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Le film d’Ol Parker, délicieuse comédie du remariage tendance «screwball», est aussi rigoureusement drôle que ses duettistes virtuoses, Julia Roberts et George Clooney.
La critique complète est disponible sur le site Libération
C'est un bonheur de voir George Clooney et Julia Roberts se chamailler et jongler entre l'autodérision et l'émotion dans cette comédie romantique sur les relations parents-enfants, même si la trame du film est classique.
Inoffensif, prévisible, mièvre, Ticket To Paradise ne fonctionne que grâce au duo Julia Roberts / George Clooney à la complicité tellement agréable à voir.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Sur le mode Cary Grant-Katharine Hepburn, le couple Clooney-Roberts est très drôle, avec répliques barbelées, sous-entendus méchants, peaux de bananes diverses. Puis la suite s’épuise, et, malgré la beauté des lieux et le piquant des situations, le soufflé retombe.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Variation sous les cocotiers de La Guerre des Rose (1989), de Danny DeVito, le scénario, cousu de fil blanc et qui aurait pu être encore plus méchant, vaut pour la complicité flagrante entre Julia Roberts et George Clooney, en total lâcher-prise.
Sur cette trame, le réalisateur Ol Parker, à qui l’on doit déjà la suite pas fameuse de « Mamma Mia ! », signe un long-métrage faisant la part belle au mièvre. Il reste heureusement Julia Roberts et George Clooney qui, eux, nous livrent un tel festival de pitreries qu’on regrette sincèrement qu’ils ne soient pas de toutes les scènes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Bien sûr, quiconque se risque à aller voir Ticket to Paradise au cinéma sait très bien que la comédie romantique est un genre plus que balisé. Reste qu'une petite touche de folie, de douceur voire d'intelligence aurait bien aidé à rendre la chose plus amusante, et surtout moins anodine et oubliable.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Malgré les faiblesses du scénario et les facilités dont il abuse parfois, malgré le clinquant et les effets ampoulés de la mise en scène, le charme opère.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Résurgence des rom com des années 1990, Ticket to Paradise n’a néanmoins pas la saveur de ces comédies d’antan. L’annonce du retour événement du couple Julia Roberts et George Clooney n’est pas suffisante pour donner de l’attrait à ce film décevant.
Le problème est que le film, bien trop long, esquive en fin de compte son sujet de comédie réjouissant pour passer en mode romance sérieuse sur les choix de vie et leurs lourdes conséquences.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ainsi le spectateur aura-t-il deux romances pour le prix d’une. Deux générations pour un coup de foudre, réitéré dans le cas des plus vieux. Lesquels chargent la barque à plaisir : George Clooney et Julia Roberts, déjà statufiés par leur titre de stars, n’hésitent pas à appuyer les effets.
Cloocloo (sur) joue de son charme à la quasi-Grant, tandis que sa pretty woman (ab) use de son fameux sourire, faute d’un scénario à se mettre sous la dent. Le film ronronne sans tempo ni surprise, hormis celle de les voir obligés de partager la vedette avec une équipe junior singulièrement insipide.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Du beer pong à la boîte de nuit, s’il s’agit de filmer les parents “sans filtre”, ce n’est que pour obtenir des vedettes le seul Graal commercial encore valable : le sourire à un million de dollars, unique aboutissement de chaque séquence, au point que l’on croirait entendre le tiroir-caisse à chaque exhibition dentaire du couple d’Ocean’s Eleven et Ocean’s Twelve.
20 Minutes
Le sourire de la star est un ingrédient majeur du film où sa complicité avec George Clooney fait des étincelles lors d’échanges explosifs.
Libération
Le film d’Ol Parker, délicieuse comédie du remariage tendance «screwball», est aussi rigoureusement drôle que ses duettistes virtuoses, Julia Roberts et George Clooney.
Public
Les gaffes s'enchaînent, les vannes aussi. Le rythme est soutenu. Impossible de s'ennuyer !
Télé Loisirs
C'est un bonheur de voir George Clooney et Julia Roberts se chamailler et jongler entre l'autodérision et l'émotion dans cette comédie romantique sur les relations parents-enfants, même si la trame du film est classique.
Voici
Prévisible et irrésistible, la rom com de l'automne.
CNews
Une comédie romantique portée par deux stars complices, qui séduira les amateurs du genre sans pour autant faire preuve d’une grande originalité.
Closer
George Clooney et Julia Roberts mettent la bonne dose de piquant dans cette rom com par ailleurs très classique.
Filmsactu
Inoffensif, prévisible, mièvre, Ticket To Paradise ne fonctionne que grâce au duo Julia Roberts / George Clooney à la complicité tellement agréable à voir.
GQ
Une comédie romantique artificielle mais inexplicablement charmante.
L'Obs
Sur le mode Cary Grant-Katharine Hepburn, le couple Clooney-Roberts est très drôle, avec répliques barbelées, sous-entendus méchants, peaux de bananes diverses. Puis la suite s’épuise, et, malgré la beauté des lieux et le piquant des situations, le soufflé retombe.
Le Figaro
Le charme opère par moments et le film s'avère plaisant… mais sans surprise.
Le Journal du Dimanche
Variation sous les cocotiers de La Guerre des Rose (1989), de Danny DeVito, le scénario, cousu de fil blanc et qui aurait pu être encore plus méchant, vaut pour la complicité flagrante entre Julia Roberts et George Clooney, en total lâcher-prise.
Le Parisien
Sur cette trame, le réalisateur Ol Parker, à qui l’on doit déjà la suite pas fameuse de « Mamma Mia ! », signe un long-métrage faisant la part belle au mièvre. Il reste heureusement Julia Roberts et George Clooney qui, eux, nous livrent un tel festival de pitreries qu’on regrette sincèrement qu’ils ne soient pas de toutes les scènes.
CinemaTeaser
Une comédie de remariage sous le soleil de Bali pas très fine mais sauvée par le charme mélancolique du duo Roberts-Clooney.
Ecran Large
Bien sûr, quiconque se risque à aller voir Ticket to Paradise au cinéma sait très bien que la comédie romantique est un genre plus que balisé. Reste qu'une petite touche de folie, de douceur voire d'intelligence aurait bien aidé à rendre la chose plus amusante, et surtout moins anodine et oubliable.
Le Monde
Malgré les faiblesses du scénario et les facilités dont il abuse parfois, malgré le clinquant et les effets ampoulés de la mise en scène, le charme opère.
Les Fiches du Cinéma
Résurgence des rom com des années 1990, Ticket to Paradise n’a néanmoins pas la saveur de ces comédies d’antan. L’annonce du retour événement du couple Julia Roberts et George Clooney n’est pas suffisante pour donner de l’attrait à ce film décevant.
Ouest France
Une comédie romantique qui ne se hisse pas à la hauteur de ses acteurs.
Positif
Le scénario pêche davantage encore que l’inexistante mise en scène [...].
Première
Le problème est que le film, bien trop long, esquive en fin de compte son sujet de comédie réjouissant pour passer en mode romance sérieuse sur les choix de vie et leurs lourdes conséquences.
Sud Ouest
Ainsi le spectateur aura-t-il deux romances pour le prix d’une. Deux générations pour un coup de foudre, réitéré dans le cas des plus vieux. Lesquels chargent la barque à plaisir : George Clooney et Julia Roberts, déjà statufiés par leur titre de stars, n’hésitent pas à appuyer les effets.
Télé 7 Jours
[...] ce tandem star nous aurait joliment régalés si la méchanceté mariole n’avait pas si vite fait défaut.
Télérama
Cloocloo (sur) joue de son charme à la quasi-Grant, tandis que sa pretty woman (ab) use de son fameux sourire, faute d’un scénario à se mettre sous la dent. Le film ronronne sans tempo ni surprise, hormis celle de les voir obligés de partager la vedette avec une équipe junior singulièrement insipide.
Cahiers du Cinéma
Du beer pong à la boîte de nuit, s’il s’agit de filmer les parents “sans filtre”, ce n’est que pour obtenir des vedettes le seul Graal commercial encore valable : le sourire à un million de dollars, unique aboutissement de chaque séquence, au point que l’on croirait entendre le tiroir-caisse à chaque exhibition dentaire du couple d’Ocean’s Eleven et Ocean’s Twelve.
Les Echos
Mal écrit, tourné dans des couleurs d'écran de veille, « Ticket to Paradise » a tout du mauvais film lambda, si ce n'est son casting luxueux.