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HomoLibris
30 abonnés
133 critiques
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0,5
Publiée le 26 juin 2023
Chiantissime, soporifique, abscons, insoutenable de lourdeur hermétique, ce film, vendu pour l'esthétisme des décors, accessoires, et couleurs pastels année 1950, propose un défilé de "stars" (bien loin d'être des étoiles et qui seraient pour la plupart inconnues si pas américaines !) noyé dans un kitch pâlichon écœurant et gluant comme une barbe-à-papa !
dans le cinéma de W. Anderson, il y a bien une recherche visuelle esthétique avec une mise en scène soignée, des plans intéressants, un ton décalé et toujours un casting de choix. mais une fois de plus, avec cet Asteroïd city, le réalisateur brille par son absence de scénario ou plutôt, avec un récit décousu, sans liant, qui n'a ni queue ni tête! rien n'est vraiment développé et cette galerie de portraits n'est pas attachante. au final, cette production ne provoque rien, si ce n'est un ennui profond et l'impression d'être une fois de plus floué!
on retrouve l'univers si propre aWes Anderson avec son casting toujours exceptionnel mais cette fois le scénario n est pas là les actes et scènes se suivent mais ça n avance pas et cela sonne juste comme des offrandes de scènes à ses acteurs fétiches avec toujours ce même système de caméra fixe sur l acteur et mouvement sur ce dont il parle. On finit par s ennuyer et arrondie une fin qui n en vaut pas la peine. pour l image donc.
Quel ennui, ce film! On ne comprend rien, ou alors il faut être sorti de polytechnique pour saisir quoi que ce soit. C'est confus, cela se veut quoi? Drôle? Sérieux? Parodique? On espère qu'une histoire va sortir de tout cela; on attend. Il ne se passe rien. Et ces passages en noir et blanc sur une scène de théâtre! Qu'est-ce que cela vient faire là? J'ai essayé de tenir mais c'était trop. Je suis parti au bout d'une heure et quart (quand même!).
Rien compris à ce film. L'esthétique ça va cinq minutes ensuite toujours pareil. Certes une pléiade d'acteurs mais pourquoi autant et si mal exploités Un ennui profond pour moi
C'est beau ! Presque de l'aquarelle, composition à la "Hooper", des cadrages au millimètre. Le scénario fantaisiste, poétique soutenu par la musique. Découpage comme une BD. Décalé absolu. Un vrai moment d'évasion pour rêveurs convaincus... Retour coloré dans les années 50 et sa mode. J'ai tout simplement adoré !
Si un réalisateur sait façonner de belles images, des cadres superbes, des couleurs chaleureuses, des accessoires pertinents, c'est bien Wes Anderson. On peut reprocher un scénario parfois longuet, voire confus, mais Asteroid City est une fabuleuse mise en abyme avec son lot de moments cultes, de phrases jubilatoires et de moments de grâce. Cela faisait largement 10 ans qu'il ne nous avait pas gratifié d'une telle oeuvre foisonnante. Un merveilleux film choral.
Je commence tout juste à découvrir le style de Wes Anderson et franchement j’adore. Ce film ne déroge pas à sa patte scénaristique et à sa mise en scène bien singulière car il est vraiment très bien.
Concrètement et rapidement, Wes Anderson a un style très symétrique avec des plans qui se déplacent au millimètre près. En clair, tout est calculé. La photographie est très soignée, les plans sont incroyablement bien composés ; chaque image est un plan à part entière et rempli de détails scrupuleux. Les couleurs et les ombres sont vraiment belles, notamment les jeux de lumière lors des séquences en noir et blanc. Sinon, la musique se répète un peu mais je la trouve très cool, dansante et à l’image de ce qu’elle montre. En fait, chaque information a son utilité dans la réalisation.
Par rapport à l’histoire, elle est fine et bien écrite ; peut-être qu’on peut la trouver platonique mais elle laisse le temps pour le développement. Effectivement, les personnages sont des archétypes, donc, en très peu d'images, nous saisissons l’essence des protagonistes. D’autant plus que la plupart sont relativement attachants. Les dialogues sont à l’image du récit ; à savoir, méta et intelligent. Sans compter que l’introduction est vraiment parfaite. Il faut également préciser que l’aspect comédie et l’aspect dramatique sont bien dosés et se valent. Concrètement, le scénario est réfléchi et se tient ; il est prenant de A à Z, il a tout de même des moments de mou mais cela n’enlève en rien mon intérêt pour l’univers créé par Anderson.
Sans grande surprise, je recommande vraiment ce film ; il vaut le détour rien que pour les tableaux qu’on peut découvrir. Sans compter que le récit à plusieurs lectures possibles.
Immense déception sur ce film, dès le devis on sent que ça va être compliqué , qu’il va y avoir trop de personnages. C’est soporiphique (je me suis endormie!) . On attend toujours une belle surprise de wes anderson et la c’est un cauchemar. Plusieurs spectateur sont quitte la salle. On s’ennuie. Le casting ne sauve pas le film. L’histoire est bancale. Manque de simplicité.
Obscur, abscons et ennuyeux. Malgré son fameux casting, malgré sa réalisation hyper soignée, ce film se révèle assez vain. Wes Anderson fabrique en pure perte ses vignettes plastique d'une parfaite maitrise et peine à régénérer un univers qu'on connait par coeur. Ce film ne produit aucune émotion. On n'est jamais concerné par ce que l'on voit et encore moins ému. C'est un film caricatural (une caricature de ce qu'est devenu le cinéma d'Anderson). On va très vite oublier ce film surfait et ce réalisateur surestimé.
Vu en AVP : c est sûr ça ne plaira pas à tout le monde mais de mon point de vue, l originalité est le maître mot pour résumer ce film : c est une pièce de théâtre avec des décors de théâtre et des couleurs rose bonbon qui font rêver : et si finalement le but de ce film n était pas de nous faire rêver tout simplement et de nous questionner sur le mystère de la vie.
Au-delà de son casting exceptionnel, le film éblouit notamment par ses couleurs splendides, comme le laissait présager sa bande annonce. Le décor, une bourgade dans l'Amérique des fifties, déploie une palette allant du bleu-vert pastel au corail flamboyant, sur le fond ocre du désert. Deux espaces narratifs (l'intrigue principale, et le récit de sa création) dialoguent tout au long du film, et finissent par communiquer. On peut de fait reprocher à Asteroid City sa densité: difficile de faire tenir une articulation si complexe en 1h40, on regrettera alors que le film ne soit pas un peu plus long, ou bien on pointera la nécessité d'un second visionnage... ce qui est un plutôt joli défaut. Retrouvez ici l'intégralité de ma critique: https://mariusmirone.wixsite.com/chimeres/post/asteroid-city-la-nouvelle-p%C3%A9pite-de-wes-anderson
Superbe film esthétiquement parlant, avec un casting de fou qui le laisse pas le spectateurs sans avis. Le film est doux autant dans l'esthétique que dans l'histoire avec quelques scènes d'humour bien placée
Encore une fois, Wes Anderson nous plonge dans son univers particulier. Il est remarquable de voir comment à chaque nouveau film, le réalisateur Américain arrive à nous proposer un monde différent, mais tout aussi riche que le précédent. C'est un véritable délice de découvrir Astéroid City. Cette fois-ci, nous retrouvons une touche des années dans l'Ouest désertique américain. Le travail sur la colorimétrie accentue l'immersion afin de vivre une expérience unique.
Pour autant, le style Anderson continue de porter les mêmes défauts. Ce cinéma des plus esthétique empêche le développement de forte émotion. Nous sommes dans le beau, dans le lisse avec une absence totale de brut. Un parti-pris qui peut autant emballer que répugner. Le choix d'inclure le déroulé d'Astéroid City au sein d'une pièce de théâtre coupe par moment le rythme. Toutefois, cela permet de prendre du recul sur les différentes situations avec des discours intéressants des acteurs de la pièce.
Comme souvent avec Wes Anderson, il y a une pléthore de stars. On est forcément ravis de voir Scarlett Johansson, Tom Hanks, Edward Norton, Steve Carell ou encore Bryan Cranston. Leur jeu correspond bien à leurs personnages. Cela donne un certain engouement. Le revers de la médaille est que l'accumulation de nom parait par moment inutile. Par exemple, il y a une frustration de voir des talents comme Willem Dafoe, Margot Robbie ou Sophia Lillis aussi peu exploité.