Mon compte
    All We Imagine as Light
    Note moyenne
    3,5
    903 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur All We Imagine as Light ?

    106 critiques spectateurs

    5
    9 critiques
    4
    30 critiques
    3
    33 critiques
    2
    26 critiques
    1
    7 critiques
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    LeMeilleurPseudoDuMonde
    LeMeilleurPseudoDuMonde

    11 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 octobre 2024
    All We Imagine as Light avait les ingrédients pour être un film d'auteur sympathique : une patte esthétique léchée pour raconter les contradictions de la société indienne à travers le regard féminin.
    
    Le film commence, nous suivons deux femmes, chacune étouffée à leur manière par les carcans de la société. L'une, la trentaine, s'interdit toute relation malgré qu'elle n'ait pas vu son mari depuis des années. L'autre, la vingtaine, n'ose pas s'engager dans une relation avec un homme d'une autre religion qu'elle.
    
    La photographie du film est soignée et le casting plutôt bon. Il faut le signaler car ça contribue à donner une ambiance spéciale et intimiste à l'oeuvre.
    
    Mais le film révèle très rapidement son principal défaut : le rythme. Malgré sa bonne volonté, le film rappelle tristement les films d'auteur contemporains dans leurs plus mauvais côtés. On prend son temps, on s'attarde sur l'ordinaire, on fonce vers le naturalisme. Forcément, on s'ennuie très vite et on passe l'essentiel du film à décrocher puis raccrocher les wagons. La réalisatrice ne semble jamais assumer la dimension révoltée de son sujet. Les situations s'enchainent de façon plate sans donner le sentiment d'avancer.
    
    En résulte de All We Imagine as Light un film assez peu impactant émotionnellement parlant dont on attend la fin un peu trop tôt, malheureusement. Une expérience finalement un peu déplaisante. Le festival de Cannes serait-il encore tombé dans la prétention pour décerner son Grand Prix ?
    s2d2
    s2d2

    16 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 octobre 2024
    Que ce film était long ! Pourtant le sujet me semblait intéressant : Des femmes indiennes qui veulent sortir de leur condition. Mais il ne se passe rien. Un petit peu dans la vie d'Anu qui a un petit copain caché et musulman mais les 2 autres ??? Je cherche encore. Un petit sursaut le dernier quart d'heure quand le petit copain caché sort du derrière du buisson... A priori, je n'ai pas vu le même film que les festivaliers de Cannes.
    Maxime T
    Maxime T

    8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2024
    L'inde contemporaine et Bombay filmées loin des clichés, à un rythme lent, du côté de femme qui travaillent et qui se battent. Elles se battent pour survivre dignement,contre les traditions, la solitude, les assignations. Amoureux de l'inde, j'ai trouvé que tout était juste.
    jerome S.d.c.
    jerome S.d.c.

    25 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 octobre 2024
    Ce joli film manque cruellement d'un scénario qui permette de ne pas s'assoupir toutes les dix minutes du début à la fin du film. Non-contemplatifs s'abstenir.
    Goéland
    Goéland

    27 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 octobre 2024
    A Mumbaï, une femme d’une quarantaine d’années, Prabha, infirmière dans un hôpital a une vie bloquée. Sa famille lui a imposé un mariage avec un homme qui est parti travailler en Allemagne et qu’elle n’a pas revu depuis huit ans. Sa colocataire, une infirmière plus jeune, ne veut pas d’un mariage arrangé ; elle a une liaison cachée avec un jeune musulman. Une de leurs collègues, cuisinière plus âgée est expulsée de son logement qu’elle occupe depuis vingt ans et doit regagner son village en bord de mer, à Ratnagiri.
    Ces trois femmes vont s’y retrouver à l’occasion du déménagement et essayer d’entrevoir une lumière dans leurs vies contraintes.
    Un film très intéressant et plein de grâce qui nous permet de mieux approcher la vie des gens ordinaires dans une mégapole congestionnée comme Mumbaï, les situations très contraintes que les règles sociales et religieuses leur imposent. Un film lumineux dans sa dernière partie qui enchante ce village de pêcheurs de Ratnagiri et les acteurs du film.
    capirex
    capirex

    92 abonnés 308 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 octobre 2024
    Très intéressante réalisation , son premier long métrage de fiction , de Payal Kapadia qui réalise là un film sous forme de mosaïque en tirant trois portraits bouleversants de Femmes solidaires dans l’adversité !
    VILLE.G
    VILLE.G

    55 abonnés 667 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 octobre 2024
    Si l’histoire et les personnages sont intéressants, c’est beaucoup, beaucoup trop long. J’ai failli m’endormir…
    djami M.
    djami M.

    16 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 octobre 2024
    La sélection du Festival de Cannes devait être bien pauvre pour qu’au final ce film ait reçu le Grand Prix du Jury
    Quel ennui ! C’est lent, avec beaucoup de scènes inutiles
    Il n’y a pas d’histoire, pas de scénario. On a aucun attachement au personnage ou intérêt
    Je n’ai attendu qu’une chose : le générique de fin
    Christian RZ
    Christian RZ

    39 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 octobre 2024
    À bailler d’ennui devant une situation qui peine à se développer, en plus l’image est moche et on ne trouve la lumière qu en sortant de la salle
    Omg151
    Omg151

    64 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 octobre 2024
    Jolie film très lent, plein de bonnes intentions scolaires sur ce qu'on attend d'un film étranger de festival.
    Les actrices sont très bien et la description de Mumbai intéressante, mais un documentaire m'aurait semblé mieux adapté tant la fiction est ténue.
    Michel Gillen
    Michel Gillen

    23 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 octobre 2024
    L'évolution de la vie affective, amoureuse et matérielle de 3 femmes en Inde.. Traitée avec subtilité, une mise en scène qui utilise la douceur des paysages et celle des sentiments qui évoluent en relation avec leur crainte de l'avenir. Quelque soit le niveau d'émancipation des ces femmes elles appréhendent les mariages arrangés par la famille, les conditions matérielles qui leur sont imposées par un système inique. Un très beau cinéma qui peut être considéré comme hérité de celui de Satyajit Ray par l'amour de ses personnages et son regard porté sur des traditions réactionnaires, principalement, mais pas uniquement vis à vis des femmes.
    islander29
    islander29

    863 abonnés 2 354 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 octobre 2024
    Je vais être honnête cela faisait 20 ans, que je ne m’étais senti si bien, si proche d’un film, depuis central do Brazil de Walter Salles…..le film suit la vie de deux femmes d’abord à Mumbai, puis dans un village côtier...le film est d’une grande douceur, avec une musique au piano souvent régénératrice pour l’âme…..les dialogues sont parfois très profonds et toujours remplis d’humanité, on pense forcément à Savajit Ray….Ce n’est sans doute pas un chef d’œuvre, même si c’est filmé avec minutie dans Mumbai (mégalopole), mais l’humanisme prégnant fait que l’on est un peu touché par la grâce, à voir évidemment sans trop tarder…..
    Jipéhel
    Jipéhel

    58 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2024
    Trois femmes, trois destins

    Après Santosh et Girls will be girls, voici le 3ème film indien en moins de 3 mois. Cette fois, c’est Payal Kapadia qui écrit et réalise sa 1ère fiction. Décidément les femmes cinéastes sont à l’honneur au pays de l’autocratie patriarcale de Narendra Modri… et ça fait du bien. Sans nouvelles de son mari depuis des années, Prabha, infirmière à Mumbai, s'interdit toute vie sentimentale. De son côté, Anu, sa jeune colocataire, fréquente en cachette un jeune homme qu’elle n’a pas le droit d’aimer. Lors d'un séjour dans un village côtier, ces deux femmes empêchées dans leurs désirs entrevoient enfin la promesse d'une liberté nouvelle. Cela faisait 30 ans qu’aucun film indien n’avait été en compétition à Cannes. Ces superbes 118 minutes y ont obtenu le Grand Prix. Un des films les plus doux que j’ai vu depuis très longtemps.
    Derrière ce titre - Tout ce que nous imaginons être de la lumière – se cachent trois quêtes, trois chemins du bonheur, qui vont se croiser définitivement, après les rues de la mégalopole de Mumbaï, sur les bords de mer, dans un paisible village du littoral de Ratnagiri. Le symbole est parfait, le scénario nous menant des tourments d’une ville de 22 millions d’habitants, au calme d’une petite cité sur les bords de la Mer d’Arabie. Le choc – car s’en est un -, des deux mondes, des deux modes de vie est palpable et fait basculer ce drame dans une autre dimension et créer ainsi une boucle parfaite qui sonde la capacité des êtres à sécher leurs larmes et à panser leurs plaies. Tout cela est d’une délicatesse à nulle autre pareille, assumant un féminisme qui sait éviter d’être démonstratif. Trois portraits sensuels et bouleversants de femmes solidaires dans l’adversité. A voir absolument.
    Kani Kusruti, Divya Prabha et Chhaya Kadam sont 3 actrices habituées aux conditions de tournage difficiles du cinéma indépendant en Inde. Elles sont admirables toutes les 3 et trouvent en Hridhu Haroon ou Azees Nedumangad de très bons partenaires. Mais la star, ici, c’est bien le scénario qui tisse un film exotique sans nous vendre, pour autant, toute la pacotille touristico-pittoresque habituelle. Laisser vous guider par la lumière promise dans le titre du film.
    vidalger
    vidalger

    321 abonnés 1 250 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 octobre 2024
    C'est l'un des premiers grands films de la rentrée. En nous faisant pénétrer dans l'intimité de trois femmes indiennes, travailleuses de santé dans un hôpital de Mumbai, la jeune réalisatrice Payal Kapadia nous en dit beaucoup sur les contingences sociales qui alourdissent l'existence des populations, notamment féminines, de ce pays si inégalitaire qu'est l'Inde d'aujourd'hui. On a du mal ici, à imaginer la hauteur des barrières sociales, religieuses, de castes, qui limitent la liberté des individus indiens quels que soient leurs mérites. L'amour est dans la réalité de ces femmes bien différent de ces bluettes télévisées ou chantées qui font rêver les femmes et les hommes de ce pays. Entre la jeune femme qui rêve d'outrepasser les règles en faisant l'amour avec un jeune homme d'une autre religion que la sienne, entre celle qui a renoncé à l'amour après une déception sentimentale et une troisième, veuve, qui doit renoncer à son existence de confort sommaire pour se soumettre à la dure loi économique de la gentrification de son quartier, on découvre une communauté de malheureuses soumises à la dure loi des hommes.
    L'interprétation est remarquable.
    NathalieTbct
    NathalieTbct

    4 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2024
    un parti-pris esthétisant aux longs plans fixes sans parole, une histoire et des dialogues minimalistes : ça semble beaucoup plaire aux critiques et jurys ça fait 3 films encensés où je m'ennuie copieusement, ces dernieres semaines. J'adore le cinema indien et vraiment ça m'agace que les rares films distribués correctement en France representent si peu la qualité, la diversité, le dynamisme des cinemas indiens. Si vous le pouvez, regardez Gangubhai Katiavadi et vous verrez ce qu'est un vrai bon film indien, féministe qui plus est.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top