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    Red Rocket
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    Guillaume
    Guillaume

    117 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 juin 2022
    Portait acide d'une Amérique euthanasiée par de ses fausses certitudes, à commencer par celle de la toute puissance du mâle (blanc) alpha.
    Corrosif donc, voir borderline, "Red Rocket" ne peut que susciter débats et contradictions. Évident sur le fond, mais maladroit sur la forme, entre longueurs et seconds rôles à la dérangeante caricature.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 405 abonnés 4 251 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juin 2022
    Sept ans après “Tangerine “et cinq ans après “The Florida project”, Sean Baker revient avec une nouvelle comédie pop et déjantée. “Red Rocket” suit un raté, ex-star pornstar à Los Angeles, obligé de revenir vivre chez son ex-femme et belle-mère sans un sou et sans travail. Pour se donner un semblant de vie, Miley drague une très jeune vendeuse de donuts et reprend ses vieilles combines de dealer pour payer le loyer. Mais si il a bien un cinéma dans lequel il est bon d’être un looser, c’est bien celui de Sean Baker. Le méprisable et ignoble Miley est ici un charismatique délaissé à qui on veut donner de l’attention. Entre naïveté et manipulation, le personnage crève l’écran. “Red Rocket” est le portrait fascinant et satirique d’un pathétique beauf.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Marc L.
    Marc L.

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 juin 2022
    On y un ex acteur porno plutôt dans la quarantaine, draguer, séduire et coucher avec une gamine de 18;
    LA CLASSE QUOI
    Sosa
    Sosa

    9 abonnés 372 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 avril 2022
    Un personnage, que l'on ne peut aimer sincèrement, il a des défauts, loin d'être tout blanc. c'est un salaire.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    145 abonnés 2 441 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mars 2022
    L'ambiance est guillerette, les interprètes enthousiastes mais l'histoire tourne quand même en rond.
    eldarkstone
    eldarkstone

    232 abonnés 2 108 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mars 2022
    Pas mal. Une comédie dramatique qui joue aussi sur le social, avec un bon acteur. Quelques scènes et dialogues légèrement trop longs, mais c'est intéressant !
    Thierry13
    Thierry13

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 mars 2022
    Un petit ovni comme souvent dans ce genre de film le casting est extraordinaire
    Et les acteurs jouent au top.
    Surtout à ne pas manquer.
    mat niro
    mat niro

    365 abonnés 1 845 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mars 2022
    Egocentrique, vantard, mythomane ou lâche, voila comment l'on pourrait qualifier le personnage incarné par l'excellent Simon Rex. De retour chez sa mère et sa femme au Texas, Mickey a mis à profit ses attributs physiques pour faire une carrière à Los Angeles dans le porno, mais il est désormais sur la paille. A travers ce loser irritant, Sean Baker choisit l'humour pour dépeindre la nouvelle vie de Mickey à travers ses petits trafics et sa rencontre avec la jolie serveuse de Donuts (Suzanna Son). C'est très bavard, à l'image de son personnage principal, avec des scènes et des propos assez crus, et la durée du film est un poil trop longue Sinon. Simon Rex illumine, ou agace par moments, dans cette oeuvre grâce à sa prestation avec comme toile de fond les laissés-pour-compte de l'Amérique Trumpiste. Film plus engagé qu'il n'y paraît.
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    350 abonnés 678 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2022
    ATTENTION !!! FILM HAUTEMENT RECOMMANDABLE ET POTENTIELLEMENT INFLAMMABLE
    Sorti ce jour sur nos écrans « Red Rocket » réussit le pari de faire voler en éclat certains des mythes du cinéma américain.
    Synopsis : Mikey Saber revient dans sa ville natale du Texas après des années de carrière de pornstar à Los Angeles. Il n'y est pas vraiment le bienvenu... Sans argent, sans emploi, il doit retourner vivre chez son ex-femme et sa belle-mère… Pour payer son loyer, il reprend ses petites combines mais une rencontre va lui donner l’espoir d’un nouveau départ.
    A partir de ce pitch, Sean Baker grand habitué des histoires de paumés (parfois magnifiques) qui peuplent les arrière-cour de l’Amérique triomphante nous repeint à la sulfateuse et avec ce qu’il faut de teintes bonbons l’électorat Trumpiste.
    Une Amérique ou l’ « Arnaqueur » vend de l’herbe aux ouvriers des raffineries de pétrole et rêve de lancer dans le pornos une « Lolita » qui en connaît déjà plus sur le sexe que les générations précédentes.
    Ici on prétend être ce que l’on n’est pas et on espère devenir ce que l’on ne sera jamais. Les mères sniffent du crack tout en rabrouant ceux qui ne font pas leur vaisselle, les jeunes se baladent en fausse veste militaire pour faire croire qu’ils sont vétérans et tout ce beau monde se divertit en regardant les saillies de Donald Trump sur les télévisions allumées quasiment non-stop.
    On pense beaucoup à Larry Clark mais également aux frères Farrelly pour l’énormité de certaines situations qui si elles n’étaient pas si glauques prêteraient à rire de bon cœur.
    Du grand cinéma indépendant américain
    Bérengère P.
    Bérengère P.

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 mars 2022
    J'ai attribué une demi-étoile à ce "film", mais j'aurais pu n'en mettre aucune, tant sa vacuité est la seule chose qu'il me reste à l'esprit à la suite de ces 2 heures interminables. Avec (vraiment) beaucoup d'imagination, peut-être pourrait-on tenter d'entrevoir dans son scénario un portrait de l'Amérique Texane pré-années Trump, avec son lot de misère sociale de tous ordres et ses laissés-pour-compte sur le bas-côté du rêve américain. En réalité, le peu qui ressort de ce film, c'est qu'il s'agit d'un ramassis de clichés machistes, capitalistes et antiféministes (cette pseudo idylle entre le raté Mickey Saber de 40 ans et la pourtant douée "Strawberry" de même pas 18 laisse sans voix, tant celle-ci apparaît rétrograde et malheureusement si conventionnelle d'un point de vue sociétal), le tout d'une lourdeur sans égale et sans épaisseur quelconque. En résumé, l'un des pires films qu'il m'ait été donné de voir (le regard bien souvent dans le vague pour tenter de penser à autre chose), d'une idiotie rarement filmée au cinéma. Le générique de fin, abrupt et sans bande-son, est à l'image de ce film : une erreur.
    Sylwish
    Sylwish

    9 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 février 2022
    Le portrait féroce d'un désaxé de l'Amérique profonde. Tous plus losers les uns que les autres, les personnages vivent dans la torpeur d'un quotidien en stagnation : ils regardent la télévision, font l'amour, se trompent, se droguent. On les suit, guidé par l'œil bienveillant et pétillant de Sean Baker. On ne les déteste pas, ces personnages. On les plaindrait presque. Ils sont attachants, ces adultes qui n'en sont pas vraiment. Les situations, parfois tout sauf réalistes, restent crédibles - et c'est là le génie du réalisateur. Son regard fait mouche. Le Texas est filmé dans toute sa chaleur, sa lourdeur, sa désolation. La photographie, les couleurs sont superbes, mais les paysages eux-mêmes peinent à faire rêver. Mikey Saber, notre héros, parle vite, parle trop, parle tout le temps. On suit ses errances quotidiennes, diurnes et nocturnes, on croit deviner ses combines foireuses, on croit entrevoir les intentions des protagonistes, et on se trompe. Sean Baker nous surprend avec un récit tenu qui s'autorise quelques pas de côté. On ne sait jamais à quoi s'attendre. On rit beaucoup, les personnages, profondément bons, sont plein de surprises. Pouvait-on en attendre moins de la part du réalisateur qui nous avait déjà régalé d'un Tangerine explosif en 2015 et du fabuleux conte en couleurs, The Florida Project, en 2017? Pour ne citer qu'eux ! C'est certain : Sean filme mieux que personne les paumés des États-Unis... et on a hâte d'en voir d'autres.
    Leïla T.
    Leïla T.

    73 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 février 2022
    Film indépendant américain a faible budget (1M$) qui a été en Selection Officielle Cannes 2021! Ma Palme d'Or ! Très drôle et subtile.
    Un ancien acteur porno d'Hollywood revient dans sa petite ville natale du Texas pour reprendre une vie "normale"... dans une société américaine où tout le monde se drogue (les blancs comme les noirs) pour supporter la médiocrité d'une réalité animée par cette valeur - qui tourne a vide - de la performance. Perf. physique, perf. Intellectuelle, rentabilité, donner un prix a tout, vendre tout, corrompre tout jusqu'au sacré : quel est le prix de la beauté de l'adolescence ? Inestimable. Nous rappelle Sean Backer. C'est hors champs du capitalisme. Meme si ce dernier fait tout pour le récupérer... malheureusement.
    AZZZO
    AZZZO

    309 abonnés 823 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2022
    Le décor est planté dès la première scène du film : on est au coeur du Texas, dans l'Amérique profonde, chez les ploucs, les "redneck" et on comprend immédiatement que Mikey n'est pas qu'un loser, c'est un aimant à emmerdes. On devine ce qui va arriver, tout est limpide, et c'est la volonté de Sean Baker. Car derrière cette histoire de bonimenteur qui n'ait mu que par le désir de satisfaction de ses désirs primaires : le sexe, l'argent et la gloire, il y a une description cinglante de l'Amérique contemporaine.
    L'action se passe en 2016, pendant la campagne électorale, et les seuls échos du reste du monde viennent de la télé et de la radio par la voix de Donald Trump. Ici, l'arnaqueur se prénomme Mikey, il est resté bloqué au stade du moi et ne cherche qu'à manipuler son entourage pour son unique profit. Le talent de San Baker est de décrire la folie de cette Amérique sans simplification ni explicite. Si Mikey, petit Trump de province, est méprisable, les Américains qu'il arnaque le sont tout autant : gentils mais naïfs, ils se laissent faire et en redemandent !
    C'est un film politique rythmé, atypique, qui critique l'Amérique moderne en évitant les pièges de l'explicite et de la facilité. Brillant.
    Ludovic Centonze
    Ludovic Centonze

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2022
    Le cinéma indépendant américain sort de très grand film poisseux mais dingue... dés acteurs et actrices d'un très grand talent
    Jean-Pierre B.
    Jean-Pierre B.

    5 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 février 2022
    Ce portrait d'une ex-star du porno qui cherche à trouver sa place dans la société ne m'a pas vraiment convaincu. Si l'acteur principal, issu lui-même de ce système, offre une interprétation juste ; l'histoire me semble déjà vue et revue. Le scénario ne met pas en valeur chaque personnage en jouant grossièrement avec les stéréotypes. Au final, je me suis pas mal ennuyé en le regardant.
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