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    Red Rocket
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    Hélène D.
    Hélène D.

    32 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 février 2022
    Je me suis fait avoir par l’affiche aux critiques élogieuses alors qu’on a affaire à un navet. L’histoire d’un acteur porno menteur , drogué qui veut relancer sa carrière avec une jeune de 17 ans. Pathétique et nullissime. Aucun personnage n’est attachant, la bo est inexistante.
    Alexandre Cacheux
    Alexandre Cacheux

    63 abonnés 549 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2022
    Plutôt un documentaire qu'un film.
    Sur l'Amérique de Trump. Abrutie par la télévision, les drogues, l'ignorance et des jobs difficiles et déclassés.
    Misérable, crédule et cruelle.
    Ouverte aux idées simplistes et aux beaux discours.
    Un témoignage implacable mais parfois long sur le déclin de l'Empire Américain.
    Margauxcornetto
    Margauxcornetto

    13 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 février 2022
    J'ai dormi.
    Ps : je dors rarement devant un film.
    Sinon les acteurs sont cools.
    La réalisation est plutot cool aussi j'ai bien aimé la photographie donc le visuel est chouette mais appart ça, le manque de scenario est pas terrible.
    jerome S.d.c.
    jerome S.d.c.

    27 abonnés 130 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 février 2022
    Bien filmé, bien joué, bien rythmé mais un peu en dessous des performances brillantes des précédents films (Tangerine, Florida project). Il reste une bonne fresque sociologique d'américains en dérive, mais on regarde tout cela avec un certain détachement ... peut-être parce qu'il ne s'y passe pas grand chose...
    Ralf Vogel
    Ralf Vogel

    31 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 février 2022
    Film très spécial...histoire d un homme déjanté qui veut vivre se réinsérer malgré son parcours initial... puis l amour inattendu surgit bouleversant son existence et ses repères...mérite d être vu en ce début d année. La bande son est super !
    Christoblog
    Christoblog

    840 abonnés 1 689 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 février 2022
    C'est un raccourci un peu commode de qualifier Sean Baker (Tangerine, The Florida project) de cinéaste des marges du rêve US.

    Il est bien plus que ça : c'est aussi un formidable directeur d'acteurs qui sait donner à sentir l'énergie brute qui peut se dégager d'une situation, d'un caractère ou d'une confrontation.

    Le héros de Red rocket est une ex-star du porno (ce qu'est aussi par ailleurs le formidable Simon Rex, qui joue ce personnage) qui essaye de refaire sa vie dans un bled paumé du Texas, à l'ombre d'une gigantesque usine. Il n'est pas vraiment le bienvenu auprès de son ex femme, mais son énergie débordante et sa gouaille semble l'entraîner irrésistiblement vers une rédemption inespérée.

    Le film est à la fois sombre et acidulé, drôle et touchant, sensuel et déprimant. Il est merveilleusement mis en scène et on ne s'ennuie pas une seconde. L'utilisation des décors naturels est formidable, et mérite à elle seule qu'on se déplace pour ce film.

    Du beau, du grand Sean Baker.
    Stone cold steve austin
    Stone cold steve austin

    16 abonnés 208 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2022
    Rien ne vaut la sensation de rentrer dans une salle de cinéma sans connaître ni le synopsis du film, ni son réalisateur : finalement sans rien savoir, dans une société où nous sommes pourtant abreuvés d'images et de publicités. Cet espèce de petit miracle qui nous pousse parfois vers l'inconnu m'a amené à visionner "Red Rocket" de Sean S. Baker, une véritable révélation. Petit bijou de cinéma indépendant américain, le long-métrage raconte avec humour les déboires de Mikey, une star du porno sans le sous, qui revient dans sa ville natale du Texas retrouver son ex-femme. Conquis par le grain très old school de l'image qui magnifie à merveille mes visions fantasmées de l'Amérique, je l'ai été aussi par cette histoire aussi touchante qu'amusante. Mikey est un véritable clown, très souvent un sale type qui utilise les autres pour s'élèver. On ne peut pourtant s'empêcher d'apprécier sa sincérité et son indécence à tout égard qui apporte de véritables grands moments de cinéma. La complicité qu'a Simon Rex (qui interprète Mikey) avec les autres acteurs est évidente, surtout Suzanna Son qui campe "Strawberry", un patronyme qui en dit long sur son espièglerie et son envie d'ailleurs. La banalité des situations que vivent ces deux personnages que tout oppose (Mikey a 45 ans, Strawberry 18), ces petits instants de vie et de bonheur où Mikey reprend goût aux choses simples, tout est d'une beauté ébouriffante. La narration vient parfois contrebalancer cette douceur par un montage excessivement brutal et provocateur, ainsi que par des scènes où le réalisateur prend un malin plaisir à déboulonner toutes nos attentes. Le point d'orgue étant la séquence finale qui à l'image de l'affiche, s'avère être un délicieux donut aussi croquant à l'extérieur que fondant à l'intérieur.
    1critique
    1critique

    11 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 février 2022
    Mon analyse en vidéo: https://youtu.be/LI6lPz4igRo

    Sorti en salle le 2 Février 2022 en France, et précédé d’une opinion générale largement favorable
    voire laudative, Red Rocket n’entre pas tout à fait en terre inconnue. Remarqué par son long-métrage Florida Project en 2017, le réalisateur Sean Baker, dont on qualifie volontiers les films d’OVNI, a su cristalliser l’attention outre-atlantique par la fraîcheur de sa mise en scène et le ton résolument affranchi de son scénario. Et c’est avec l’étiquette très franco-compatible de comédie cynique et grinçante que Red Rocket fait son immixtion dans l’hexagone. Or, qu’en est-il? Peu de chose. Du moins du côté de l’outrage. Côté mise en scène, on attribuera à Sean Baker une aisance certaine qui tombera trop souvent dans une désinvolture in fine plutôt ordinaire. Pas un mauvais film, mais pas un bon non plus. La comédie américaine survoltée nous laisse dans la tiédeur. Jusqu’à la surchauffe.

    Car la structure du film est taillée à la mesure de Mikey: déchaînée, multi-directionnelle, chaotique,
    spontanée, à l’attention trouble qui tente tant bien que mal à se focaliser – littéralement, à suivre son personnage qu’une surcharge libidineuse entraîne. La pornstar masculine désuette, nourrie au viagra, comme le film l’est à l’elliptique et au short-cut, tente par tous les moyens de s’ouvrir une voie; une ligne de crête existentiel, un horizon. Une stabilité. Mais le court-termisme, le rythme effréné des pulsions et leur caractère ambivalent, n’aspirent à aucun projet durable dans le temps long d’une vie. C’est tout le mal qu’il s’inflige, aux désirs mouvants comme la queue du chien, et tout le mal qu’il inflige autour de lui. **Car Red Rocket est un film dont la préoccupation première est l’éthique. Peut-être l’heuristique.** La confrontation du temps long nécessaire de la sagesse et de la construction personnelle contre les mâchoires du besoin et de la consommation. Et un film sur le déterminisme, sur les chaînes de causalité, contre l’idéologie profondément individualiste d’une Amérique en déclin.

    Cette l’Amérique déchue s’incarne comme le veut la tradition au Texas, état témoin de la ségrégation sociale et économique, marginalité où Sean Baker aime étendre sa filmographie. Ruralité désabusée, championne de la consommation de drogues, campée sur un patriotisme aveugle. Mais aussi l’état de Trump, le vivier de ses électeurs, dont les apparitions télévisuelles font une toile de fond au film. Un Texas du désœuvrement, préoccupé avant tout de ses besoins, c’est-à-dire l’intervalle le plus court de l’existence.

    Mikey est un bad-guy déguisé en mec cool et branché, alimentant le porn-dreaming starifié depuis
    quelques années aux états-unis. Derrière ce nouvel américan-dream se cache un exploitant, maquereau légalisé, ondulant ses belles promesses comme le serpent d’Eden, qui précipitera des jeunes femmes immatures au cœur d’un système marchand où le corps n’est rien qu’une location. Là encore s’agite le feu du besoin: la promesse d’une gloire rapide, d’une célébrité facile -il ne suffit que de donner son corps, le règne du fantasme sur une réalité glauque et destructrice. Et une nouvelle apparition de Trump à la télévision, marchand de rêve où règne le fantasme de la solution facile, écran de fumée sur une réalité glauque et destructrice.

    Mais on ne pourrait réduire Mikey à un simple manipulateur factice. Mikey est avant tout une proie de son système de valeur et de son habitus social. Réalité déformée par une surabondance obscène et pulsionnelle, que le réalisateur excite chez le spectateur dans le décor d’un magasin de donuts: où le trou – du cul, la pénétration, sont des allusions pour qui veut bien les trouver. Un prisme déformant par l’omniprésence de son conditionnement mental chez Mikey: une rousse apparaît comme une ginger, une femme, une fille même, comme une sexe-addict délurée, et rien d’autres. Faute d’aptitude à les concevoir par une autre voie. Le règne de l’imbécilité, et une nouvelle apparition de Trump...

    L’irresponsabilité entraîne de nombreux maux, des réactions en chaîne insoupçonnables et irréversibles. C’est la synthèse de la vie de Mikey, qui après avoir détruit la vie de sa femme, s’évertue à plonger à son insu une jeune fille dans les méandres, et causera un accident de masse par son inconséquence. Accident, réaction en chaîne incontrôlée, qui causera la mort et la réclusion pour son nouvel ami. Un exemple de déterminisme, d’inter-relations entre soi et l’environnement, dans une Amérique individualiste, ultra-libérale, libertarienne, qui promeut le self-made man, à l’opposée de la complexité sociétale où tout est noué. Et une nouvelle apparition de Trump, climato-sceptique cette fois... réaction en chaîne et causalité
    irréversibles?

    L’assertion du self-made man battue en brèche sur le thème de la propriété: nous sommes
    tout autant agent actif qu’agent passif, dans une relation perpétuelle d’exploitant-exploité, de maître et d’esclaves: car enfin le succès de Mikey tient tout autant à ses performances qu’à celles de ses
    partenaires, en témoigne le dialogue sur le l’AVN Award pour la meilleure fellation, Mikey agent de ses rêves de gloires mais esclaves de ses pulsions et de ses choix de vie infondés, une mère et sa fille maître de leur propriété mais dont le libre-arbitre est esclave de l’argent rapporté par Mikey, gang tupacisé, maître su secteur mais pourtant régi par l’autorité de leur maman. Donald Trump maître du monde mais dont le succès appartient davantage à un tournant de l’Histoire qu’à sa propre volonté.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    136 abonnés 1 635 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 février 2022
    Mickey Saber est un vrai looser, mais du type looser magnifique ; de ceux qui parviennent à nous attendrir. Le film commence au moment de son retour dans sa ville natale de l’Amérique profonde après une carrière hollywoodienne de porno star. Il débarque chez son ex-femme, celle avec laquelle il a commencé sa carrière de « comédien », en jean T-shirt, il semble être complétement fauché. Il pourrait rentrer la queue entre les jambes ; mais il est gouailleur, il est d’une audace indécente, il se met dans des histoires rocambolesques pouvant très mal tournées. On comprend que c’est ce comportement qui l’a obligé à quitter L.A. sans un sou.
    Et là dans sa petite ville minable, il tombe sur une jeune serveuse rouquine sexy en diable et qui n’a pas froid aux yeux. Très vite, lui le vainqueur de prix pour ses prestations cinématographiques, se sent pousser des ailes ; il veut faire de la jeune fille la future star du X. Le gars est un vrai chat, toujours à essayer de retomber sur ses pattes ; quitte à se casser quelque fois la gueule. Il est drôle mais aussi pathétique et surtout toxique.
    Et ce type de personnage incarnant l’Amérique profonde des sans grades qui croient encore au rêve américain dont ils sont pourtant les premières victimes est le fonds de commerce de Sean Baker. Son précédent film « Florida Project » avait été une véritable claque par le style et le ton employé qu’il reproduit ici avec autant de fougue. Il livre un cinéma très singulier. Les couleurs claquantes des façades des maisons sont le symbole de l’Amérique joyeuse qui réussit, mais Sean Baker gratte le vernis pour montrer un envers du décor peu glorieux. On peut être dérangé par ce film qui est cru et glauque, mais le second degré est tellement poussé que çà en est surtout drôle et tragique. La super masculinité pourrait choquer les féministes, mais l’outrance est parfois aussi la meilleure façon de dénoncer. Surtout que dans ce film, la jeune fille qu’il destine à devenir la future star du porno est moins victime de cet homme à l’égo surdimensionné et à l’ambition égoïste que d’un système. En effet, il est l’opportunité de sortir de sa médiocrité de bien gagner sa vie et rapidement ; il lui propose le rêve américain et elle y souscrit. Lui reste honnête, c’est le monde qui est malhonnête et les rêves que l’on instille dans les esprits. Et c’est Simon Rex qui s’y colle, est une ex porno star lui-même. Il a un potentiel comique incroyable qu’il exploite à n’en plus pouvoir, il est hyper séducteur et çà contrebalance le côté antipathique de son personnage.
    Sean Baker conserve le ton transgressif de son précédent film pour livrer une histoire qui tourne entre satire et fable réjouissante. A travers ses personnages, il veut montrer aussi la décadence de l’Amérique, mais son propos perd en profondeur par rapport à « Florida Project ». A force d’enchainer les scènes pathétiques, il finit par être répétitif sur la longueur et à devenir auto parodique. C’est une limite à un film hors sentiers battus qui est malgré ce bémol très rafraichissant.
    TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
    🎬 RENGER 📼
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    7 435 abonnés 7 566 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2022
    Mikey Saber, ex-pornstar, est de retour à Texas City, sa ville natale. Looser pathétique, il n’a pas gardé un seul ami, tous le déconsidèrent, sans argent, il n’a d’autre choix que de retourner vivre chez son ex-femme et sa belle-mère. Pour tenter de rebondir et se faire un peu d’argent, il tente tant bien que mal de trouver un travail…

    Sean Baker (The Florida Project - 2017) continue de s’intéresser à « l’Amérique white trash » en nous emmenant à la rencontre d’un looser sans pareil (manipulateur, égoïste & mythomane), qui cache bien son jeu car sous ses airs de pote je-m’en-foutiste, se cache en réalité un « suitcase pimp », un proxénète qui, sans la moindre gêne, s’est fait du blé sur le dos de sa compagne (elle aussi issue du milieu pornographique) et qui tente de faire de même avec une adolescente qu’il va tenter d’embrigader. Entre débrouille, trafic de drogue et prostitution, cet antihéros va exploiter les failles et les faiblesses de celles et ceux qui l’entourent et ce, sans le moindre scrupule.

    Red Rocket (2021) est une brillante immersion dans une Amérique que l’on ne voit que trop rarement au cinéma, celle des classes moyennes & précaires qui s’abreuvent des discours de Donald Trump (avant son avènement à la présidence des États-Unis en 2016), dans un Texas de laissés pour compte, en pleine déchéance. Texas City est une ville qui ne survie que grâce à son imposante raffinerie (elle est quasiment présente dans tous les plans, qu’on la voit ou qu’on l’entende, notamment avec cette alarme qui ne cesse de retentir).

    A la distribution, on retrouve Simon Rex, peu voire pas connu du grand public, ce dernier a fait ses premières armes (comme son personnage) dans le cinéma pornographique (gay), avant de s’orienter vers le cinéma dit "grand public" à travers notamment quelques comédies parodiques (Scary Movie 3, 4 & 5). Il est bien évidemment la révélation du film, il campe à merveille ce looser pathétique (que l’on peine à détester). A ses côtés, on retrouve aussi Bree Elrod et la ravissante Suzanna Son.

    Sean Baker dresse ici un magnifique portrait d’une Amérique en désuétude, les oubliés du rêve américain, exploités par un arnaqueur à la masculinité toxique, superbement campé par un Simon Rex exécrable mais pas détestable. Un personnage haut en couleur qu’il parvient à magnifier par sa présence et son charisme.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    sentenza
    sentenza

    18 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 octobre 2022
    L'Amérique des déshérités est de nouveau mise en scène par Sean Baker dans un récit poussif et répétitif autour d'un héros, bien interprété et incarné par Simon Rex, mais dont on n'arrive finalement pas à s'attacher et qui s'essouffle durant plus de 2h de film.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    183 abonnés 1 171 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 février 2022
    Un acteur x rejeté par son milieu et la Cité des Anges revient la queue entre les jambes dans son Texas natal où personne ne l'attend vraiment. Film sur les laissés pour compte de l'American Dream, leurs maisons en fétu de paille, leur absence de soins dentaires, leurs suicides lents à la drogue et alcool bas de gamme. Sean Baker signe une œuvre vive et pop aux couleurs acidulées qui ont du mal à cacher le mal qui rampe sous le vernis bon marché. Un bon film sur la masculinité toxique.
    M_wombat
    M_wombat

    22 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 février 2022
    2 heures dans le tréfond du Texas avec des personnages et un décor "post-apocalyptique" mais le scénario du film nous sort de cette morosité avec un personnage principal égoiste/narcissique....et une ingénue...ou pas. Un casting sans faute
    Marie-Laure S
    Marie-Laure S

    8 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 février 2022
    Long, scénario faible, sujets de fond à peine abordés, zéro émotion. J'ai perdu 2h10. En fait, je ne vois guère l'intérêt de ce film, hormis le portrait longuet d'une certaine Amérique.
    Ann Ponthieu
    Ann Ponthieu

    4 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2022
    Une plongée dans le Texas très bien menée, qui marque et reste en mémoire. Vraiment très bien. Les acteurs sont parfaits pour incarner ces personnages bien écrits. Je recommande !
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