Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cine Libre
par Philippe leclerqc
Film d'amour et de réhabilitation, Laissez-passer est à l'image de son metteur en scène : emporté, courageux, fougueux en même temps que raisonné, cultivé, méandreux.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Julien Vernor
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
Le résultat est un film à l'ambition évidente mais discrète, ni poussiéreux ni clinquant, simplement moderne, un très beau film qu'il ne faut surtout pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
(...) Laissez-passer est aussi un bel hommage aux artisants du cinéma, une sorte de tendre Carosse d'or, dans lequel Tavernier avoue là sa passion pour la métier qu'il exerce. Une confession intime en quelque sorte.
Studio Magazine
par Jean-Luc Levesque
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Alexandre Boussageon
(...) Bertrand Tavernier hurle son amour et sa compassion pour ceux et celles, réalisateurs, techniciens, scénaristes, comédiens, qui refusèrent de renoncer à leur art malgré l'oppression nazie.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par N.T Binh
L'image fluide et somptueuse signée Alain Choquart, les dialogues cinglants de Jean Cosmos contribuent largement à cette magnifique réussite qui, malgré sa durée, passe comme un éclair.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
MCinéma.com
par Rémy Batteault et Olivier Pélisson
Même s'il est un peu long (l'interminable séquence de Jean Devaivre "enlevé" par les Anglais semble disproportionnée au regard de l'intrigue), on se laisse toutefois gagner par la fluidité de la mise en scène et par... l'intensité de la passion du cinéaste !
Novaplanet.com
par Alex Masson
Bertrand Tavernier décrit les coulisses du cinéma français sous la collaboration au travers des souvenirs d'un cinéaste et d'un scénariste bien réels (Jean Devaivre et Jean Aurenche). Reste à savoir de qui, de l'époque ou de ces hommes, il dresse l'hommage.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Première
par Olivier De Bruyn
Malgré son sujet austère, Tavernier ne semble s'être jamais autant amusé à filmer une intrigue. Intrigue devenue par la grâce de son script, incroyablement riche en soubresauts tragi-comiques.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Tavernier restitue la vie quotidienne des gens de cinéma, comme s'il était au milieu d'eux, avec eux, en complète connivence. C'est sa manière de rendre hommage à ceux qui, dans les pires difficultés, ont contribué à un paradoxal âge d'or du cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Sur les plateaux, dans les bureaux, ces gens-là croisent Henri-Georges Clouzot (...), André Cayatte, Michel Simon..., et sont amenés à côtoyer Fernandel, Danielle Darrieux ou Raimu... Mais Tavernier ne les montre pas, les évoque à peine.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marc Lalanne
La vérité au cinéma n'est pas seulemnt affaire de ressemblance. L'impression de réalité tant recherchée au travers des apparats de la reconstitution ne masque pas pour autant la profonde irréalité du film, voire son caractère profondément mensonger.
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
Avec ce Laissez-passer, Bertrand Tavernier tend (presque) toutes les verges pour se faire battre : son sujet, doublement périlleux (la France sous l'Occupation et, à l'intérieur de cette sombre histoire, le comportement du cinéma français sous tutelle allemande)(...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
Tavernier livre son éloge du cinéma artisanal à la papa. Sa réhabilitation d'une certaine tendance se laisse regarder, sans bouleverser ni convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Denis Rossano
L'espace impossible à combler entre les faits et leur reconstitution,(...) la mélancolie océanique d'un point de vue nécessairement lointain, l'oeil du présent sur le passé perdu, (...) rendant compte de l'étirement proustien des expériences abolies à travers le prisme de la mémoire... Voilà ce qui manque ici, terriblement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par François Gorin
Il y a de bons moments dans Laissez-passer, de bonnes scènes et de bons acteurs. Il y a aussi un beau gâchis. Comme si Bertrand Tavernier voulait faire deux films à la fois, sans arriver à décider auquel il préfère aboutir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Sébastien Chauvin
Une façon d'oublier ce qui dérange vraiment, un système de cache - on brasse les personnes connues (Devaivre, Aurenche, Le Chanois, Tourneur, etc.) mais on évite d'en nommer d'autres (Guitry, Arletty) -, des accumulations de bons mots... Tout cela finit par noyer le film dans l'anecdotique, faute d'enjeux véritables.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Cine Libre
Film d'amour et de réhabilitation, Laissez-passer est à l'image de son metteur en scène : emporté, courageux, fougueux en même temps que raisonné, cultivé, méandreux.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Le résultat est un film à l'ambition évidente mais discrète, ni poussiéreux ni clinquant, simplement moderne, un très beau film qu'il ne faut surtout pas manquer.
Le Figaroscope
(...) Laissez-passer est aussi un bel hommage aux artisants du cinéma, une sorte de tendre Carosse d'or, dans lequel Tavernier avoue là sa passion pour la métier qu'il exerce. Une confession intime en quelque sorte.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) Bertrand Tavernier hurle son amour et sa compassion pour ceux et celles, réalisateurs, techniciens, scénaristes, comédiens, qui refusèrent de renoncer à leur art malgré l'oppression nazie.
Zurban
L'image fluide et somptueuse signée Alain Choquart, les dialogues cinglants de Jean Cosmos contribuent largement à cette magnifique réussite qui, malgré sa durée, passe comme un éclair.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
Même s'il est un peu long (l'interminable séquence de Jean Devaivre "enlevé" par les Anglais semble disproportionnée au regard de l'intrigue), on se laisse toutefois gagner par la fluidité de la mise en scène et par... l'intensité de la passion du cinéaste !
Novaplanet.com
Bertrand Tavernier décrit les coulisses du cinéma français sous la collaboration au travers des souvenirs d'un cinéaste et d'un scénariste bien réels (Jean Devaivre et Jean Aurenche). Reste à savoir de qui, de l'époque ou de ces hommes, il dresse l'hommage.
Première
Malgré son sujet austère, Tavernier ne semble s'être jamais autant amusé à filmer une intrigue. Intrigue devenue par la grâce de son script, incroyablement riche en soubresauts tragi-comiques.
Télérama
Tavernier restitue la vie quotidienne des gens de cinéma, comme s'il était au milieu d'eux, avec eux, en complète connivence. C'est sa manière de rendre hommage à ceux qui, dans les pires difficultés, ont contribué à un paradoxal âge d'or du cinéma français.
Aden
Sur les plateaux, dans les bureaux, ces gens-là croisent Henri-Georges Clouzot (...), André Cayatte, Michel Simon..., et sont amenés à côtoyer Fernandel, Danielle Darrieux ou Raimu... Mais Tavernier ne les montre pas, les évoque à peine.
Cahiers du Cinéma
La vérité au cinéma n'est pas seulemnt affaire de ressemblance. L'impression de réalité tant recherchée au travers des apparats de la reconstitution ne masque pas pour autant la profonde irréalité du film, voire son caractère profondément mensonger.
Chronic'art.com
Avec ce Laissez-passer, Bertrand Tavernier tend (presque) toutes les verges pour se faire battre : son sujet, doublement périlleux (la France sous l'Occupation et, à l'intérieur de cette sombre histoire, le comportement du cinéma français sous tutelle allemande)(...)
Les Inrockuptibles
Tavernier livre son éloge du cinéma artisanal à la papa. Sa réhabilitation d'une certaine tendance se laisse regarder, sans bouleverser ni convaincre.
Libération
L'espace impossible à combler entre les faits et leur reconstitution,(...) la mélancolie océanique d'un point de vue nécessairement lointain, l'oeil du présent sur le passé perdu, (...) rendant compte de l'étirement proustien des expériences abolies à travers le prisme de la mémoire... Voilà ce qui manque ici, terriblement.
Télérama
Il y a de bons moments dans Laissez-passer, de bonnes scènes et de bons acteurs. Il y a aussi un beau gâchis. Comme si Bertrand Tavernier voulait faire deux films à la fois, sans arriver à décider auquel il préfère aboutir.
Urbuz
Une façon d'oublier ce qui dérange vraiment, un système de cache - on brasse les personnes connues (Devaivre, Aurenche, Le Chanois, Tourneur, etc.) mais on évite d'en nommer d'autres (Guitry, Arletty) -, des accumulations de bons mots... Tout cela finit par noyer le film dans l'anecdotique, faute d'enjeux véritables.