Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
La cinéaste refuse le manichéisme en multipliant les interactions entre les personnages aux positions contradictoires, interrogeant par là le spectateur, sans lui imposer une lecture confortable du « prêt à penser » si courante dans le cinéma militant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Jérôme Garcin
De ce débat universel, la réalisatrice madrilène Icíar Bollaín a tiré un grand film politique sur le remords et le pardon, où la réconciliation, même si beaucoup persistent à la refuser, n’est pas une utopie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Couronné de trois Goyas, dont celui de la meilleure interprète féminine attribué à Blanca Portillo, ce film bouleversant décrit la volonté de dialogue de certains terroristes de l’ETA avec les proches des victimes. Et comment cette initiative a préparé le chemin d’une paix jusque-là introuvable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un récit subtil et brillamment incarné.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Iciar Bollain met en scène le dialogue entre un ancien terroriste de l'ETA et la veuve de l'une de ses victimes. Inspiré par des faits réels, le film a marqué les esprits en Espagne.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Exceptionnel dans son message juste et poignant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Thierry Cheze
Un film passionnant sur la notion de pardon.
Positif
par Pierre Eisenreich
Sans complaisance et refusant les morceaux de bravoure, la réalisatrice est parfaitement à l’écoute de ses personnages et de ses acteurs qui délivrent des performances dénuées de psychologisme, car traversées par une véritable émotion.
Transfuge
par Serge Kaganski
Non manichéenne, à l’écoute des raisons de chacun, la cinéaste est parfaitement épaulée dans son travail humaniste par les exceptionnels Blanca Portillo et Luis Tosar.
Télérama
par Frédéric Strauss
À travers ce beau portrait de femme qui veut affronter la vie de victime devenue la sienne quand elle a perdu sa vie de couple, des pistes de réflexion s’ouvrent. Qui peuvent devenir un chemin.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Si le lent rapprochement opéré entre victime et bourreau a quelque chose d’un peu artificiel et fabriqué – une sorte de film-dossier sur le thème “vérité et réconciliation” –, l’écriture à la fois rêche, ample et romanesque de Bollaín sauve assez subtilement Les Repentis de cet horizon de fable cérémonieuse.
Le Figaro
par Benjamin Puech
Un film grave, sans respiration.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Clarisse Fabre
Toujours est-il que Les Repentis, qui vise à faire partager au plus grand nombre l’histoire traumatisante de la lutte armée en Espagne et nous parle de dialogue et de paix, est en soi d’utilité publique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Un plaidoyer humaniste assumé qui ne verse pour autant jamais dans des raccourcis simplistes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
La réalisatrice espagnole Icíar Bollaín rend compte de l’histoire vraie de Maixabel Lasa, dont le mari fut assassiné par ETA en 2000. Un film très fort.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Complexe et ambigu, Les Repentis retrace dans un récit assez linaire le cheminement personnel d’un terroriste de l’ETA vers la reconnaissance de ses crimes vis-à-vis de ses victimes. Intéressant mais un peu trop bavard.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
La cinéaste refuse le manichéisme en multipliant les interactions entre les personnages aux positions contradictoires, interrogeant par là le spectateur, sans lui imposer une lecture confortable du « prêt à penser » si courante dans le cinéma militant.
L'Obs
De ce débat universel, la réalisatrice madrilène Icíar Bollaín a tiré un grand film politique sur le remords et le pardon, où la réconciliation, même si beaucoup persistent à la refuser, n’est pas une utopie.
La Croix
Couronné de trois Goyas, dont celui de la meilleure interprète féminine attribué à Blanca Portillo, ce film bouleversant décrit la volonté de dialogue de certains terroristes de l’ETA avec les proches des victimes. Et comment cette initiative a préparé le chemin d’une paix jusque-là introuvable.
Le Journal du Dimanche
Un récit subtil et brillamment incarné.
Les Echos
Iciar Bollain met en scène le dialogue entre un ancien terroriste de l'ETA et la veuve de l'une de ses victimes. Inspiré par des faits réels, le film a marqué les esprits en Espagne.
Les Fiches du Cinéma
Exceptionnel dans son message juste et poignant.
Ouest France
Un film passionnant sur la notion de pardon.
Positif
Sans complaisance et refusant les morceaux de bravoure, la réalisatrice est parfaitement à l’écoute de ses personnages et de ses acteurs qui délivrent des performances dénuées de psychologisme, car traversées par une véritable émotion.
Transfuge
Non manichéenne, à l’écoute des raisons de chacun, la cinéaste est parfaitement épaulée dans son travail humaniste par les exceptionnels Blanca Portillo et Luis Tosar.
Télérama
À travers ce beau portrait de femme qui veut affronter la vie de victime devenue la sienne quand elle a perdu sa vie de couple, des pistes de réflexion s’ouvrent. Qui peuvent devenir un chemin.
Cahiers du Cinéma
Si le lent rapprochement opéré entre victime et bourreau a quelque chose d’un peu artificiel et fabriqué – une sorte de film-dossier sur le thème “vérité et réconciliation” –, l’écriture à la fois rêche, ample et romanesque de Bollaín sauve assez subtilement Les Repentis de cet horizon de fable cérémonieuse.
Le Figaro
Un film grave, sans respiration.
Le Monde
Toujours est-il que Les Repentis, qui vise à faire partager au plus grand nombre l’histoire traumatisante de la lutte armée en Espagne et nous parle de dialogue et de paix, est en soi d’utilité publique.
Première
Un plaidoyer humaniste assumé qui ne verse pour autant jamais dans des raccourcis simplistes.
Sud Ouest
La réalisatrice espagnole Icíar Bollaín rend compte de l’histoire vraie de Maixabel Lasa, dont le mari fut assassiné par ETA en 2000. Un film très fort.
aVoir-aLire.com
Complexe et ambigu, Les Repentis retrace dans un récit assez linaire le cheminement personnel d’un terroriste de l’ETA vers la reconnaissance de ses crimes vis-à-vis de ses victimes. Intéressant mais un peu trop bavard.