Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
39 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Asteroid City est certainement l’un des films les plus émouvants de son auteur. Et c’est encore au principe de verticalité qui le gouverne qu’il doit ce sentiment diffus d’accablement qui semble étreindre tous ses personnages [...] Toujours mutique et contenue, cette émotion sourde se déploie dans un mouvement du haut vers le bas dont le film fait son axe unique.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Roi du style, Wes Anderson se confronte enfin à sa peur du vide avec ce nouvel opus en plein désert américain. Mélancolique et merveilleux, la vie en mieux.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Télé Loisirs
par Margot Loisel
Splendeur visuelle, le film de Wes Anderson se pare d'une réflexion profonde sur nos pertes de repère durant la pandémie.
Voici
par La Rédaction
Tout simplement splendide.
20 Minutes
par Caroline Vié
Explosions nucléaires, théâtre délirant, idylles naissantes et secrets d’État sont au menu d’une œuvre douce-amère sur laquelle le cinéaste a apposé sa patte inimitable.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Josué Morel
En cherchant à circonscrire, avec une acuité inédite, le cœur de son système et de sa machinerie, Wes Anderson signe l'un de ses meilleurs films.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un spectacle en trois actes excentrique, stylisé, ensoleillé et léger.
Ecran Large
par Déborah Lechner
Avec Asteroid City, les amoureux du cinéma de Wes Anderson n'en seront que plus transis, tandis que ceux qui ont moins d'affinités avec son style resteront plus à distance, mais auront au moins de magnifiques images pour faire passer le temps.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un bonbon pour les yeux.
GQ
par Adam Sanchez
Un concentré de beauté et de mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par N. S.
Allergiques à son style poupées russes, proche du cinéma d’animation, passez votre chemin. Les autres, ne ratez pas cette fantaisie triste, « pastellisée » : vous ne trouverez plus beau fantasme de confinement que les scènes de pudique séduction entre Steenbeck et sa voisine, star de ciné (Scarlett Johansson, divine).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Avec Asteroid City, Wes Anderson signe une fantaisie vintage colorée sur la mort, l’amour, l’art, la science, le cosmos, dans un film gigogne où une émission de télévision ouvre sur une pièce de théâtre qui ouvre sur un film. Un spectacle en trois actes excentrique, stylisé, ensoleillé et léger.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Avec une pléiade de stars, Wes Anderson réinvente un désert pour livrer une fantaisie rétro-futuriste. Un film similaire à ses précédents, mais en mieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Porté par un casting faramineux comprenant notamment Jason Schwartzman, Scarlett Johansson et Tom Hanks, le long-métrage de Wes Anderson, burlesque et rêveur, évoque le monde du théâtre, la question de l’acteur et de l’incarnation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Et puis il y a ces répliques très drôles, lancées par un ahurissant défilé de comédiens, si nombreux qu’on ne peut pas tous les citer : Tom Hanks, Adrien Brody, Margot Robbie, Jeffrey Wright, Bryan Cranston, Matt Dillon…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Victoria Gairin
Les idées fusent, les cocasseries aussi, et Anderson fait, encore une fois, des étincelles.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Wes Anderson en grande forme, très mélancolique, livre une réflexion puissante sur le pouvoir de l’artificialité et du jeu.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Esthétique léchée, émotion et tension narrative maîtrisées : le onzième long métrage de Wes Anderson est peut-être son plus beau à ce jour.
Télérama
par J.B.
POUR : Il y a toujours chez lui, derrière les afféteries et le mutisme, un projet tendre et moral : présumant que nous sommes tous déjà abîmés par les jours et les amours empêchées, et qu’après une parenthèse aux allures de petit théâtre nous disparaîtrons dans l’horizon, Wes Anderson nous encourage à faire société, avec, comme seul bagage, le sourire léger de l’alien coincé au creux des lèvres.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Dans son dernier film, Asteroid City, présenté mercredi 24 mai en compétition officielle au Festival de Cannes, Wes Anderson emboîte ses histoires comme des poupées gigognes pour mieux brouiller la frontière entre réel et fiction et redire la nécessité de rêver sa vie afin d’en sublimer les drames.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Lucas Charrier
La confusion et la transgression peuvent parfois être frustrantes.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Tout a du sens, même si rien n’est supérieurement prégnant, c’est le hic. Et comme d’habitude chez Anderson, le casting est démentiel, avec des stars cantonnées au rang de figurants. Étonnant Anderson.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
C’est un nouvel ovni cinématographique que concocte le réalisateur américain avec les mésaventures fantasques de personnages lunaires dans un univers (un peu trop) décalé.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
« Asteroid City » est un film raffiné et amusant qui ne surprend ni ne déçoit. Wes Anderson peut quitter la ville en laissant derrière lui une fragrance sucrée de barbe à papa. On sait qu'on le retrouvera bientôt, avec un film plus ou moins similaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Par-delà la malice mi-mélancolique, mi-cruelle propre au cinéaste américain, s’installe, dans cette douloureuse interrogation, l’une des clés de voûte qui structurent et surplombent les personnages andersoniens : faire l’expérience d’un état d’abandon et tenter d’y survivre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Laurent Duroche
Même s'il n'est pas aussi pincé que "The French Dispatch" et qu'il recèle de vrais moments de poésie et de drôlerie, "Asteroid City" se montre trop control freak pour nous laisser sentir son pouls.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Chronique post-Covid ou pamphlet politique ou sociétal, difficile de voir où Wes Anderson veut en venir. Ou serait-ce alors un film sur l’incompréhension mutuelle ?
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Quand Wes Anderson fait du Wes Anderson, cela donne une œuvre souvent drôle, fantasque et décousue, mais profondément inégale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La rédaction
Ce film choral reste une œuvre mineure dans la filmographie de Wes Anderson, et souffre, malgré d'évidentes qualités formelles, d'un scénario trop opaque, de dialogues improbables (quand ils ne sont pas assommants), et d'un ressenti d'inabouti réellement frustrant.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Elle
par Françoise Delbecq
Moins bavard que The French Dispatch, plus angoissant que La Famille Tanenbaum, Asreroid City est à l'image de son image : un peu délavé.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Lieu d'un cratère, d'un trou, la ville qui donne son titre au film, Asteroid City, est construite sur du vide. Comme le film est dénué de narration et de dramaturgie en enchaînant des numéros, des tableaux, sans intrigue ni lien, extraterrestre compris.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Libération
par Camille Nevers
Les maniérismes pop du cinéaste et son habituelle guirlande de guest-stars anesthésient l’humour et l’émotion de cette parabole du deuil en plein désert.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une beauté un peu vaine.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Dans ce monde si magistralement agencé, l’émotion perce difficilement, comme si une forme de timidité retenait cet immense styliste d’aller au bout de sa mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Frédéric Mercier
Aussi impressionnant soit-il avec sa trentaine de stars faisant un caméo, "Asteroid City" est trop alambiqué, trop froid, trop conceptuel et s’apparente à une frise de miniatures sans âme réfléchissant en pure perte à la possibilité d’une vie extraterrestre.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Hélas, ce petit théâtre de marionnettes est si minimaliste qu’il tourne rapidement à vide. L’émotion n’affleure pas, alors que rôde le thème du deuil. Une proposition de cinéma un brin trop radicale.
Télérama
par C. Mu
CONTRE : Dans cette précieuse brocante (si peu) humaine, Wes Anderson a l’ambition de brasser de grandes questions métaphysiques — le deuil, la mort, l’infini… Pour finir par tout figer sous le glacis d’un perfectionnisme esthétique qui n’existe que pour se servir lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Marianne
par Olivier De Bruyn
Avec « Asteroid City », Wes Anderson, tel un marionnettiste auto-satisfait, manipule des personnages d’une vacuité abyssale et déploie une intrigue si dépourvue d’enjeux qu’un ennui profond nous engourdit après dix minutes de spectacle.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Pierre Lunn
Pire, en revisitant l'histoire du cinéma et du théâtre américain des années 50, Anderson s'enferme dans des références et des échos aussi obscures qu'indéchiffrables et laisse le spectateur définitivement sur le bord de la route.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Asteroid City est certainement l’un des films les plus émouvants de son auteur. Et c’est encore au principe de verticalité qui le gouverne qu’il doit ce sentiment diffus d’accablement qui semble étreindre tous ses personnages [...] Toujours mutique et contenue, cette émotion sourde se déploie dans un mouvement du haut vers le bas dont le film fait son axe unique.
CinemaTeaser
Roi du style, Wes Anderson se confronte enfin à sa peur du vide avec ce nouvel opus en plein désert américain. Mélancolique et merveilleux, la vie en mieux.
Télé Loisirs
Splendeur visuelle, le film de Wes Anderson se pare d'une réflexion profonde sur nos pertes de repère durant la pandémie.
Voici
Tout simplement splendide.
20 Minutes
Explosions nucléaires, théâtre délirant, idylles naissantes et secrets d’État sont au menu d’une œuvre douce-amère sur laquelle le cinéaste a apposé sa patte inimitable.
Critikat.com
En cherchant à circonscrire, avec une acuité inédite, le cœur de son système et de sa machinerie, Wes Anderson signe l'un de ses meilleurs films.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un spectacle en trois actes excentrique, stylisé, ensoleillé et léger.
Ecran Large
Avec Asteroid City, les amoureux du cinéma de Wes Anderson n'en seront que plus transis, tandis que ceux qui ont moins d'affinités avec son style resteront plus à distance, mais auront au moins de magnifiques images pour faire passer le temps.
Femme Actuelle
Un bonbon pour les yeux.
GQ
Un concentré de beauté et de mélancolie.
L'Obs
Allergiques à son style poupées russes, proche du cinéma d’animation, passez votre chemin. Les autres, ne ratez pas cette fantaisie triste, « pastellisée » : vous ne trouverez plus beau fantasme de confinement que les scènes de pudique séduction entre Steenbeck et sa voisine, star de ciné (Scarlett Johansson, divine).
Le Dauphiné Libéré
Avec Asteroid City, Wes Anderson signe une fantaisie vintage colorée sur la mort, l’amour, l’art, la science, le cosmos, dans un film gigogne où une émission de télévision ouvre sur une pièce de théâtre qui ouvre sur un film. Un spectacle en trois actes excentrique, stylisé, ensoleillé et léger.
Le Figaro
Avec une pléiade de stars, Wes Anderson réinvente un désert pour livrer une fantaisie rétro-futuriste. Un film similaire à ses précédents, mais en mieux.
Le Monde
Porté par un casting faramineux comprenant notamment Jason Schwartzman, Scarlett Johansson et Tom Hanks, le long-métrage de Wes Anderson, burlesque et rêveur, évoque le monde du théâtre, la question de l’acteur et de l’incarnation.
Le Parisien
Et puis il y a ces répliques très drôles, lancées par un ahurissant défilé de comédiens, si nombreux qu’on ne peut pas tous les citer : Tom Hanks, Adrien Brody, Margot Robbie, Jeffrey Wright, Bryan Cranston, Matt Dillon…
Le Point
Les idées fusent, les cocasseries aussi, et Anderson fait, encore une fois, des étincelles.
Les Fiches du Cinéma
Wes Anderson en grande forme, très mélancolique, livre une réflexion puissante sur le pouvoir de l’artificialité et du jeu.
Rolling Stone
Esthétique léchée, émotion et tension narrative maîtrisées : le onzième long métrage de Wes Anderson est peut-être son plus beau à ce jour.
Télérama
POUR : Il y a toujours chez lui, derrière les afféteries et le mutisme, un projet tendre et moral : présumant que nous sommes tous déjà abîmés par les jours et les amours empêchées, et qu’après une parenthèse aux allures de petit théâtre nous disparaîtrons dans l’horizon, Wes Anderson nous encourage à faire société, avec, comme seul bagage, le sourire léger de l’alien coincé au creux des lèvres.
La Croix
Dans son dernier film, Asteroid City, présenté mercredi 24 mai en compétition officielle au Festival de Cannes, Wes Anderson emboîte ses histoires comme des poupées gigognes pour mieux brouiller la frontière entre réel et fiction et redire la nécessité de rêver sa vie afin d’en sublimer les drames.
La Septième Obsession
La confusion et la transgression peuvent parfois être frustrantes.
La Voix du Nord
Tout a du sens, même si rien n’est supérieurement prégnant, c’est le hic. Et comme d’habitude chez Anderson, le casting est démentiel, avec des stars cantonnées au rang de figurants. Étonnant Anderson.
Le Journal du Dimanche
C’est un nouvel ovni cinématographique que concocte le réalisateur américain avec les mésaventures fantasques de personnages lunaires dans un univers (un peu trop) décalé.
Les Echos
« Asteroid City » est un film raffiné et amusant qui ne surprend ni ne déçoit. Wes Anderson peut quitter la ville en laissant derrière lui une fragrance sucrée de barbe à papa. On sait qu'on le retrouvera bientôt, avec un film plus ou moins similaire.
Les Inrockuptibles
Par-delà la malice mi-mélancolique, mi-cruelle propre au cinéaste américain, s’installe, dans cette douloureuse interrogation, l’une des clés de voûte qui structurent et surplombent les personnages andersoniens : faire l’expérience d’un état d’abandon et tenter d’y survivre.
Mad Movies
Même s'il n'est pas aussi pincé que "The French Dispatch" et qu'il recèle de vrais moments de poésie et de drôlerie, "Asteroid City" se montre trop control freak pour nous laisser sentir son pouls.
Paris Match
Chronique post-Covid ou pamphlet politique ou sociétal, difficile de voir où Wes Anderson veut en venir. Ou serait-ce alors un film sur l’incompréhension mutuelle ?
aVoir-aLire.com
Quand Wes Anderson fait du Wes Anderson, cela donne une œuvre souvent drôle, fantasque et décousue, mais profondément inégale.
CNews
Ce film choral reste une œuvre mineure dans la filmographie de Wes Anderson, et souffre, malgré d'évidentes qualités formelles, d'un scénario trop opaque, de dialogues improbables (quand ils ne sont pas assommants), et d'un ressenti d'inabouti réellement frustrant.
Elle
Moins bavard que The French Dispatch, plus angoissant que La Famille Tanenbaum, Asreroid City est à l'image de son image : un peu délavé.
Franceinfo Culture
Lieu d'un cratère, d'un trou, la ville qui donne son titre au film, Asteroid City, est construite sur du vide. Comme le film est dénué de narration et de dramaturgie en enchaînant des numéros, des tableaux, sans intrigue ni lien, extraterrestre compris.
Libération
Les maniérismes pop du cinéaste et son habituelle guirlande de guest-stars anesthésient l’humour et l’émotion de cette parabole du deuil en plein désert.
Ouest France
Une beauté un peu vaine.
Sud Ouest
Dans ce monde si magistralement agencé, l’émotion perce difficilement, comme si une forme de timidité retenait cet immense styliste d’aller au bout de sa mélancolie.
Transfuge
Aussi impressionnant soit-il avec sa trentaine de stars faisant un caméo, "Asteroid City" est trop alambiqué, trop froid, trop conceptuel et s’apparente à une frise de miniatures sans âme réfléchissant en pure perte à la possibilité d’une vie extraterrestre.
Télé 7 Jours
Hélas, ce petit théâtre de marionnettes est si minimaliste qu’il tourne rapidement à vide. L’émotion n’affleure pas, alors que rôde le thème du deuil. Une proposition de cinéma un brin trop radicale.
Télérama
CONTRE : Dans cette précieuse brocante (si peu) humaine, Wes Anderson a l’ambition de brasser de grandes questions métaphysiques — le deuil, la mort, l’infini… Pour finir par tout figer sous le glacis d’un perfectionnisme esthétique qui n’existe que pour se servir lui-même.
Marianne
Avec « Asteroid City », Wes Anderson, tel un marionnettiste auto-satisfait, manipule des personnages d’une vacuité abyssale et déploie une intrigue si dépourvue d’enjeux qu’un ennui profond nous engourdit après dix minutes de spectacle.
Première
Pire, en revisitant l'histoire du cinéma et du théâtre américain des années 50, Anderson s'enferme dans des références et des échos aussi obscures qu'indéchiffrables et laisse le spectateur définitivement sur le bord de la route.