget Jones » (Bridget Jones’s Diary, 2001), « Love Actually » (2003) ou « Il était temps » (About Time, 2013), 5 œuvres du scénariste Richard Curtis. Pour monter au paradis de la comédie romantique, mieux vaut faire appel à un scénariste de talent…