Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Obs
par X. L.
En faisant de sa comédienne (talentueuse Anna Castillo) le pivot de ses beaux panoramiques et le cœur palpitant de sa mise en scène, Jaime Rosales esquisse avec justesse le portrait vibrant et multiple de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Maryline Alligier
Tour à tour « bourgeon », fanée ou ouverte, Julia, sous ces facettes, écrit au présent une vie qui suit le soleil.
Le Monde
par Cl. F.
L’histoire n’est pas a priori à la pointe de la radicalité, mais la démarche de Jaime Rosales s’avère plus singulière si l’on envisage autrement le scénario : en miroir du portrait de Julia, le réalisateur esquisse des profils d’hommes peu glorieux, désignant ainsi le couple hétéro comme une catégorie à l’avenir incertain.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Alain Masson
La construction use adroitement de retours de scènes types d’un épisode à l’autre, d’ellipses parfois très audacieuses, de temps morts qui contrastent avec des moments de crise.
Télérama
par Guillemette Odicino
Face à trois types de masculinité parfaitement incarnés, Anna Castillo s’impose, dans chacune de ses émotions, comme la plus lumineuse des filles d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Film d’amour, film de résistance, Les tournesols sauvages est un petit joyau de tendresse pour toutes ces jeunes femmes, à peine adultes, qui se débattent entre leur jeunesse qui se termine et le devoir de maternité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
À travers trois relations amoureuses, qui sont autant de moments dans la vie d’une jeune femme dans la vingtaine, Jaime Rosales raconte Julia, barcelonaise et mère célibataire. Bien que fragile le film raconte les impasses d’une vie amoureuse en forme de sinistre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Élie Raufaste
Ainsi Jaime Rosales, qui a l’habitude de paramétrer sa mise en scène autour d’un choix formel saillant [...] cherche-t-il manifestement à habiter le point de vue de Julia. Ce que l’on sent plutôt, hélas, c’est l’œil pesant d’un cinéaste sûr de sa capacité à séparer, à force d’expérience, le bon grain de l’ivraie.
Libération
par Sandra Onana
Le catalan Jaime Rosales chronique les relations amoureuses d’une jeune Barcelonaise avec une distance douce-amère, qui laisse un goût désagréable.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Cheze
Les personnages n'existent jamais suffisamment pour convaincre et ce en dépit de la prestation remarquable de d'Anna Castillo dans le rôle principal.
Première
par Thierry Chèze
Remarquablement incarné par Anna Castillo, le côté trop scolaire, trop catalogue des idées reçues de l’ensemble empêche le film de nous emporter à la hauteur de ses ambitions.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Robin Vaz
Entre l’inscription sociale des personnages sans cesse soulignée et le familialisme béat que le récit promeut, Les Tournesols sauvages s’avère être un film plus rance et conservateur que sa dénonciation convenue de la masculinité ne le laissait présager.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
En faisant de sa comédienne (talentueuse Anna Castillo) le pivot de ses beaux panoramiques et le cœur palpitant de sa mise en scène, Jaime Rosales esquisse avec justesse le portrait vibrant et multiple de son héroïne.
La Septième Obsession
Tour à tour « bourgeon », fanée ou ouverte, Julia, sous ces facettes, écrit au présent une vie qui suit le soleil.
Le Monde
L’histoire n’est pas a priori à la pointe de la radicalité, mais la démarche de Jaime Rosales s’avère plus singulière si l’on envisage autrement le scénario : en miroir du portrait de Julia, le réalisateur esquisse des profils d’hommes peu glorieux, désignant ainsi le couple hétéro comme une catégorie à l’avenir incertain.
Positif
La construction use adroitement de retours de scènes types d’un épisode à l’autre, d’ellipses parfois très audacieuses, de temps morts qui contrastent avec des moments de crise.
Télérama
Face à trois types de masculinité parfaitement incarnés, Anna Castillo s’impose, dans chacune de ses émotions, comme la plus lumineuse des filles d’aujourd’hui.
aVoir-aLire.com
Film d’amour, film de résistance, Les tournesols sauvages est un petit joyau de tendresse pour toutes ces jeunes femmes, à peine adultes, qui se débattent entre leur jeunesse qui se termine et le devoir de maternité.
Les Fiches du Cinéma
À travers trois relations amoureuses, qui sont autant de moments dans la vie d’une jeune femme dans la vingtaine, Jaime Rosales raconte Julia, barcelonaise et mère célibataire. Bien que fragile le film raconte les impasses d’une vie amoureuse en forme de sinistre.
Cahiers du Cinéma
Ainsi Jaime Rosales, qui a l’habitude de paramétrer sa mise en scène autour d’un choix formel saillant [...] cherche-t-il manifestement à habiter le point de vue de Julia. Ce que l’on sent plutôt, hélas, c’est l’œil pesant d’un cinéaste sûr de sa capacité à séparer, à force d’expérience, le bon grain de l’ivraie.
Libération
Le catalan Jaime Rosales chronique les relations amoureuses d’une jeune Barcelonaise avec une distance douce-amère, qui laisse un goût désagréable.
Ouest France
Les personnages n'existent jamais suffisamment pour convaincre et ce en dépit de la prestation remarquable de d'Anna Castillo dans le rôle principal.
Première
Remarquablement incarné par Anna Castillo, le côté trop scolaire, trop catalogue des idées reçues de l’ensemble empêche le film de nous emporter à la hauteur de ses ambitions.
Critikat.com
Entre l’inscription sociale des personnages sans cesse soulignée et le familialisme béat que le récit promeut, Les Tournesols sauvages s’avère être un film plus rance et conservateur que sa dénonciation convenue de la masculinité ne le laissait présager.