Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
CNews
par La rédaction
Un biopic choc, percutant, intense et parfois drôle sur le parcours incroyable de Giwar Hajabi, alias Xatar, ce voyou devenu une star du rap germanique.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Franceinfo Culture
par Laure Narlian
Débuté sur les chapeaux de roues par un clin d’œil aux films de série B des années 70, le film passe ainsi du drame socio-politique au thriller, de la comédie au film de gangsters et du tragique au burlesque sans jamais perdre son rythme trépidant ni égarer le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par F. F.
Ici, c’est le thème de la rédemption qui guide le récit, avec la possibilité d’une métamorphose grâce à la musique. Le titre – « l’or du Rhin » – est ironique : on n’est pas chez Wagner ni dans la mythologie germanique. Il y a bien de l’or, mais braqué. Il y a de l’espoir, mais dans la culture pop. Du cinéma sous testostérone.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Inconnu au bataillon, le jeune Emilio Sakraya livre une performance électrisante tour à tour charmeur, brutal et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Parisien
par La Rédaction
Résultat, on ne voit pas passer les deux heures vingt passionnantes que dure pourtant cette biographie d’un total inconnu de ce côté-ci du Rhin.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par S.O.
Cette fresque sur trois décennies, sous forte influence des "Affranchis", ne manque pas de souffle ni d'humour et réserve, en prime, de savoureux clins d'œil aux cinéphiles.
Voici
par La Rédaction
Un biopic tragi-comique dopé à l'énergie noire, mais parfois un peu trop complaisant.
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Un vrai-faux biopic qui tarde un peu à trouver son souffle et son point de vue, mais qui, dès qu’il les saisit, s’affranchit des limites du genre pour nous narrer sous forme de parabole narquoise l’ascension improbable d’un caïd un peu bas du front et sans réelle envergure vers les sommets de l’industrie musicale.
Le Figaro
par É.N.
Cette édifiante histoire qui s'étale sur trente ans est menée au pas de charge par un Fatih Akin dont la légèreté n'est pas la qualité principale. Cela donne un film bodybuildé, aux mains d'un Scorsese au petit pied.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Fatih Akin, le réalisateur de « Soul Kitchen », revient avec une fresque musclée et bouillonnante, où le rap rencontre Wagner. Malgré sa plastique datée, « Rheingold » brille d'une indéniable et communicative énergie.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Fatih Akin signe un biopic énergique et divertissant mais un peu trop standardisé, superficiel et dépourvu d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Gaël Golhen
Le cinéaste mélange les genres, les styles, et on passe de la coming of age story au film de casse, de la romance à la fable. Mais Rheingold tient surtout grâce à son acteur surpuissant. La beauté surhumaine et la présence sidérante d’Emilio Sakraya est le véritable trésor de cet Or du Rhin.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Maitrisé et donc moins conventionnel dans son discours que dans son traitement, Rheingold vaut aussi par la performance d’Emilio Sakraya, qui prête ses traits à cet artiste complexe, contradictoire, instable… mais par instants, attachant.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Au lieu de se perdre dans le dédale de ses mauvais coups, Rheingold aurait gagné en intérêt à décrire davantage le musicien et l’homme d’affaires créatif qu’il est devenu.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par J. Ma.
Qu’un tel destin ait pu rencontrer le goût invétéré de Fatih Akin pour le rentre-dedans n’est pas fait pour étonner. Et que le choc entre ces deux extrêmes, de la réalité et de sa représentation, finisse par s’annuler, voilà qui n’est pas non plus, hélas, une grande surprise.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Frédéric Strauss
Après un début prometteur au Moyen-Orient, où le réalisateur Fatih Akin semble creuser un propos plus politique et plus personnel qui restera sans véritable écho, la déception domine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Zoé Lhuillier
Le dispositif en flash-back, qui remonte à la gestation du bébé Giwar, persécuté depuis sa naissance, s’accompagne d’un changement de formats, qui semble marquer les différents âges du protagoniste : le jeune garçon, le gangster et l’artiste en prison. À cette lourde structure s’ajoute une constante ostentation technique aussi subtile que la description du héros.
Libération
par Sandra Onana
Un film de gangsters sans âme, mash-up qui cumule le pire des tics pseudo-décapants à la Guy Ritchie et des poncifs mollassons de la biographie filmée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CNews
Un biopic choc, percutant, intense et parfois drôle sur le parcours incroyable de Giwar Hajabi, alias Xatar, ce voyou devenu une star du rap germanique.
Franceinfo Culture
Débuté sur les chapeaux de roues par un clin d’œil aux films de série B des années 70, le film passe ainsi du drame socio-politique au thriller, de la comédie au film de gangsters et du tragique au burlesque sans jamais perdre son rythme trépidant ni égarer le spectateur.
L'Obs
Ici, c’est le thème de la rédemption qui guide le récit, avec la possibilité d’une métamorphose grâce à la musique. Le titre – « l’or du Rhin » – est ironique : on n’est pas chez Wagner ni dans la mythologie germanique. Il y a bien de l’or, mais braqué. Il y a de l’espoir, mais dans la culture pop. Du cinéma sous testostérone.
LCI
Inconnu au bataillon, le jeune Emilio Sakraya livre une performance électrisante tour à tour charmeur, brutal et bouleversant.
Le Parisien
Résultat, on ne voit pas passer les deux heures vingt passionnantes que dure pourtant cette biographie d’un total inconnu de ce côté-ci du Rhin.
Télé Loisirs
Cette fresque sur trois décennies, sous forte influence des "Affranchis", ne manque pas de souffle ni d'humour et réserve, en prime, de savoureux clins d'œil aux cinéphiles.
Voici
Un biopic tragi-comique dopé à l'énergie noire, mais parfois un peu trop complaisant.
La Septième Obsession
Un vrai-faux biopic qui tarde un peu à trouver son souffle et son point de vue, mais qui, dès qu’il les saisit, s’affranchit des limites du genre pour nous narrer sous forme de parabole narquoise l’ascension improbable d’un caïd un peu bas du front et sans réelle envergure vers les sommets de l’industrie musicale.
Le Figaro
Cette édifiante histoire qui s'étale sur trente ans est menée au pas de charge par un Fatih Akin dont la légèreté n'est pas la qualité principale. Cela donne un film bodybuildé, aux mains d'un Scorsese au petit pied.
Les Echos
Fatih Akin, le réalisateur de « Soul Kitchen », revient avec une fresque musclée et bouillonnante, où le rap rencontre Wagner. Malgré sa plastique datée, « Rheingold » brille d'une indéniable et communicative énergie.
Les Fiches du Cinéma
Fatih Akin signe un biopic énergique et divertissant mais un peu trop standardisé, superficiel et dépourvu d’émotion.
Première
Le cinéaste mélange les genres, les styles, et on passe de la coming of age story au film de casse, de la romance à la fable. Mais Rheingold tient surtout grâce à son acteur surpuissant. La beauté surhumaine et la présence sidérante d’Emilio Sakraya est le véritable trésor de cet Or du Rhin.
Sud Ouest
Maitrisé et donc moins conventionnel dans son discours que dans son traitement, Rheingold vaut aussi par la performance d’Emilio Sakraya, qui prête ses traits à cet artiste complexe, contradictoire, instable… mais par instants, attachant.
La Croix
Au lieu de se perdre dans le dédale de ses mauvais coups, Rheingold aurait gagné en intérêt à décrire davantage le musicien et l’homme d’affaires créatif qu’il est devenu.
Le Monde
Qu’un tel destin ait pu rencontrer le goût invétéré de Fatih Akin pour le rentre-dedans n’est pas fait pour étonner. Et que le choc entre ces deux extrêmes, de la réalité et de sa représentation, finisse par s’annuler, voilà qui n’est pas non plus, hélas, une grande surprise.
Télérama
Après un début prometteur au Moyen-Orient, où le réalisateur Fatih Akin semble creuser un propos plus politique et plus personnel qui restera sans véritable écho, la déception domine.
Cahiers du Cinéma
Le dispositif en flash-back, qui remonte à la gestation du bébé Giwar, persécuté depuis sa naissance, s’accompagne d’un changement de formats, qui semble marquer les différents âges du protagoniste : le jeune garçon, le gangster et l’artiste en prison. À cette lourde structure s’ajoute une constante ostentation technique aussi subtile que la description du héros.
Libération
Un film de gangsters sans âme, mash-up qui cumule le pire des tics pseudo-décapants à la Guy Ritchie et des poncifs mollassons de la biographie filmée.