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Séance de rattrapage nécessaire pour ce film qui s'aventure dans la vie de streapteaseuses pour le meilleur et (un peu) le pire. Sans jugement moral mais avec une énorme tendresse, la réalisatrice raconte une histoire de gonzesses (et ce n'est pas péjoratif) où les hommes n'ont pas du tout le premier rôle. Et alors ? Un film social... Sans doute que oui, mais aussi drôle, vif avec une bande-son qui détonne. A voir !
Vraiment intéressant de découvrir ce milieu professionnel, à la frontière du légal. On voit aussi qu'il s'agit d'une forme de substitution à la vraie vie professionnelle envisagée ou aux études, qui peut en fait être plus durable qu'au départ. J'ai bien aimé le film
À bon entendeur, à fuir !
Par où commencer ? Le male gaze ? Le lesbiannisme récréatif ? La nudité gratuite ? Ou les très mauvais dialogues ?
On y apprend plein de choses, déjà que les stripteaseuses font l'amour sur scène. J'aurais pourtant juré que ça ne se passait pas comme ça. Et elles sont payées 10€ de l'heure . Les scènes de strip-tease sont très problématiques tant dans la mise en scène du rapport client/ strip-teaseuse que dans les dialogues. Les scènes entre les stripteaseuses pourraient apporter un regard et une profondeur aux personnages mais ces dernières n'ont de cesse que de parler de leurs clients (sur qui elles fantasment bien évidemment), du policier qu'elles ont dragué pour faire sauter une contravention, ou de leurs petits copains. Ah, cerise sur le pépito, une scène non sous titré en japonais qui n'a d'autre intérêt que de montrer que le personnage principal parle très bien le japonais, d'accord, et bien grand bien lui face !
Par où commencer ? Le male gaze ? Le lesbiannisme récréatif ? La nudité gratuite ? Ou les très mauvais dialogues ?
On y apprend plein de choses, déjà que les stripteaseuses font l'amour sur scène. J'aurais pourtant juré que ça ne se passait pas comme ça. Et elles sont payées 10€ de l'heure . Les scènes de strip-tease sont très problématiques tant dans la mise en scène du rapport client/ strip-teaseuse que dans les dialogues. Les scènes entre les stripteaseuses pourraient apporter un regard et une profondeur aux personnages mais ces dernières n'ont de cesse que de parler de leurs clients (sur qui elles fantasment bien évidemment), du policier qu'elles ont dragué pour faire sauter une contravention, ou de leurs petits copains. Ah, cerise sur le pépito, une scène non sous titré en japonais qui n'a d'autre intérêt que de montrer que le personnage principal parle très bien le japonais, d'accord, et bien grand bien lui face !
Malgré les bonnes intentions, j'ai trouvé la direction artistique assez faible, qu'il s'agisse des décors, de la musique, des costumes. Néanmoins, les comédiennes sont suffisamment charmantes pour tout de même passer un bon moment devant ce film qui ne restera pas dans les annales mais se laisse regarder.
Souvent très maladroit et naïf, c'est aussi très touchant.
C'est également bien meilleur que "La maison", film sorti la même année.
Sans doute le meilleur rôle de Zita Hanrot.
C'est également bien meilleur que "La maison", film sorti la même année.
Sans doute le meilleur rôle de Zita Hanrot.
"A mon seul désir" raconte l'histoire d'une jeune femme qui découvre la magie d'un club de strip-tease. Basculant dans un tout autre monde, la jeune femme apprend les ficelles du métier aux côtés de sa nouvelle amie Mia, qui devient par la suite son amante (Zita Hanrot). L'intrigue du film est bonne. En effet, aborder le sujet d'un club de strip-tease et de la vie qui l'entoure n'est pas facile, mais le film le réalise plutôt bien. Il met en lumière des aspects que beaucoup d'entre nous ignorent, notamment l'amitié, voire même la création d'une famille au sein de ce club. Le film est une réussite visuelle et musicale, restant très érotique sans jamais dépasser la limite de la pornographie. D'autant plus que le film dégage une dimension émotionnelle, car nous ne nous attendions pas à voir des personnages aussi "humanisés", compte tenu de la mauvaise image générale que nous avons des personnes travaillant dans ce métier. Un énorme respect pour Zita Hanrot et Louise Chevilotte pour avoir osé interpréter de tels personnages et aux autres actrices aussi.
Un des pires films que j’ai jamais vu, une histoire ddécrite avec les pieds, et l’acting est juste gênant
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