Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec Belfast, Kenneth Branagh a réussi son Roma. Il n’est pas interdit de songer aux Quatre Cents Coups et à Hope and Glory, de Boorman. L’autobiographie saute aux yeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Ce grand film en noir et blanc, bardé de nominations pour les prochains Oscars, Kenneth Branagh l’a voulu aussi irlandais que possible. Tout respire Belfast dans ce film, jusqu’à la musique - Branagh y tenait, signée du vétéran Van Morrison, natif et figure de la ville, dont la voix extraordinaire et inimitable rythme le récit.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Emilie Leonie
Cette chronique intimiste est d'une puissance aussi éclatante que désarmante.
CNews
par La rédaction
Si on a autant aimé « Belfast », dont l’univers visuel rappelle le travail d’Henri Cartier-Bresson, c’est aussi parce que la mise en scène est enlevée, millimétrée, et la photographie splendide.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
"Belfast" vibre d’un plaisir évident de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Femme Actuelle
par La Rédaction
La force du film tient dans cette tension entre la nostalgie de l'enfance, la grâce mélancolique de l'image (des plans superbes !), et la violence qui menace constamment.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un très beau film.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Kenneth Branagh confectionne un émouvant recueil de souvenirs fantasmés (et autobiographiques) dans un Belfast meurtri par les « troubles ».
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par B.T.
Une sorte de Billy Elliot version irlandaise, à la fois tendre et drôle, porté par des acteurs lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
L'acteur réalisateur irlandais revient avec une évocation autobiographique des premières années de la guerre civile. Un film touchant que l'actualité européenne récente vient soudain sublimer.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Thierry Chèze
Un film non exempt de maladresses mais aussi attachant que touchant.
Positif
par Eithne O’Neill
Sir Kenneth Branagh, fils de Belfast, prouve que le spectacle est toujours son royaume.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Ce que son Belfast raconte, le message qu'il veut faire passer à travers lui, restent plus forts que la méthode pour y parvenir (...).
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Le cinéaste trouve, dans le jeune et craquant Jude Hill, un alter ego absolument fabuleux. Nostalgique et pétillante, sa chronique intime, à la recherche du temps perdu, est une très jolie surprise.
Télérama
par Louis Guichard
Plus le film avance, plus il emprunte aux genres de cinéma entraperçus dans les salles de Belfast en 1969. Un numéro de comédie musicale interprété par ces parents de fiction s’insère donc parfaitement parmi les dernières scènes, au son d’un tube éloquent de la fin des années 60 : Everlasting Love.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un chaos qui bouleverse la famille protestante de Buddy, et que le cinéaste-acteur Shakespearien nous fait vivre avec sensibilité et sincérité (...).
L'Obs
par Nicolas Schaller
Filmée de son point de vue de gamin, dans un noir et blanc somptueux qui se teinte de couleurs lorsqu’il se rend au cinéma ou au théâtre, la chronique pâtit d’un montage vibrionnant et d’incessants effets de manche. S’en dégagent néanmoins une chaleur, de la nostalgie et un amour pour les personnages (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Habitué des superproductions hollywoodiennes, l’acteur et réalisateur britannique signe un film plus personnel sur son enfance à Belfast. (...) cette chronique très léchée de la violence du conflit nord-irlandais vue à travers l’imaginaire d’un enfant ne retrouve pas le charme de ses premières réalisations.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Un portrait sensible et sincère de l’enfance, malgré la fragilité de l’ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Sophie Avon
Kenneth Branagh filme le Belfast de son enfance et l’histoire de Buddy, 9 ans, très inspiré du petit garçon qu’il fut au moment où sa vie bascula à cause d’une guerre civile.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Convenu et joliment filmé, le récit intimiste et familial de Kenneth Branagh sur fond de guerre civile en Irlande, tranche avec le cinéma généralement plus grandiloquent auquel nous a habitués le réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Valentin Denis
Si le film délivre parfois quelques idées inventives, il s’en remet à des stéréotypes souvent embarrassants.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Fondamentalement honnête, parfois touchant, Belfast défaillit cependant à être un geste de cinéma marquant du fait de son caractère profondément scolaire, nous faisant considérer avec nostalgie le cinéaste baroque que pouvait être Kenneth Branagh dans les années 90.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Le récit autobiographique est tiraillé entre le roman d'une guerre civile et la tentation du journal intime qui veut tout raconter.
Libération
par Léo Soesanto
Si la sincérité de Branagh est indéniable, elle recouvre tout début d’amertume sous des montagnes de sucre. Buddy est mignon, sa famille est mignonne et tout dépendra du degré de tolérance au glucose du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Appliqué, Branagh a la naïveté de croire qu’il suffit d’entrelacer mécaniquement deux tonalités contraires pour toucher à la profondeur de la vie et donner une gravité aux petits riens qui la composent.
Les Inrockuptibles
par Theo Ribeton
Belfast apparaît plus garni d’effets de formatage que n’importe quel produit de grande exploitation – il s’agit d'un formatage d’un autre rayon, celui du cinéma d’auteur de luxe.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Gael Golhen
Belfast est un film safe et sans grande substance, un cocon rassurant qui peut réchauffer ou irriter selon votre humeur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
Avec Belfast, Kenneth Branagh a réussi son Roma. Il n’est pas interdit de songer aux Quatre Cents Coups et à Hope and Glory, de Boorman. L’autobiographie saute aux yeux.
Le Parisien
Ce grand film en noir et blanc, bardé de nominations pour les prochains Oscars, Kenneth Branagh l’a voulu aussi irlandais que possible. Tout respire Belfast dans ce film, jusqu’à la musique - Branagh y tenait, signée du vétéran Van Morrison, natif et figure de la ville, dont la voix extraordinaire et inimitable rythme le récit.
Télé Loisirs
Cette chronique intimiste est d'une puissance aussi éclatante que désarmante.
CNews
Si on a autant aimé « Belfast », dont l’univers visuel rappelle le travail d’Henri Cartier-Bresson, c’est aussi parce que la mise en scène est enlevée, millimétrée, et la photographie splendide.
CinemaTeaser
"Belfast" vibre d’un plaisir évident de mise en scène.
Femme Actuelle
La force du film tient dans cette tension entre la nostalgie de l'enfance, la grâce mélancolique de l'image (des plans superbes !), et la violence qui menace constamment.
Franceinfo Culture
Un très beau film.
La Voix du Nord
Kenneth Branagh confectionne un émouvant recueil de souvenirs fantasmés (et autobiographiques) dans un Belfast meurtri par les « troubles ».
Le Journal du Dimanche
Une sorte de Billy Elliot version irlandaise, à la fois tendre et drôle, porté par des acteurs lumineux.
Les Echos
L'acteur réalisateur irlandais revient avec une évocation autobiographique des premières années de la guerre civile. Un film touchant que l'actualité européenne récente vient soudain sublimer.
Ouest France
Un film non exempt de maladresses mais aussi attachant que touchant.
Positif
Sir Kenneth Branagh, fils de Belfast, prouve que le spectacle est toujours son royaume.
Rolling Stone
Ce que son Belfast raconte, le message qu'il veut faire passer à travers lui, restent plus forts que la méthode pour y parvenir (...).
Télé 7 Jours
Le cinéaste trouve, dans le jeune et craquant Jude Hill, un alter ego absolument fabuleux. Nostalgique et pétillante, sa chronique intime, à la recherche du temps perdu, est une très jolie surprise.
Télérama
Plus le film avance, plus il emprunte aux genres de cinéma entraperçus dans les salles de Belfast en 1969. Un numéro de comédie musicale interprété par ces parents de fiction s’insère donc parfaitement parmi les dernières scènes, au son d’un tube éloquent de la fin des années 60 : Everlasting Love.
Voici
Un chaos qui bouleverse la famille protestante de Buddy, et que le cinéaste-acteur Shakespearien nous fait vivre avec sensibilité et sincérité (...).
L'Obs
Filmée de son point de vue de gamin, dans un noir et blanc somptueux qui se teinte de couleurs lorsqu’il se rend au cinéma ou au théâtre, la chronique pâtit d’un montage vibrionnant et d’incessants effets de manche. S’en dégagent néanmoins une chaleur, de la nostalgie et un amour pour les personnages (...).
La Croix
Habitué des superproductions hollywoodiennes, l’acteur et réalisateur britannique signe un film plus personnel sur son enfance à Belfast. (...) cette chronique très léchée de la violence du conflit nord-irlandais vue à travers l’imaginaire d’un enfant ne retrouve pas le charme de ses premières réalisations.
Les Fiches du Cinéma
Un portrait sensible et sincère de l’enfance, malgré la fragilité de l’ensemble.
Sud Ouest
Kenneth Branagh filme le Belfast de son enfance et l’histoire de Buddy, 9 ans, très inspiré du petit garçon qu’il fut au moment où sa vie bascula à cause d’une guerre civile.
aVoir-aLire.com
Convenu et joliment filmé, le récit intimiste et familial de Kenneth Branagh sur fond de guerre civile en Irlande, tranche avec le cinéma généralement plus grandiloquent auquel nous a habitués le réalisateur.
Critikat.com
Si le film délivre parfois quelques idées inventives, il s’en remet à des stéréotypes souvent embarrassants.
Culturopoing.com
Fondamentalement honnête, parfois touchant, Belfast défaillit cependant à être un geste de cinéma marquant du fait de son caractère profondément scolaire, nous faisant considérer avec nostalgie le cinéaste baroque que pouvait être Kenneth Branagh dans les années 90.
Le Monde
Le récit autobiographique est tiraillé entre le roman d'une guerre civile et la tentation du journal intime qui veut tout raconter.
Libération
Si la sincérité de Branagh est indéniable, elle recouvre tout début d’amertume sous des montagnes de sucre. Buddy est mignon, sa famille est mignonne et tout dépendra du degré de tolérance au glucose du spectateur.
Cahiers du Cinéma
Appliqué, Branagh a la naïveté de croire qu’il suffit d’entrelacer mécaniquement deux tonalités contraires pour toucher à la profondeur de la vie et donner une gravité aux petits riens qui la composent.
Les Inrockuptibles
Belfast apparaît plus garni d’effets de formatage que n’importe quel produit de grande exploitation – il s’agit d'un formatage d’un autre rayon, celui du cinéma d’auteur de luxe.
Première
Belfast est un film safe et sans grande substance, un cocon rassurant qui peut réchauffer ou irriter selon votre humeur.