Note moyenne
2,7
15 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
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Le Parisien
Sur un scénario plus qu'improbable, ce troisième long-métrage de Dominic Sena (60 Secondes chrono) est un assez bon thriller, rondement mené et qui ne se prend jamais au sérieux.
L'Express
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MCinéma.com
Avec des personnages mystérieux, une description intéressante de l'environnement opaque de la « cyber-criminalité », de nombreuses scènes d'action bien rythmées, et malgré une féminité mise en lumière de manière caricaturale, Opération Espadon est un thriller efficace.
Première
Rythmé par des scènes d'action aussi spectaculaires qu'extravagantes, le scénario se voudrait sophistiqué mais, au bout du compte, il est surtout absurde, limite débile, et baigne dans une amoralité crasse.
Studio Magazine
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Aden
Se noyant dans les références (Clint Eastwood) et la recherche d'un happy end qui n'en serait pas un (comment faire gagner les méchants sans faire perdre les gentils ? ), le film tourne à l'eau de boudin politiquement inquiétante et cinématographiquement bidon.
Cinopsis.com
(...) très vite le film prend le pas sur les dénonciations, rentrant très vite dans le rang et développe une morale aussi crasse qu'écœurante… pourtant, et là est le malheur, la technique suit bien !
L'Obs
Tape-à-l'oeil et voyeurisme sont de rigueur dans un déluge épuisant pour l'oeil comme pour l'oreille qui masque mal les carences d'une intrigue tarabiscotée aux relents idéologiques parfois nauséabonds.
Le Monde
En se plaçant sous le patronage de Lumet et Spielberg, Dominic Sena se couvre de ridicule.
Le Point
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Les Inrockuptibles
Enième thriller high-tech, Opération espadon distille un ennui tenace. Brouillon et confus dans la forme, le film ne l'est pas moins dans ce qu'il raconte (...). Un très mauvais pop-corn movie.
Télérama
Le réalisateur semble décidé à pulvériser les limites du spectaculaire : cascades (soit !), courses-poursuites (re-soit !) mais aussi explosion d'enfants otages transformés en bombes humaines. Là, ce n'est plus la nullité des scénaristes qui est en cause, c'est leur cynisme.
Urbuz
Dans cette histoire de Hacker sur la touche embarqué dans un gang de terroristes mené par un Travolta parodiant son interprétation de Castor Troy dans Volte/Face, peu importe les tenants et aboutissants de l'intrigue.