Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Bande à part
par Benoit Basirico
Lucie Borleteau signe un conte romantique qui donne à voir, avec une énergie communicative et une audacieuse impudeur, l’initiation d’une jeune femme au dévoilement de son corps et de ses sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
Dans cette ode hédoniste à la libération du désir Lucie Borleteau exalte ce même "art de la joie" qu’exprimait Goliarda Sapienza dans son roman éponyme. Combien de films, actuellement, lorsqu’ils approchent le corps et le sexe, peuvent se vanter de nous procurer gaieté et allégresse ? Feel good movie enivrant et charnel, il laisse dans un tel état euphorique que l’on retrouve la lumière du jour comme au sortir d’un songe.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Portrait de troupe, éloge de la sororité, tentative de redéfinition des rapports homme / femme, drame érotique, comédie libertine... Le nouveau film de Lucie Borleteau est un peu tout ça. Mais il est surtout réjouissant d’intelligence, de liberté et de vitalité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Maroussia Dubreuil
Le troisième long métrage de Lucie Borleteau offre une variation ludique sur le plaisir féminin, quelque part entre Showgirls et The Full Monty.
Transfuge
par Serge Kaganski
Dans "À mon seul désir", Lucie Borleteau compose une ode à la liberté érotique, sexuelle et amoureuse.
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
S’il peine à figurer la vivacité du désir et des sentiments, À mon seul désir trouve son point de jouissance dans des jeux de masques où des femmes révèlent plusieurs facettes d’elles‐mêmes et prennent le risque de se réinventer.
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
"À mon seul désir" vaut pour son caractère didactique, les scènes décrivant les différentes prestations et incidents qui peuvent survenir dans un cabaret érotique et la façon dont la sororité que forme ces stripteaseuses est dépeinte.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Sans verser dans la vulgarité ou le mauvais goût, cette fable amoureuse parle de libération du corps et d’exploration du désir avec une sensualité qui affiche une certaine audace et séduit.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Cl. F.
Dans le paysage du cinéma français, qui montre désormais peu le corps féminin par souci de ne pas utiliser les actrices comme des objets, A mon seul désir, de Lucie Borleteau, détonne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le sujet du film, c’est une femme qui passe à travers tous les miroirs sans jamais se salir parce qu’elle ne fait que ce qui lui plaît. Parce qu’elle mène la danse avec les hommes et les femmes, sans agressivité à leur égard, sans haine.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thierry Chèze
Porté par deux actrices épatantes, ce film convainc et séduit par son atmosphère, beaucoup moins par son scénario (...).
Télé 2 semaines
par S.O.
Sans faire l'impasse sur les situations sordides, la réalisatrice porte un regard bienveillant sur ses personnages, en conservant un ton léger qui fait toute la singularité de ce film sympathique malgré quelques longueurs.
Télérama
par Jacques Morice
Impossible ici de ne pas saluer les performances de Zita Hanrot et Louise Chevillotte, toutes deux formidables, palpitantes en effeuilleuses comme en amoureuses. Rien que pour elles, leur audace et leur liberté, le film mérite d’être vu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Sandra Onana
Le scénario se dérobe dès qu’il s’agit de capter comment la séduction pour le show, l’extase simulée se transforme en désir pour de vrai.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Damien Leblanc
Mais en enfermant progressivement ces deux protagonistes dans une intrigue très ordinaire à base d’histoire d’amour interdite, le film s’empêche étrangement de respirer et de se libérer des carcans.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
L’interprétation éblouissante de Louise Chevillotte et Zita Hanrot ne parvient pas à masquer les maladresses de l’écriture et du scénario. Pourtant on aurait adoré aimer ce film.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Malgré ses nobles intentions et les prestations convaincantes des comédiennes principales cette fiction audacieuse, mais frustrante s'abîme dans la théâtralité, l'artifice et ne parvient que trop rarement à incarner sur l'écran les promesses de son scénario.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Bande à part
Lucie Borleteau signe un conte romantique qui donne à voir, avec une énergie communicative et une audacieuse impudeur, l’initiation d’une jeune femme au dévoilement de son corps et de ses sentiments.
Culturopoing.com
Dans cette ode hédoniste à la libération du désir Lucie Borleteau exalte ce même "art de la joie" qu’exprimait Goliarda Sapienza dans son roman éponyme. Combien de films, actuellement, lorsqu’ils approchent le corps et le sexe, peuvent se vanter de nous procurer gaieté et allégresse ? Feel good movie enivrant et charnel, il laisse dans un tel état euphorique que l’on retrouve la lumière du jour comme au sortir d’un songe.
Les Fiches du Cinéma
Portrait de troupe, éloge de la sororité, tentative de redéfinition des rapports homme / femme, drame érotique, comédie libertine... Le nouveau film de Lucie Borleteau est un peu tout ça. Mais il est surtout réjouissant d’intelligence, de liberté et de vitalité.
Marie Claire
Le troisième long métrage de Lucie Borleteau offre une variation ludique sur le plaisir féminin, quelque part entre Showgirls et The Full Monty.
Transfuge
Dans "À mon seul désir", Lucie Borleteau compose une ode à la liberté érotique, sexuelle et amoureuse.
Cahiers du Cinéma
S’il peine à figurer la vivacité du désir et des sentiments, À mon seul désir trouve son point de jouissance dans des jeux de masques où des femmes révèlent plusieurs facettes d’elles‐mêmes et prennent le risque de se réinventer.
Franceinfo Culture
"À mon seul désir" vaut pour son caractère didactique, les scènes décrivant les différentes prestations et incidents qui peuvent survenir dans un cabaret érotique et la façon dont la sororité que forme ces stripteaseuses est dépeinte.
Le Journal du Dimanche
Sans verser dans la vulgarité ou le mauvais goût, cette fable amoureuse parle de libération du corps et d’exploration du désir avec une sensualité qui affiche une certaine audace et séduit.
Le Monde
Dans le paysage du cinéma français, qui montre désormais peu le corps féminin par souci de ne pas utiliser les actrices comme des objets, A mon seul désir, de Lucie Borleteau, détonne.
Les Inrockuptibles
Le sujet du film, c’est une femme qui passe à travers tous les miroirs sans jamais se salir parce qu’elle ne fait que ce qui lui plaît. Parce qu’elle mène la danse avec les hommes et les femmes, sans agressivité à leur égard, sans haine.
Ouest France
Porté par deux actrices épatantes, ce film convainc et séduit par son atmosphère, beaucoup moins par son scénario (...).
Télé 2 semaines
Sans faire l'impasse sur les situations sordides, la réalisatrice porte un regard bienveillant sur ses personnages, en conservant un ton léger qui fait toute la singularité de ce film sympathique malgré quelques longueurs.
Télérama
Impossible ici de ne pas saluer les performances de Zita Hanrot et Louise Chevillotte, toutes deux formidables, palpitantes en effeuilleuses comme en amoureuses. Rien que pour elles, leur audace et leur liberté, le film mérite d’être vu.
Libération
Le scénario se dérobe dès qu’il s’agit de capter comment la séduction pour le show, l’extase simulée se transforme en désir pour de vrai.
Première
Mais en enfermant progressivement ces deux protagonistes dans une intrigue très ordinaire à base d’histoire d’amour interdite, le film s’empêche étrangement de respirer et de se libérer des carcans.
aVoir-aLire.com
L’interprétation éblouissante de Louise Chevillotte et Zita Hanrot ne parvient pas à masquer les maladresses de l’écriture et du scénario. Pourtant on aurait adoré aimer ce film.
Les Echos
Malgré ses nobles intentions et les prestations convaincantes des comédiennes principales cette fiction audacieuse, mais frustrante s'abîme dans la théâtralité, l'artifice et ne parvient que trop rarement à incarner sur l'écran les promesses de son scénario.